Le bon choix alimentaire

 

En ces jours d’excès alimentaires, il peut s’avérer utile de nous fixer un nouveau cap sur le plan nutritionnel et de nous demander comment bien nous alimenter et si nous le faisons correctement.

Les aliments frais sont considérés comme bons pour le corps, non seulement parce qu’ils sont frais, mais également parce qu’ils contiennent de nombreuses enzymes et qu’ils ne sont pas oxydés. Comme nous le savons, l’oxydation est un processus chimique qui se produit lorsque la matière entre en contact avec l’oxygène. Ce processus qui est très fréquent avec le fer ou les métaux se produit également avec les aliments. Par exemple, lorsque nous utilisons de l’huile pour faire frire quelque chose, nous constatons que celle-ci se décolore et noircit.

Il est fondamental de savoir que lorsque ces aliments oxydés pénètrent dans notre corps, des radicaux libres se forment. Ces derniers ont une forte capacité à endommager notre corps en raison de leur forte capacité d’oxydation, bien plus élevée que celle de l’oxygène lui-même.

Les aliments oxydés ne sont pas les seuls qui produisent des radicaux libres. Il existe en effet un certain nombre d’éléments tels que le tabac, l’alcool et le stress qui sont également à l’origine de radicaux libres. Des radicaux libres sont même produits lorsque nous respirons. L’homme respire de l’oxygène et brûle le glucose et la graisse dans les cellules, ce qui produit notre énergie, mais 2 % de ce qui pénètre dans notre corps est composé de radicaux libres.

Cependant, même s’ils sont considérés comme les méchants, les radicaux libres jouent également un rôle essentiel, permettant de tuer des virus, des bactéries, des champignons et d’éliminer des infections. Toutefois, lorsque le nombre de radicaux libres augmente au-dessus d’un certain seuil, ils commencent à détruire la cellule et son ADN.

L’organisme dispose d’un mécanisme pour se défendre contre les radicaux libres : une enzyme antioxydante connue sous le nom de superoxyde dismutase (SOD). Cette fiole est disponible dans un kit du système endocrinien.

Dès l’âge de 40 ans, la quantité de cette enzyme diminue dans le corps. C’est pourquoi de nombreux auteurs associent cet âge à l’augmentation des maladies liées au mode de vie.

En conclusion, si nous continuons à manger des aliments oxydés, de nombreux radicaux libres seront générés dans notre corps. En outre, les aliments oxydés disposent d’une quantité minime d’enzymes, de sorte que le corps aura beaucoup de difficultés à produire des enzymes souches, entrant ainsi dans un cercle vicieux de radicaux libres non neutralisés à l’origine de maladies.

Au contraire, s’alimenter avec des aliments frais et riches en enzymes, outre limiter la quantité de radicaux libres, limitera également la dégradation des enzymes souches de notre corps, ce qui conservera plus longtemps la santé générale de notre organisme et de notre énergie.

 

Ángel Salazar

Kinepharma

Test d’organes et d’immunité avec la kinésiologie


Comme les physiothérapeutes le savent déjà, les organes ou les glandes vont être testés dans la sphère chimique. Le test d’organes peut être effectué de deux façons.

  • Avec la thérapie de localisation (TL) au niveau de leurs points réflexes. Afin de vérifier si nous sommes en présence d’hypofonctionnement de l’organe, ce sera le thérapeute qui appuiera sur les points, en d’autres termes, ce sera lui qui effectuera la TL dès lors que le résultat donne un AR (Arm Reflex ou le raccourcissement du bras). Inversement, si l’AR résulte de la pression exercée par le patient lui-même sur cet organe, il y aura un hyperfonctionnement de l’organe ou de la glande correspondante. Par exemple, si le thérapeute touche le foie du patient et qu’il en résulte un AR, alors il y a un hypofonctionnement de cet organe. Si c’est le patient qui effectue la TL sur le foie et qu’il en résulte un AR, alors il y a un hyperfonctionnement du foie.
  • Avec des filtres ou des fioles telles que celles d’un test d’organes. Ce filtre ou fiole est une dilution homéopathique de l’organe ou de la glande. Si nous mettons la fiole d’un organe donné sur le résonateur ou bien sur un centre énergétique du patient et qu’il en résulte un AR, alors l’organe du patient présente un dysfonctionnement.

