Intolérance à l’Histamine : Causes et symptômes

Le rôle de l’histamine dans le corps est de provoquer une réponse inflammatoire immédiate. Il sert de drapeau rouge dans votre système immunitaire, en avertissant le corps de tout attaquant potentiel.

L’histamine permet que vos vaisseaux sanguins gonflent et se dilatent, de sorte que vos globules blancs puissent trouver rapidement l’infection ou le problème et attaquer pour protéger l’organisme. Cela fait partie de la réponse immunitaire naturelle du corps, mais si l’histamine ne se décompose pas correctement, vous pourriez développer ce qu’on appelle histaminose ou intolérance à l’histamine.

Étant donné qu’elle se déplace par la circulation sanguine, l’histamine peut affecter l’intestin, les poumons, la peau, le cerveau et tout le système cardiovasculaire, ce qui contribue à un large éventail de problèmes qui souvent rend difficile votre diagnostic.

Qu’est-ce qui peut entraîner de hauts niveaux d’histamine ?

• Allergies (réactions de IgE)
• Surcroissance bactérienne
• Intestin perméable
• Saignement gastro-intestinal
• Alcool fermenté comme le vin, le champagne et la bière
• Déficience en Diamine oxydase (DAO)
• Aliments riches en histamine

Outre l’histamine produit dans notre corps, il existe aussi une variété d’aliments qui contiennent de l’histamine de manière naturelle, et provoquent la libération d’histamine, ou bien bloquent l’enzyme qui décompose l’histamine, c’est à dire l’enzyme DAO.

Symptômes de l’excès d’histamine

Quelle que soit la source de l’histamine, quand le niveau total du corps excède la capacité des enzymes à décomposer, il se produit des symptômes d’excès d’histamine. L’Intolérance à l’histamine se manifeste en une variété de signes et symptômes comme :

• Démangeaisons (picotements, particulièrement de la peau, des yeux, des oreilles et du nez).
• Urticaire (parfois diagnostiqué comme « urticaire idiopathique »).
• Gonflement des tissus (angio-œdème) particulièrement des tissus faciaux et oraux, et, parfois de la gorge.
• Hypotension (chute de la pression artérielle).
• Tachycardie (augmentation de la fréquence du pouls).
• Symptômes similaires à ceux d’une attaque d’anxiété ou de panique.
• Douleur du thorax.
• Congestion nasale et sécrétion nasale.
• Conjonctivites (irritation, larmoiement, yeux rougis).
• Certains types de maux de tête qui diffèrent de ceux de la migraine.
• Fatigue, confusion, irritabilité.
• Dans certains cas jusqu’à la perte de conscience pendant quelques secondes.
• Brûlures d’estomac, « indigestion », reflux.

Ces symptômes ne se produisent pas tous sur un seul individu, et la gravité des symptômes varie, mais le schéma des symptômes paraît être constant pour chaque personne.

Le test diagnostic basic élargi peut être effectué afin de diagnostiquer un excès d’histamine dans l’organisme et le test d’allergies pour détecter un manque de la diamine oxydase (DAO).

Analía Iglesias

analia@sibuscas.com

Pourquoi surveiller les taux d’œstrogène pour maintenir le poids idéal

La femme produit autant d’œstrogènes que de progestérone. Cependant, il existe la possibilité d’avoir trop d’œstrogènes par rapport à la progestérone. Plusieurs facteurs semblent expliquer ce déséquilibre, mais celui à prendre le plus en considération semble être le facteur faisant référence à l’obésité.

L’obésité ou excès de graisse corporelle occasionne la dominance de l’œstrogène. Les cellules grasses produisent de l’œstrogène. De façon naturelle, les femmes ont un pourcentage de graisse corporelle plus important, apportant une source d’énergie pour le développement d’un possible bébé, tout en étant une source de réserve d’œstrogène qui pourrait être nécessaire à des fins reproductrices. Cependant, l’excès de graisse et l’œstrogène additionnel produit peuvent devenir un problème.

