Lien entre l’ADN, nos émotions et le stress

L’ADN est défini au moment même de notre conception. Cette information génétique est l’héritage que nous recevons de nos parents. Il n’est pas inamovible, mais est bel et bien soumis à des influences externes.

Le stress, les traumatismes et l’exposition prolongée aux rayonnements ou aux substances nocives ainsi que le mode de vie peuvent influencer l’information de l’ADN.

Notre information génétique est une série d’interrupteurs qui peuvent être activés ou non en fonction des stimuli extérieurs.

D’après Bruce Lipton, auteur de « La biologie des croyances », les gènes ne contrôlent pas notre biologie, mais ces derniers sont contrôlés par des facteurs externes à la cellule, y compris nos pensées et nos croyances.

Partant de cette idée, notre destin ne serait pas prédéterminé de façon immuable dans le code génétique. Tout ce qui se passe autour de la cellule jouera en effet un rôle fondamental.

S’il est vrai que rien ne peut se produire au sein de notre organisme sauf si cette tendance est préalablement inscrite dans les gènes, nos cellules peuvent choisir parmi de nombreuses options pour créer notre état physique.

Depuis notre conception, les stimuli et les agents externes peuvent déterminer notre santé future.

Les soins apportés par la mère pendant l’enfance, en particulier pendant les premiers mois de la vie, peuvent définir certains traits génétiques relatifs à la façon dont le petit être abordera l’âge adulte.

D’après des recherches menées, lorsqu’une personne reçoit des soins et de l’affection pendant son enfance, elle montre un comportement plus détendu et réagit normalement face au stress

À l’inverse, ceux qui n’ont pas reçu la même affection ou attention ont tendance à moins bien tolérer le stress, se montrant plus nerveux et moins enclins à gérer des situations stressantes. Cette théorie n’est pas saugrenue, le sentiment de protection nous apportant pour la plupart calme et sécurité.

L’hippocampe est la région de notre cerveau qui gère les émotions. C’est donc là où s’archive toute notre expérience, et ce, depuis notre plus tendre enfance. En outre, cette partie du cerveau joue un rôle fondamental dans la façon dont nous réagissons face à des situations stressantes.

Pour répondre au stress, notre organisme mobilise ses sources d’énergie afin de mener à bien l’action. Par conséquent, nous sécrétons de l’adrénaline et du cortisol (hormones du stress). Lorsque le danger perçu est passé, le taux d’hormones diminue, l’organisme refait ses réserves et passe à l’état de veille.

Pour remplir leur rôle de messager, ces hormones doivent se lier aux récepteurs (« serrures ») des cellules pour leur communiquer ce qu’elles doivent faire.

Lorsque l’hormone du stress se lie aux récepteurs appropriés, ces derniers, en qualité d’intermédiaires, peuvent interagir avec l’ADN de la cellule et activer les gènes impliqués dans la réponse au stress.

Les récepteurs sont présents dans l’ensemble de notre corps, ceux qui sont prioritaires s’activant dans chaque situation. Si nous devons prendre nos jambes à notre cou, l’hormone du stress se rendra prioritairement vers les récepteurs des muscles des jambes.

Lorsque la situation stressante est passée et que le taux d’hormone libéré est suffisant, les récepteurs émettent le signal à l’ADN et les gènes impliqués sont désactivés.

Les soins apportés par la mère à son enfant influencent l’activité d’un gène qui produit des récepteurs de cortisol. La présence d’amour et d’attention permet au gène d’être pleinement actif, jouant son rôle clé en qualité de « thermostat » dans le contrôle de la réponse au stress, maintenant le bon équilibre. Dans le cas contraire, restant inactif, il n’y a aucun thermostat graduant la réponse, l’état de stress étant alors permanent.

Le cinquième Chakra pour apprendre à exprimer ce que nous sommes et ce que nous ressentons

Le cinquième chakra est situé dans la gorge. Il régit les parties du corps qui l’entourent telles que la gorge, le cou, la nuque, les cordes vocales, la voix, les bronches, la trachée, l’œsophage, la mâchoire, les dents, les glandes thyroïdiennes et l’ouïe.

Les problèmes de santé associés à un blocage dans le cinquième chakra sont l’hyperthyroïdie et l’hypothyroïdie, les maux de gorge, la pharyngite, l’extinction de voix, les catarrhes, les troubles de l’audition et les bourdonnements d’oreilles.

Lorsque nous avons mal à la gorge, nous devons nous demander : que taisons-nous ? Quelle émotion ne sommes-nous pas arrivés à exprimer ? En cas d’hypothyroïdie ou de difficulté à avaler, la question que nous devons nous poser est : quel évènement ou circonstance de ma vie n’ai-je pas digéré ou avalé ?

Les troubles de l’audition ou les bourdonnements cachent généralement un sentiment de peur. D’après la médecine traditionnelle chinoise, l’ouïe et les reins font partie du même méridien, associé à son tour à la peur. Les saisons ou les moments lors desquels le stress ou la peur prédominent peuvent voir surgir un problème d’audition qui touchera également ce chakra.