Par conséquent, cette fiole nous indique qu’un organe ou qu’une glande fonctionne de façon inadéquate. Il faudra donc voir avec des mudras à quel niveau se produit ce dysfonctionnement (structurel, chimique, énergétique ou émotionnel). Dans le cas où nous nous trouvions dans une phase d’imprégnation cellulaire et dans le cas de maladies chroniques, l’utilisation de produits « organopreparés » est recommandée afin d’agir de façon appropriée sur cette carence.

Test sur le système immunitaire

L’être humain est né avec un système immunitaire capable de répondre aux attaques propres ou étrangères. Pendant les premiers stades de développement, ce système apprend et reconnaît ce qui lui est propre : il s’agit de la tolérance immunologique, et dès lors qu’elle est perdue, des maladies auto-immunes surviennent. Des réactions d’hypersensibilité se produisent également : allergies, réactions excessives du système immunitaire face à des substances apparemment inoffensives. Les principaux organes et glandes responsables de ce contrôle sont les suivants :

  • La moelle osseuse : il s’agit de l’usine à cellules, qu’il s’agisse de cellules souches ou de cellules sanguines.
  • Le thymus : là où les lymphocytes T mûrissent.
  • La rate : là où les lymphocytes B mûrissent
  • Membrane de l’intestin : Elle est fondamentale d’un point de vue immunitaire, son fonctionnement devant être parfait afin de prévenir l’entrée d’agents pathogènes dans le sang et dans la lymphe. Elle contient les plaques de Peyer qui contrôlent l’immunité de l’ensemble des membranes du corps.

Le test est effectué comme suit. Pour le test global, nous utiliserons les fioles ou filtres suivants :

  • Rate D4.
  • Thymus D4.
  • Système réticulo-endothélial (RES).

La présence d’un AR lors de l’un de ces tests signifie que les défenses sont basses. On recherchera à quel niveau cette défaillance se produit (la cause peut également être psychologique, énergétique, etc.).

Les fioles du système immunitaire intestinal, celle de GALT (tissu lymphoïde associé à l’intestin), de MALT (tissus lymphoïdes associés aux muqueuses) et de la moelle épinière peuvent également être utilisées.

Angel Salazar

Kinepharma

L’atopie

L’atopie est une prédisposition anormale à synthétiser des anticorps de type IgE suite à la pénétration d’allergènes naturels dans l’organisme à travers la peau, la muqueuse, le tube digestif, les voies respiratoires et les voies oculaires.

Il apparaît que ces allergies seraient principalement dues aux nombreux changements répertoriés dans les pays développés au cours des dernières années, et notamment à la pollution, à la réduction de la fréquence et de la durée de l’allaitement, à la diminution de la consommation d’acides gras insaturés au profit d’acides gras saturés, à la surconsommation d’antibiotiques, à l’hygiène personnelle excessive ainsi qu’à d’autres facteurs à l’origine d’une altération de l’immunité dès les premiers stades de la vie.

La réponse allergique débute dès la vie intra-utérine. Le développement de la réponse atopique est en effet associé à une prédominance de la population de lymphocytes de type TH2 à l’origine de la production d’IgE et de cytokines pro-inflammatoires. Ceci est dû au fait qu’afin de prévenir son rejet par l’organisme de la mère, le fœtus se trouve dans un environnement de type TH2. À sa naissance, le système lymphocytaire du bébé se caractérise par des lymphocytes immatures, dépourvus de marqueurs spécifiques.