Ces dernières années, l’idée que la consommation excessive d’hydrates de carbone est un responsable sous-jacent important des problèmes d’obésité, s’est renforcée. Concrètement, des études réalisées ont permis de trouver un lien significatif entre les taux élevés d’œstrogène, la puberté précoce avec le cancer du sein et la quantité de boissons au contenu élevé d’hydrates de carbone (boissons rafraîchissantes) que les jeunes buvaient.

Les xénoestrogènes (composés similaires aux œstrogènes) sont solubles en graisse et ne se décomposent pas facilement. Ils tendent à s’accumuler avec le temps et ils sont stockés par le corps dans les cellules de graisse. Cela soumet l’organisme à un interminable assaut toxique et un processus inflammatoire qui altère les fonctions intercellulaires des cellules de graisse.

Il a été démontré que l’excès de graisse corporelle altère les taux de plusieurs hormones, comme l’insuline, la leptine et l’œstrogène de telle manière qu’il augmente l’obésité. L’œstrogène ralentit le métabolisme et augmente la production d’insuline, ce qui fait que le corps stocke plus de calories sous forme de graisse au lieu de les utiliser pour obtenir de l’énergie. En résumé, plus on a de graisse, plus les taux d’œstrogène seront élevés, et plus les taux d’œstrogène sont élevés, plus nous nous exposons à l’obésité.

Pour vérifier s’il y a un excès d’œstrogènes dans notre corps, il est possible de réaliser un test d’hormones sexuelles ou bien pour un diagnostic plus complet, utiliser le test de système endocrinien.

Analía Iglesias

analia@sibuscas.com

Les algues, votre meilleur allié contre les carences nutritionnelles

Les algues transforment, grâce à leur chlorophylle, le gaz carbonique et l’eau en oxygène et en glucose, avec l’aide de la lumière solaire. Nous parlons du processus reconnu comme la photosynthèse.

Les algues absorbent le CO2 de l’atmosphère et elles expulsent l’oxygène et les gaz sulfureux qui entraînent la condensation des nuages. Grâce à cela, elles permettent de réguler le climat, diminuer l’effet de serre et purifier l’air.

Grâce à leur valeur nutritive élevée, elles sont idéales aussi bien pour prévenir que pour combattre les maladies. Mais que contiennent les algues ?

Les algues sont un aliment très riche en protéines, représentant en moyenne 25% de leur poids à sec.  Ces protéines sont de grande qualité, car elles contiennent un grand nombre d’acides aminés essentiels, c’est-à-dire, ceux que notre organisme ne peut pas synthétiser sans elles ou qu’il doit assimiler à travers l’alimentation. Ces acides aminés sont faciles à digérer en raison de la composition particulière des algues riches en sels minéraux et certaines enzymes. Grâce à cela, elles ont un coefficient de digestibilité jusqu’à 95% et elles se digèrent quatre ou cinq fois plus rapidement que les protéines animales. Elles ne contiennent pas de cholestérol, de graisses saturées, de résidus d’antibiotiques, de pesticides ni d’hormones de synthèse comme cela se produit avec les protéines de la viande.

Ces végétaux sont relativement pauvres en hydrates de carbone et en sucres, ce qui les transforme en complément idéal durant la croissance, les périodes de convalescence, la grossesse et pendant un régime amincissant.

Parmi le peu d’hydrates de carbone qu’elles contiennent, on trouve le mannitol, qui est un stimulant hépatique et légèrement laxatif qui n’augmente pas le glucose dans le sang, ce qui signifie qu’elles sont appropriées pour les diabétiques

Les algues sont un aliment vraiment peu calorique. Les sucres qu’elles contiennent sont en majorité mucilagineux, c’est-à-dire, qu’ils ont la propriété de gonfler dans l’eau, mais l’organisme ne les assimile pas. Cette propriété empêche le taux de sucre de s’élever dans le sang tout en étant utile pour les personnes souffrant de constipation.

D’un autre côté, la toxicité des métaux lourds auxquels nous sommes exposés quotidiennement se réduit par la présence des polysaccharides qu’elles contiennent.

Concernant leur contenu en graisses, les algues sont sous le seuil de 5% de leur poids à sec. Elles ont donc une valeur calorique faible. Les lipides qu’elles contiennent sont essentiellement des acides gras polyinsaturés.

En outre, les algues sont riches en :

– VITAMINES ; vitamine C, E, du groupe B (surtout en vitamine B12) et provitamine A.

– MINÉRAUX ; calcium, fer, sodium, potassium, phosphore et magnésium.

– OLIGOÉLÉMENTS ; iode, zinc, silicium, cobalt, chrome et manganèse.

Analía Iglesias
analia@sibuscas.com

Les bénéfices cardio-vasculaires de la broméline

La broméline est une enzyme digestive extraite de la plante de l’ananas. Elle est appelée « protéase », ce qui signifie qu’elle décompose les protéines, en les réduisant à leurs blocs de base de structure.

Voilà 500 ans, Christophe Colomb et son équipage « ont découvert » l’ananas sur l’île caribéenne de la Guadeloupe. Ils étaient même, à l’époque, surpris de ses usages médicinaux. Les natifs utilisaient le jus pour aider à digérer la viande et soigner les douleurs d’estomac. Les femmes s’en servaient pour embellir leur peau et les guerriers pour améliorer la guérison de leurs blessures. Des recherches récentes révèlent que l’ananas (plus spécifiquement la broméline, extraite de la tige) peut être l’un des meilleurs outils que nous pouvons utiliser pour aider à prévenir, voire même traiter des maladies du cœur.

La recherche a démontré continuellement que les caillots formés dans les artères se composent en grande partie de protéines (fibrine). Ces caillots contiennent aussi des particules de graisses diverses et de cholestérol, mais le maillage de protéines de fibrine semble être le coupable en maintenant le caillot. La broméline aide à décomposer les caillots de fibrine.

De plus, tout semble indiquer que la broméline peut être capable de « nettoyer » les artères des plaques athérosclérotiques avant que celles-ci ne viennent nous créer des problèmes.

D’autre part, elle a prouvé son efficacité dans le traitement des processus inflammatoires mais sans les effets secondaires de l’aspirine ou des anti-inflammatoires non stéroïdiens.

D’ailleurs, elle a été efficace y compris pour le traitement d’arthrite rhumatoïde en utilisant 2.250 mg de broméline deux fois par jour entre les repas. Dans une étude, plus de 70% des participants au programme ont ressenti des résultats positifs, obtenant une enflure moins importante des articulations, moins de douleur et plus de mobilité.

Pour soulager des problèmes digestifs communs, il faut la prendre après les repas. Cependant, si l’on veut utiliser cette enzyme digestive pour l’inflammation ou pour remplacer l’aspirine, mieux vaut la prendre entre les repas.

Analía Iglesias

analia@sibuscas.com

Connaissez-vous la différence entre les enzymes digestives et les probiotiques?

Afin de décomposer les aliments de manière efficace et effective, notre corps a besoin d’une quantité suffisante d’enzymes digestives.
Certaines de ces enzymes digestives viennent du pancréas, d’autres se produisent dans l’estomac et d’autres sont sécrétées par les glandes salivaires et les glandes de l’intestin grêle. Les aliments crus contiennent des enzymes naturelles qui rendent leur digestion plus facile, mais les autres aliments nécessitent des enzymes digestives que notre corps doit produire lui-même, pour absorber correctement les nutriments.
Malheureusement, avec l’âge, l’intestin devient moins efficace et nous commençons à produire moins d’enzymes digestives. En conséquence, notre tube digestif devient progressivement plus alcalin et cela devient plus difficile de briser complètement les chaînes de protéines, de graisses et de glucides des aliments que nous mangeons. Ce processus peut conduire à un certain nombre de problèmes de santé digestive, allant depuis l’aérophagie, des ballonnements à des allergies ou des intolérances alimentaires.
Il y a beaucoup de malentendus au sujet des différentes fonctions des enzymes digestives et des probiotiques, étant donné que ces deux éléments sont indispensables pour une bonne digestion et qu’ils sont impliqués dans la décomposition des aliments.