Pendant les premiers mois de vie, ces lymphocytes immatures acquièrent des propriétés fonctionnelles, étant en contact avec des antigènes étrangers. Les premiers antigènes que rencontre le bébé sont ceux de la flore vaginale de la mère. En cas de césarienne, cette rencontre n’aura pas lieu. De même, si le terrain bactérien de la mère est perturbé, le bébé ciblera ses défenses vers une direction anormale, autrement dit, il n’acquerra pas la capacité d’une réponse visant à lutter contre les infections de type TH1. En effet, en cas d’absence d’infections ou de flore vaginale correcte chez la mère, ses défenses se tourneront vers le type TH2, et donc vers une inflammation allergique. Couplé à l’utilisation précoce et continue d’antibiotiques, ce phénomène a été associé à un risque aigu d’asthme et d’allergie.

Autres causes modifiant l’immunité

L’utilisation généralisée de vaccins empêche également le développement de l’infection et donc la défense de l’organisme par les TH1, favorisant ainsi la prolifération des TH2.

De même, l’hygiène excessive joue un rôle fondamental dans ce phénomène : les enfants vivant à la campagne présentent moins d’allergies que les enfants vivant en ville en raison de l’exposition précoce aux endotoxines des bactéries Gram négatives présentes chez les animaux de la ferme.

Dans le cas d’un terrain atopique, nous avons clairement besoin de traiter le terrain le plus tôt possible. Les allergies peuvent être prévenues à travers la nutrition, les probiotiques, acides gras essentiels, glutamine, etc., renforçant les mécanismes de défense de la barrière digestive, et en surveillant l’alimentation.

Il faut donc changer ces habitudes afin de prévenir ce type de trouble du système immunitaire. Ceci peut être testé avec un kit d’immunité.

 

Angel Salazar

Kinepharma

La segmentation en kinésiologie

Dans l’article sur l’isolement, nous avons déjà abordé le fait que lorsque le corps nous protège d’une information qu’il ne peut pas gérer, une barrière se crée et le corps ne peut pas atteindre cette information. Ce message pouvant être dangereux, le corps agit en créant une série de mécanismes de compensation visant à minimiser les dommages. L’un de ces mécanismes est la segmentation, autrement dit, notre organisme divise les informations en blocs ou parts afin de les adapter en différentes traces de mémoire qui se dirigent vers les différentes parties du corps.

Le résultat de la segmentation est que notre organisme nous donnera différents symptômes difficiles à comprendre, d’où l’importance de leur identification rapide. Voilà pourquoi il s’agit de l’une des principales étapes du protocole kinésiologique. Cette adaptation se traduit par une dépression immunitaire de la personne, en d’autres termes, elle présentera une baisse de ses défenses immunitaires.

Le résultat sera que l’ensemble du corps présentera cette pathologie, une petite part de celle-ci. Si les personnes atteintes travaillent dans l’ignorance de ce processus, l’administration d’un traitement sera à l’origine d’une amélioration sur plusieurs jours, mais leur état s’aggravera à nouveau.

Il est donc important de voir que la segmentation existe et de repérer où la personne l’a adaptée.

Test

Avec la mudra, le petit doigt en l’air, l’annulaire, le majeur et l’index pliés vers le bas et le pouce sur la première phalange de l’index, sur la ligne. Faites ceci sur les deux bras de votre patient.

Traitement

Il comporte plusieurs étapes associées :

  • Le patient doit penser à ses problèmes et à ses douleurs avec les yeux ouverts puis fermés. Voir quelle position des yeux donne un AR (Arm Reflex) et enregistrer la position prioritaire.
  • Rechercher l’os qui corrige, l’occipital, le sacrum, le frontal ou le pubis, simplement en touchant le patient qui doit avoir les yeux dans la position inverse à celle donnant un AR.
  • Une fois l’os repéré, effectuer un tapping sur  l’os qui corrige pendant environ une minute avec les yeux dans la même position que précédemment, soit dans la position inverse à celle donnant un AR. Le son de l’os devrait changer et une modification devrait être constatée.
  • Vérifier que l’AR a bien été supprimé.
  • Rechercher maintenant l’origine du problème avec un anneau en cuivre. Pour ce faire, visualiser les zones du corps, notamment celles qui souffrent le plus des troubles endocriniens telles que les gonades, l’utérus, les ovaires et les seins chez la femme et la thyroïde, les reins, les glandes surrénales et la prostate chez l’homme, etc. Là où l’AR est prioritaire, enregistrer puis traiter, voyant avec des mudras s’il est structurel, chimique, émotionnel ou énergétique. S’il est chimique, utiliser un kit de diagnostic de base.

Causes principales

Il existe trois causes de désorganisation de l’information dans l’organisme : l’isolement (article du 13 mai 2013 : « Comment traiter l’isolement en kinésiologie »), le switching et la segmentation que nous venons de voir. Voici les principales causes de cette perturbation de l’information :

  • La première côte. Parfois, des problèmes de cou sont en fait le résultat d’un manque de mobilité des vertèbres dorsales et des côtes. La première côte est particulièrement vulnérable. Elle peut être immobile, en rotation ou élevée, comprimant les nerfs contre la clavicule.
  • Raccourcissement de la dure-mère (membrane autour du cerveau, en cas de torsion, le cerveau ne peut pas bien fonctionner).
  • L’articulation temporo-mandibulaire (ATM), si elle ne fonctionne pas bien, cela aura un impact sur d’autres systèmes.
  • Occipital, cicatrices et troubles oculomoteurs.
  • Il faut toujours rechercher les candidas, les métaux lourds, etc.

 

Angel Salazar

Kinepharma

L’intolérance au gluten

Le gluten est une petite partie protéique présente dans le blé, y compris dans toutes les espèces de Triticum telles que le blé dur, l’épeautre, le kamut, le seigle, l’orge, l’avoine ou leurs variétés hybrides.

Cette intolérance au gluten, connue sous le nom de maladie cœliaque, survient chez des sujets génétiquement prédisposés et se caractérise par une réaction inflammatoire provoquée par un trouble immunitaire engendré par cette protéine. Tout ceci se produit dans la muqueuse de l’intestin grêle, entravant la bonne absorption des nutriments.

Elle se manifeste généralement par un certain nombre de symptômes tels qu’une perte d’appétit et de poids, des ballonnements, une anémie ferriprive, une diarrhée chronique, des vomissements. Chez les enfants, elle provoque un retard de croissance et apparaît généralement peu après l’intégration des céréales dans leur régime alimentaire. Notons cependant que dans de nombreux cas, les symptômes peuvent rester cachés, notamment au début.

Cette maladie est associée à d’autres telles que l’anémie, la stérilité, l’ostéoporose, la maladie thyroïdienne ou la dépression. Nous devons donc tous être conscients que d’une façon ou d’une autre, nous pouvons présenter un certain type d’intolérance à cet aliment.

Il faut être particulièrement prudent, de nombreux aliments transformés contenant du gluten en petites quantités. Nous recommandons donc de lire les étiquettes et de s’habituer aux aliments qui n’en contiennent pas naturellement tels que le riz, le maïs, les fruits, les pommes de terre, les légumes, outre les viandes et poissons non transformés.

L’intolérance au gluten ne doit pas être confondue avec l’allergie au gluten. L’allergie ne permet aucune sorte de consommation, même minime, celle-ci pouvant provoquer une réaction anaphylactique et entraîner la mort.

Comment pouvons-nous identifier cette pathologie en kinésiologie ? :

Tout d’abord, nous identifierons l’existence d’une intolérance alimentaire grâce à une fiole causticum D 30, qui provoque un AR lorsqu’elle sera placée sur le patient. Elle devra être éprouvée avec la fiole de gluten qui corrigera cet AR (Arm Reflex ou le raccourcissement du bras). Ces fioles sont disponibles dans un kit d’intolérances alimentaires.