Les enzymes digestives agissent comme des dissolvants qui broie la nourriture en petits morceaux (fragments)  qui leur permettent d’être absorbés et utilisés par le corps. Ils travaillent dans tout le tractus gastro-intestinal inférieur, mais sont particulièrement abondants dans l’estomac et dans les sections supérieures.

Les bactéries probiotiques se trouvent principalement dans le tractus gastro-intestinal inférieur, ce sont des organismes vivants qui vivent en symbiose avec nous. Ces organismes fabriquent des produits dérivés, d’où leurs bénéfices. Ces substances (par exemple l’acide lactique) équilibrent de manière positive le milieu digestif, inhibent la croissance de bactéries nocives et sont favorables à la santé en générale. Nous recevons en héritage des bactéries  intestinales probiotiques de nos mères, et ces micro-organismes peuvent se perdre définitivement à cause de l’utilisation d’antibiotiques, d’une mauvaise alimentation, du stress ou de toxiques excessives dans le corps.

Malgré la différence entre ces deux éléments,  5000 différents types d’enzymes travaillent  dans notre corps. De ces 5000 variétés, environ 3000 sont fabriquées par des bactéries intestinales. Cela nous oblige donc à vérifier dans le test de kinésiologie, aussi bien l’état de la capacité enzymatique que l’état  de la flore intestinale.

Analía Iglesias

analia@sibuscas.com

Traitement naturel de la cataracte sans chirurgie

Même si la chirurgie est la forme la plus courante de traitement pour l’élimination de la cataracte, certaines recherches menées en Russie pourraient remplacer la nécessité de cette procédure invasive. Le Docteur Mark Babizhayev et ses collègues de l’Institut Helmholtz Eye à Moscou ont mené des études depuis 1991 sur les effets du composé naturel N-acetilcarnosina (N-AC ne pas confondre avec la N-acétylcystéine).

Le Docteur Babizhayev a démontré avec succès que l’application directe dans l’œil d’une solution à 1% de liquide de N-acetilcarnosina peut prévenir la formation de cataracte. Il a également obtenu d’excellents résultats dans la réduction et l’élimination de la cataracte liée à l’âge. Ces résultats ont été obtenus sans chirurgie et sans aucun médicament.

Au fur et à mesure que les cellules de l’œil vieillissent, elles sont soumises à l’oxydation et à un processus appelé glycation, dans lequel les sucres sont combinés avec les protéines. Il a été démontré que les gouttes oculaires de N-acetilcarnosina permettent d’empêcher et d’inverser la réticulation des protéines qui conduit à l’opacification du cristallin et qui altère la vision.

Après seulement un mois de traitement de ces gouttes, des résultats positifs et non négligeables ont été observés, et sans aucun effets secondaires.

Certains patients remarquent parfois un « flou » temporaire dans sa vision pendant une heure ou deux après l’application des gouttes. Cependant, cela peut être dû au processus de désintégration de la cataracte. La recherche suggère que l’inversion de la cataracte commence à la périphérie et se rétracte vers l’intérieur.

Au cours du processus, qui semble prendre environ six mois, la vision devient progressivement plus claire.
Au cours de cette période de six mois de traitement, plus de 41% des yeux traités avec des gouttes de N-acetilcarnosina ont montré une amélioration dans la transmission de la lumière à travers la lentille,  88,9% ont montré une amélioration significative de leur sensibilité à l’éblouissement et 90% ont améliorés de manière notable leur acuité visuelle.
En aucun cas, il y a eu une aggravation du patient. Les tests ont été prolongés pendant deux ans et tous les effets observés ont été positifs.

les résultats de la recherche recommandent l’application d’une à deux gouttes de N-AC dans chaque œil, deux fois par jour.
L’effet optimal sur l’acuité visuelle est généralement observé entre trois et cinq mois de traitement.

 L’efficacité du traitement dépend du nombre d’années que le patient souffre de cataracte. Pour les patients atteints de cataracte depuis moins de 7 ans, les résultats ont été rapides et positifs. Pour ceux atteints de cataracte entre 7 et 15 ans, les résultats ont été positifs.
Et ceux atteints de cataracte depuis plus de 15 ans, ont montré une amélioration, bien que moins importante que les deux autres groupes.