 

Angel Salazar

Kinepharma

 

Prévenir le diabète de type II en kinésiologie

En thérapie anti-inflammatoire, il faut rechercher quels sont les déclencheurs, connus en anglais sous le nom de triggers. Il s’agit des toxines exogènes et endogènes, des allergies, des disglycémies et des radicaux libres. L’intestin joue donc un rôle fondamental dans les allergies et l’inflammation.

Une équipe de recherche dirigée par Gerald I. Shulman, à l’université de Yale, dans le New Haven aux États-Unis, a découvert que, dans le diabète de type II, l’insuline supprime la production de glucose par le foie en inhibant la dégradation des graisses et que la suppression du processus normal d’inhibition de la production de glucose par le foie est attribuée au fait que l’inflammation dans le tissu adipeux (graisse) provoque une augmentation de la production de glucose hépatique et de l’hyperglycémie.

Au début, seule une augmentation du taux d’insuline dans le sang est détectée et le patient ne présente aucun autre symptôme. Au moins un quart de la population ne présentant ni sucre dans le sang ni symptômes a un taux d’insuline élevé. Avec le passage du temps ceci provoque un processus inflammatoire qui touchera le foie, augmentant le taux d’acides gras, de triglycérides et de cholestérol dans le sang, augmentant la pression artérielle et provoquant des troubles cardio-vasculaires.

Une autre conséquence est l’inhibition de la production de DHEA (déhydroépiandrostérone), une hormone produite par les glandes surrénales, à l’origine d’une augmentation du taux de cortisol et de l’oxydation dans le foie.

 

Comment pouvons-nous prévenir l’augmentation de la production d’insuline ? Principalement, en intervenant sur les récepteurs hormonaux de l’insuline afin de les réparer et de faire en sorte qu’ils fonctionnent de façon adéquate. L’exercice, l’alimentation et tout ce qui a trait à la membrane cellulaire, tel que les acides gras essentiels, le zinc, la vitamine E, le chrome, le magnésium, l’acide alpha-lipoïque, etc., joueront un rôle fondamental.

Mais comment pouvons-nous le tester si le taux d’insuline est élevé ? Le fait de mettre la fiole sur le patient donnera un AR (Arm Reflex). Si le taux de glucose dans le sang est déjà élevé, il donnera bien évidemment également un AR. Nous devons aussi rechercher les troubles métaboliques, ces derniers pouvant nous guider, et comme nous l’avons vu précédemment, il peut y avoir un manque d’hormones sexuelles, un excès de cortisol, et notamment, un manque de DHEA.

 

Ángel Salazar Magaña

Kinepharma.

 

Problèmes de géopathologie et conseils pratiques

La géopathologie est un problème souvent oublié, et même s’il est pris en compte, il l’est uniquement à la maison ou au bureau. Lorsque nous voyageons, il est donc important d’utiliser la mudra afin de confirmer que nous pourrons bien nous reposer. Ainsi, si en regardant le lit nous présentons un AR (Arm Reflex ou le raccourcissement du bras), nous fixons cette information et nous recherchons un lieu alternatif supprimant cet AR. Ce lieu sera bien mieux adapté à notre sommeil, n’étant pas uniquement neutre, mais nous équilibrant du point de vue énergétique.

Pour effectuer la mudra, placer l’index sur le pouce, le majeur sous le pouce, l’annulaire sur le pouce et l’auriculaire droit. Lorsque le patient présente un AR, alors il est atteint d’une géopathologie et possède l’information s’y rapportant dans son corps, d’où le changement d’information.

Nous pouvons également utiliser la fiole de Silicea 60 DH ou son alternative, la fiole de Lithium carbonicum D60, toutes deux étant disponibles dans un kit de géopathologies.

  • Les troubles les plus courants pouvant être à l’origine de géopathologies sont :
  • L’insomnie
  • L’asthénie au lever ou chronique
  • Les maux de tête ou de dos au lever
  • Les douleurs rhumatismales
  • Les troubles circulatoires et cardiaques (tachycardie inexpliquée)
  • La nervosité, l’irritabilité
  • L’humeur dépressive
  • L’atteinte du système immunitaire et les maladies auto-immunes ou dégénératives.

 

Conseils

 Si nous partons vivre dans une nouvelle maison, la qualité biologique du lieu doit être vérifiée. Il convient ainsi de s’assurer qu’il ne se trouve pas à proximité de lignes haute tension et de transformateurs, et en particulier, qu’il n’est pas sillonné par de fortes anomalies géobiologiques, telles que les cours d’eau souterrains. Cela évitera notamment que les points géopathogènes ne correspondent au lieu où nous dormons, travaillons ou où nous passons la plupart de notre temps.

Nous devons éloigner de ces lieux les dispositifs émettant un rayonnement électromagnétique tels que les appareils de musique : télévision, radio, ordinateur, téléphone portable, etc.

Il est conseillé de dormir avec la fenêtre ouverte, purifiant ainsi les rayonnements et évitant de respirer un air raréfié.

En outre, il est recommandé d’éviter les matériaux et les meubles synthétiques n’ayant pas subi de traitements antistatiques dans le logement. Cette mesure s’étend à la literie et aux vêtements pour lesquels vous préférerez les fibres naturelles.

 

Angel Salazar Magaña

Kinepharma.

 

Nov 4, 2016

Tester le stress en kinésiologie avec le pre-estresing

le stressLe stress est un mal qui touche bon nombre d’entre nous.Notre routine est généralement rythmée par des tâches quotidiennes qui nous génèrent du stress presque quotidiennement.Aujourd’hui, nous nous sommes tellement habitués à nous sentir stressés qu’il nous est difficile de nous retrouver dans un état naturel de détente et de repos alors même que nous en avons le temps.

Le stress est une réaction physiologique de l’organisme qui implique différents mécanismes de défense,nous aidant àgérer une situation perçue comme une menace ou une demande croissante (de force, d’attention, de mémoire, etc.)

En d’autres termes, il s’agit d’un symptôme provoqué en tant que réaction à un certain type de trouble.Certains de ces symptômes sont faciles à remarquer,tels que la nervosité, l’agitation ou l’anxiété.En revanche, d’autres ne sont pas si simples à détecter, comme lorsque le cœur bat plus vite, les pupilles se dilatent ou la transpiration augmente.

Bien qu’il s’agisse d’une réaction naturelle et nécessaire à la survie, le rythme de vie et l’excèsd’obligations sont à l’originede l’abus de ce système de défense, provoquant destroubles de santé.

Lorsque ce mécanisme agit en excès, il engendre une surcharge et de la tension dans le corps humain à l’origine de certaines maladies qui entraventle développementet le fonctionnement optimaldu corps.

Les premiers symptômes généralement ressentis sont, par exemple,des troubles de la mémoire, des difficultésde concentration et des sautes d’humeur.

Les situations stressantes sont nombreuses et variées,en particulierlorsque l’on sait que quelque chose ne va pas bien, lorsque nous devons nous adapter aux changements, comme lors du démarrage d’un nouvel emploi, de la fin d’une relation, d’un mariage, d’un examen, d’un déménagement, d’une maladie dont nous serions atteints ou dont souffrirait un membre de notre famille oude la perte d’un être cher.

Certains des troubles causés par le stress sont : perte ouchute de cheveux, dépression, obésité ou surpoids, diminution de la libido, règles irrégulières, acné, ulcères, insomnie, diminution de la fertilité, troubles digestifs et maladies cardiaques.

le pre-estresing

Technique pre-estresing

Certainespersonnes présentent des troubles ou des gênes causés par le stress uniquement lorsqu’elles sont plongées dans la cause ou la situation stressante. Si cela se produit, lors du test kinésiologique de l’AR, le patient ne donnera pas de réponses positivesalors même que les parties impliquées sont testées.Lors de l’exécution du test musculaire, les muscles impliqués dans les symptômes du stress donneront un AR, autrement dit, ils seront forts.