Analía Iglesias

analia@sibuscas.com

La glycine et ses utilisations thérapeutiques

La glycine est l’un des acides aminés les plus communs et les plus simples dans sa structure. Cependant, elle est nécessaire dans tellement de fonctions du corps que sa carence peut entraîner de nombreux problèmes.

La glycine est classée comme un acide aminé non essentiel (ce qui signifie qu’elle se produit en abondance dans nos apports normales de nourriture et notre corps peut la synthétiser le cas échéant). Cela explique qu’on a accordé très peu d’attention à tout son potentiel, notamment dans l’utilisation thérapeutique.

La plupart des recherches de base sur la glycine a été réalisée au début du XXème siècle, et c’est à cette époque que de nombreux médecins avaient commencé à affirmer qu’en augmentant les niveaux de glycine, on pourrait réduire, voire éliminer de nombreux problèmes de santé. Malheureusement, même si notre corps a la capacité de synthétiser la glycine, cela ne veut pas forcément dire que les niveaux de glycine, maintenus dans les tissus soient toujours adéquats.

Les agressions continuelles de produits chimiques dans l’eau, dans la nourriture et dans l’environnement ainsi que le stress, peuvent altérer notre capacité à synthétiser la glycine en quantités convenables, surtout si on manque de matière première pour la synthétiser.

Le corps a besoin d’une source de protéines de bonne qualité pour synthétiser la glycine supplémentaire. La protéine inappropriée du régime alimentaire est fréquente chez les personnes âgées – non seulement à cause du type de régime qu’elles ont l’habitude de faire, mais aussi parce que notre capacité à produire des enzymes digestives diminuent, ainsi que l’acide chlorhydrique  nécessaire pour une bonne digestion de cette protéine.

La grossesse peut aussi être un facteur qui altère les niveaux de glycine. Pendant la grossesse, le fœtus a besoin de deux à dix fois la quantité normale de glycine. Les carences en Glycine peuvent affecter aussi bien la mère que la croissance de l’enfant.

Il a également été démontré que la glycine apaise le système nerveux central et a été utilisé pour aider à contrôler l’épilepsie et diminuer les symptômes de la schizophrénie.

Quand nous avons une blessure, le fait d’augmenter le taux de glycine peut accélérer la cicatrisation. La glycine est nécessaire pour la synthèse des blocs de construction de nucléotides du corps – ADN et de l’ARN.

La glycine a également un rôle important dans la synthèse du composé de désintoxication du glutathion , un tripéptide composé de trois acides aminés (glycine, l’acide glutamique et la cystéine).

En outre, la glycine est nécessaire pour la synthèse de l’hémoglobine,  porteuse d’oxygène, des sels biliaires digestives et du glucose.

De plus, elle s’occupe directement de la désintoxication de certains composés tels que l’acide benzoïque. Cet acide est largement utilisé dans l’industrie alimentaire, comme antimicrobien et comme conservateur. L’acide benzoïque peut se trouver dans les aliments aussi communs que le dentifrice, les bains de bouche, les cosmétiques, les déodorants et dans d’autres nombreux aliments.

Pour connaître votre taux de glycine ou en savoir plus sur son utilisation thérapeutique, vous pouvez utiliser le kit de test des acides aminés.

Analía Iglesias

analia@sibuscas.com

Les avantages d’une alimentation riche en citrouille

La citrouille est riche en caroténoïdes,  puissants antioxydants qui lui donne la condition de « superaliments ». Les caroténoïdes peuvent éviter les risques de certains cancers et maladies cardiaques, ainsi que la cataracte et la dégénérescence de l’œil.
Ces antioxydants neutralisent les radicaux libres, maintenant à distance les cellules cancéreuses et la peau sans rides.
Mais il y a d’autres très bonnes raisons pour ajouter la citrouille à votre panier, comme par exemple:

• Sa teneur élevée en fibres contribue à la perte de poids et facilite un bon transit intestinal.
• Les graines de citrouille sont riches en phytostérols, qui aident à réduire le LDL ou « mauvais  » cholestérol.
• La citrouille contient de la bêta-carotène, un antioxydant, qui a également un rôle important dans la prévention du cancer.
• Les graines de citrouille sont riches en tryptophane, un acide aminé, qui joue un rôle non négligeable dans la production de la sérotonine et de la GABA, hormone qui influence notre état d’âme.