Pour aider à rappeler au corps tout type de stress, nous pouvons utiliser la technique de pre-estresing.

Cette technique consiste à stimuler par tapping les points de pre-estresing :

9VC

24VC

26VG

Après avoir effectué le tapping sur ces trois points, notre corps a réactivé ou s’est rappelé les réactions latentes à l’origine de la situation stressante et nous montrera quels muscles sont faibles et où il faut travailler.

Nous aurons environ 20 minutes pour effectuer à nouveau le test musculaire.Nous vérifierons que grâce au stimulus des points pre-estresing, les muscles-organes-méridiens faibles qui ne répondaient pas précédemment avec un AR y répondent maintenant.

Oct 28, 2016

Le sucre simple et les troubles de santé mentale

Le sucre simple

Si nous souhaitons préserver notre santé mentale et intestinale sur le long terme, nous ne pouvons ignorer les dangers supposés par une consommation excessive de sucre simple.

Par sucre simple, nous nous référons au sucre blanc ou raffiné, aux viennoiseries industrielles, à d’innombrables aliments tels que la viande transformée avec des produits chimiques, le pain, les plats préparés ou la charcuterie.Les boissons gazeuses, les jus de fruit en bouteille et les glucides raffinés contiennent également des sucres simples.

La stabilité du taux de sucre dans le sang est essentielle à une bonne santé mentale.Pour que notre corps ne subisse pas de modifications de ses taux de glucose, nous disposons d’un organe exclusivement consacré à cette fonction, le pancréas.

En consommant des glucides raffinés, nous provoquons une hausse excessive du taux de sucre et le pancréas doitdéployer toutes les ressources disponibles afin de compenser cette augmentation avec de l’insuline.

Lorsque notre alimentation est basée sur des glucides raffinés (viennoiseries, pâtes, farines raffinées, riz blanc, etc.) pendant trop longtemps, nous finissons par briser l’équilibre de notre organisme.

Mais que se passe-t-il alors lorsque cette harmonie organique est perturbée ?D’importants neurotransmetteurs finissent par être touchés, ceux en charge de réguler le sommeil, notre humeur, la motivation ou l’apprentissage.

neurotransmetteurs

Certains troubles du comportement peuvent également surgir, le sucre finissant par inhiber nos mécanismes de neurotransmission, autrement dit, la capacité à transmettre l’information d’un neurone à l’autre, de sorte que l’information met plus longtemps à arriver ou se perd.Notre capacité à réagir ou la mémoire peuvent ainsi être perturbées.

De récentes études démontrent que le sucre réduit considérablement le taux de certaines substances avec lesquelles le cerveau produit de nombreux neurotransmetteurs.

Notre système nerveux apprend à utiliser le glucose du sucre simple en tant que combustible.Dans l’hypothalamus, des glucorécepteurs sont responsables de la surveillance et de la régulation du taux de glucose dans le sang.

Si l’un d’entre eux détecte que la quantité de sucre dans le sang est déficiente, il libèrera le sucre stocké dans le corps et le convertira en glucose.Mais si, au contraire, le taux de glucose est trop élevé, il enverra l’ordre au pancréas de libérer de l’insuline afin d’atténuer et de métaboliser cet excès anormal de sucre.Lorsqu’une telle chose se produit, nous forçons l’organisme à faire un effort physique intense et constant, en d’autres termes, nous le surchargeons.

En outre, ce changement soudain du taux de sucre dans le sang peut être à l’origine de sautes d’humeur et d’une instabilité émotionnelle.

Après des années de consommation de sucre simple, notre organisme va avoir besoin de beaucoup de temps pour stabiliser à nouveau le système nerveux, le système endocrinien et les troubles du comportement.Des troubles chroniques pouvant alors survenir.

Il est donc de notre devoir d’encourager les patients à changercertaines habitudes alimentaires basiques en se tournant vers les pâtes, le riz et le pain complets, en n’abusant pas des boissons sucrées, et surtout, en prenant l’habitude d’étudier les étiquettes des ingrédients sur les viandes, la charcuterie et les autres produits transformés avant de les acheter.