Les graines de citrouille pourraient être particulièrement recommandables pour les hommes. Les dernières recherches démontrent que l’huile de graine de citrouille retarde la croissance de la prostate. Un quart de tasse de graines contient également environ 2,75 mg de zinc (environ 17% de l’apport quotidien recommandé pour les adultes), agissant de manière positive sur la sexualité masculine. Une étude de l’Université Wayne State montre que les hommes ayant réduit leur consommation de zinc dans leur alimentation avaient des niveaux de testostérone nettement inférieurs au bout de 20 semaines.
Une tasse de citrouille cuite fournit à notre corps avec environ 564 milligrammes de potassium. Après une séance d’entraînement intense, l’ingestion supplémentaire de potassium contribue à rétablir l’équilibre électrolytique du corps et aide a maintenir les muscles dans un état optimal.
Avec 7384 mg par 100 g, la citrouille est un légume appartenant  à la famille des cucurbitacées avec des niveaux très élevés de vitamine A, apportant environ 246% RDA. La vitamine A est un antioxydant naturel puissant et l’organisme en a besoin pour maintenir l’intégrité de la peau et des muqueuses. La vitamine A est également essentielle pour la vue.
En outre, la citrouille est riche en vitamine C. Une tasse de citrouille cuite contient plus de 11 milligrammes, soit près de 20% des 60 mg / jour que le FNB-IOM (Food and Nutrition Board of the American Institute of Medicine) recommande pour les femmes. Pour les hommes, cette institution américaine recommande environ 75 milligrammes.
La citrouille est une bonne source de vitamines B, comme l’acide folique, la niacine, la vitamine B-6 (pyridoxine), la thiamine et l’acide pantothénique.

Par conséquent, aussi bien la citrouille que ses graines sont une source concentrée de protéines (acides aminés), de minéraux et de vitamines qui influent de manière très positive sur la santé . Vous ne l’avez pas encore inclus dans votre menu? Qu’attendez-vous?

Analía Iglesias

analia@sibuscas.com

Les bactéries intestinales influencent nos préférences alimentaires.

Ces dernières années, de nouvelles découvertes ont été faîtes sur l’importance d’établir et de maintenir correctement la flore intestinale. Ces découvertes montrent comment un déséquilibre peut être la raison sous-jacente de nombreuses maladies: depuis le cancer, en passant par les maladies cardiaques. Ce déséquilibre peut également agir sur notre moral et produire de l’anxiété.

Notre corps est recouvert de ces micro-organismes. Le nombre de bactéries vivantes à l’intérieur du corps humain dépassent celles des cellules humaines de 10 à 1. Et il semble maintenant que ces bactéries peuvent effectivement influencer nos décisions sur ce que nous mangeons et buvons.

Nous avons un grand nombre très diversifié de micro-organismes dans l’intestin. Ils ont tous un objectif principal: la survie (la leur, pas nécessairement la nôtre). Les différentes espèces de micro-organismes préfèrent différents types de nutriments. Certaines optent pour le sucre d’autres pour la graisse et d’autres pour les légumes.

Actuellement, les chercheurs ont démontré que les bactéries intestinales ont une influence directe sur notre comportement et notre humeur, en altérant chimiquement les signaux nerveux que le cerveau utilise pour surveiller l’activité dans l’intestin.

En libérant certains produits chimiques, les bactéries peuvent changer les récepteurs de goût, inciter a l’anxiété et nous faire préférer un aliment à un autre.
Les chercheurs commencent à observer comment ces bactéries peuvent libérer des toxines pour nous faire sentir mal quand nous mangeons quelque chose qu’elles n’aiment pas et ensuite elles nous « récompensent » en produisant des substances chimiques qui nous font sentir bien quand nous prenons la « bonne » décision.