Oct 21, 2016

Intoxication au mercure, le métal silencieux

mercure

Le mercure est un métal qui peut se transformer en un véritable poison mortel pour les êtres vivants. De tous les métaux, c’est le seul qui conserve son état liquide à température ambiante.

Ce métal s’accumule dans les poissons particulièrement gros, tels que le requin, le maquereau roi, l’espadon et le bar. Voilà pourquoi il est recommandé de diminuer et de contrôler leur consommation, en particulier chez les femmes enceintes.

Mais l’intoxication au mercure ne se fait pas uniquement à travers la nourriture. Les cas par inoculation de vaccins, amalgames dentaires et inhalation de vapeurs sont de plus en plus fréquents.

En 2001, aux États-Unis, la FDA a émis un avis visant à prévenir les populations, en particulier les femmes enceintes et les mères allaitantes, des risques pour la santé pouvant découler de la consommation de gros poissons contaminés au mercure.

Le mercure affecte principalement le cerveau des enfants toujours en développement. Ce métal accède beaucoup plus facilement au tissu cérébral des petits, la barrière hémato-encéphalique n’étant pas encore été achevée.

Certaines recherches sont parvenues à démontrer que contrairement à ce qui se passe chez les adultes, chez les bébés exposés, le mercure s’accumule notamment dans le cerveau.

N’oublions pas non plus que les bébés de moins de 6 mois ne peuvent pas excréter le mercure, étant incapables de produire de la bile, principale voie d’excrétion du mercure.

Mais heureusement, tous les enfants ne développent pas les mêmes réactions au mercure, cela dépendant également de la sensibilité de chaque individu en fonction de facteurs génétiques et environnementaux.

Qu’il s’agisse ou non d’un adulte, le mercure provoque une intoxication dès lors qu’il s’accumule sans accorder suffisamment de temps à l’organisme pour l’éliminer. Autrement dit, lorsque la vitesse d’exposition est supérieure à la vitesse d’élimination.

l’espadon

Dans la plupart des cas, les effets ou les symptômes de l’accumulation de mercure arrivent généralement tardivement, soit quelques mois après l’exposition.

Ce métal peut affecter des formes très diverses et diffuses à l’échelle organique, s’agissant tout bonnement d’un poison qui circule dans l’ensemble de notre organisme. Il peut provoquer des dommages à nos enzymes (n’oublions pas leur rôle fondamental), entraver les mécanismes de transport des nutriments et des éléments essentiels au fonctionnement adéquat de tous nos organes et systèmes, et être à l’origine de dommages au niveau des protéines structurales qui constituent de nos tissus.

Cependant, c’est dans le cerveau et le système nerveux que les dommages sont le plus importants. En présence de mercure, des niveaux anormaux de neurotransmetteurs tels que la sérotonine, la dopamine, l’acétylcholine et le glutamate sont détectés.

Dans de nombreux cas d’enfants atteints d’autisme, ce déséquilibre a pu être détecté dans les neurotransmetteurs, provoquant des troubles de l’apprentissage et des problèmes d’élocutions ainsi que des difficultés à assimiler des idées abstraites ou complexes. Ces enfants ont tendance à s’isoler, souffrent de crises d’anxiété et présentent des comportements obsessionnels/compulsifs.

Des modifications au niveau sensoriel, telles que l’intolérance au bruit, l’aversion au toucher ou un manque de sensibilité dans certaines parties du corps, sont également constatées.

Grâce à la kinésiologie, nous pouvons détecter et diagnostiquer cet excès de métaux lourds dans notre organisme. Actuellement, de nombreuses personnes et enfants présentent des symptômes diffus et des maladies chroniques dont l’origine n’est pas claire. Envisager l’éventualité d’une surexposition au mercure ou à tout autre métal pourrait s’avérer utile dans le traitement de la maladie.

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