Si les bactéries sont bonnes et saines, aucun problème. Cependant, si les mauvaises bactéries ont le contrôle de l’intestin, la bataille entre les différentes espèces de bactéries pour la nourriture peut conduire à des changements indésirables dans notre corps.

Les intérêts de ces bactéries dans un régime alimentaire ne sont pas toujours les mêmes que les vôtres et vous pouvez le noter dans la façon dont vous vous sentez et dont vous agissez. Vous pourrez ressentir une certaine anxiété,  des troubles de l’humeur ou perdre la capacité à contrôler les fluctuations de sucre dans le sang.

Comme les bactéries intestinales agissent sur nos désirs et notre humeur afin de satisfaire ses propres besoins, elles peuvent être une cause sous-jacente de l’obésité, des maladies cardiaques;  deux des maladies les plus courantes qui affectent notre société.
Les bactéries intestinales vivent dans leur propre microenvironnement dans notre tube digestif et ont une communication directe avec nos systèmes immunitaire, nerveux et endocrinien. Petit à petit,   elles détectent exactement les signaux chimiques qui leur donneront la plus grande quantité d’aliments dont elles ont besoin pour survivre et se développer

Avec l’aide du kit de diagnostic basic, nous pouvons vérifier si nous avons suffisamment de bactéries ou si au contraire, nous en avons trop.

Analía Iglesias

analia@sibuscas.com

Rapport entre le système nerveux entérique et le tractus intestinal

Le système nerveux entérique (SNE) est celui qui contrôle et régule notre tractus intestinal. L’existence du SNE est la raison pour laquelle l’intestin est connu comme le « deuxième cerveau ».

Désormais, nous savons que le SNE peut travailler de façon autonome ou en collaboration avec le cerveau.
Le SNE détecte les menaces environnementales de la même manière que nos yeux, notre nez, notre peau, etc. Une grande partie de l’information de l’environnement extérieur vient de notre intestin, et même si cette information affecte notre bien-être général, nous n’en sommes pas toujours conscients.

Le nerf vague est l’un des principaux acteurs dans la relation du SNE avec le cerveau et l’intestin. C’est le nerf crânien le plus long et ce nerf a la plus large distribution de tout le corps. Ce nerf relie le tractus intestinal avec le cerveau, et 90% de tous les signaux qui passent le long de ce nerf voyagent depuis l’intestin jusqu’au cerveau et non du cerveau vers le bas comme on le pensait à l’époque.

Notre « deuxième cerveau » produit également de nombreuses hormones et environ 40 différents neurotransmetteurs qui se trouvent également dans notre cerveau.

En fait, 95% de l’ensemble de la sérotonine du corps trouvé à un moment donné se situe dans le système nerveux entérique.

Des recherches montrent comment les signaux nerveux envoyés par l’intestin au cerveau, qui passent le long du nerf vague, affectent notre humeur. Cela fait penser que la stimulation du nerf vague peut être un traitement efficace contre la dépression.

Il a également été démontré que la consommation d’aliments gras envoie un message fort depuis l’intestin au cerveau, qui rejette l’émotion de tristesse et qui a généralement comme origine le stress, perçu comme un déclencheur.

Le stress fait que l’intestin augmente la production de l’hormone appelée ghréline. Cette hormone envoie des messages au cerveau à travers le nerf vague, et donne l’ordre de libérer plus de dopamine, une substance qui réduit la dépression et l’anxiété. Cependant, la ghréline nous donne aussi plus faim. Le stress déclenche une chaîne de conjonctures qui entraine un appétit  et un besoin plus importants pour les aliments gras.

Tout cela explique pourquoi les aliments gras nous font sentir bien quand nous nous sentons déprimés ou stressés, comme par exemple, noyer notre tristesse avec de la crème glacée.

Afin d’assurer qu’il ya une bonne connexion entre le système nerveux entérique et le cerveau, il est important de connaître l’état de notre nerf vague.  Pour cela, vous disposez du test des nerfs principaux.

Analía Iglesias

analia@sibuscas.com