Le chakra Vishuddha ou cinquième chakra est associé au troisième et au deuxième chakra. Lorsque la personne a retenu une émotion ou ne peut pas l’exprimer, la créativité est limitée et bloquée, l’empêchant de profiter de la vie depuis son essence, amenant un sentiment d’insécurité.

Par conséquent, lorsque quelqu’un présente un blocage dans le chakra de la gorge, il convient également de travailler sur les deuxième et troisième chakras.

L’objectif de Vishuddha réside dans la communication et la créativité. Cependant, le cinquième chakra se réfère à l’expression de l’être que nous sommes depuis la créativité, tandis que dans le deuxième chakra, la créativité est basée sur le fait d’apprendre à profiter de la vie.

Sa couleur est le bleu dans ses différentes teintes : turquoise, bleu ciel ou indigo.

Le bleu se distingue comme étant une couleur qui transmet, qui inspire et qui communique. De nombreux experts en communication et intelligence émotionnelle conseillent donc cette couleur pour des campagnes de marketing ou des logos.

Il s’agit de la couleur de la foi, de la confiance. Elle nous aide à écouter notre voix intérieure, nous inspirant.

Le sens associé au cinquième chakra est l’ouïe. En effet, pour communiquer, il est nécessaire d’écouter, mais surtout, il nous amène à écouter notre voix intérieure, la voix de notre être.

En bref, nous pouvons dire qu’à travers le premier chakra nous avons appris à survivre en satisfaisant nos besoins fondamentaux. Le second chakra nous permet d’apprendre à ressentir et à profiter de notre vie sur la Terre Mère. Le troisième chakra nous apprend à nous autogouverner et nous nous ouvrons à notre essence à travers le quatrième chakra. Enfin, avec le cinquième chakra, Vishuddha, nous sommes invités à exprimer l’être que nous sommes, autrement dit, nous pouvons transmettre notre essence à travers la communication.

Être capable de livrer notre vérité, nos critères et de trouver notre voix, voici le besoin vital de ce chakra. Il est régi par les facultés mentales supérieures, celles qui nous offrent la capacité d’observation, de synthèse et d’objectivité. Tout au long de notre vie, nous expérimentons avec différentes croyances, personnes, sentiments, disciplines, qui de concert, contribuent à tirer des conclusions, à discerner depuis l’ouverture d’esprit entre le bien et le mal, créant notre propre jugement sur les choses.

Après tout, pouvoir écouter, s’exprimer ou manifester notre vérité intérieure, tel est l’objectif du cinquième chakra.

Beneficiez-vous d’un taux de calcium approprié?

La plupart d’entre nous associons le calcium aux os solides. Cependant, il existe de nombreux autres aspects généralement méconnus sur les effets du calcium sur notre organisme et sur les autres minéraux nécessaires à son absorption appropriée. Par exemple, le magnésium est essentiel pour avoir des os forts et sains, étant indispensable à la métabolisation du calcium.

Environ 95 % du calcium que nous consommons est destiné à la minéralisation des os et des dents. Le 1 % restant est investi dans d’autres fonctions, telles que la coagulation du sang ou la régulation des contractions et des relaxations du cœur et des autres muscles du corps. Il sert également à libérer l’énergie des aliments que nous consommons et contribue à l’utilisation du fer disponible.

Bien que s’agissant d’une structure solide, les os ne restent pas inchangés et statiques, mais leur structure se modifie et se remodèle sans cesse au fil du temps.

Tout le calcium absorbé par notre corps, que ce soit à travers l’alimentation ou des compléments alimentaires, est stocké ou déposé sur l’os, de sorte qu’un nouvel os est formé tandis que le vieil os est réabsorbé et excrété. Chaque fois que notre organisme a besoin de normaliser sa quantité de calcium, il le puise dans l’os.

Comme la plupart d’entre nous le savent, notre corps atteint sa maturité squelettique vers l’âge de 30 ans. À ce stade, la quantité de calcium déposé sur l’os est égale à la quantité que nous réabsorbons.

Il convient donc de consommer autant de calcium que nécessaire dès 30 ans, de sorte que lorsque notre organisme réabsorbe le minéral de l’os, celui-ci ne soit pas affaibli et ne perde pas plus de densité que la normale.

Si dès notre tendre enfance nous fournissons à nos os le calcium et les autres nutriments importants pour le système squelettique, tels que la vitamine D, la vitamine K et le magnésium, nous encourageons la formation d’un nouvel os qui nous protégera contre l’ostéoporose.

L’ostéoporose est à l’origine de la porosité des os, rendant la structure osseuse beaucoup plus fragile et sensible aux fractures.

Chez les femmes en période de ménopause et de postménopause, la perte osseuse s’accélère suite à la diminution des taux d’œstrogène. La consommation d’aliments ou de compléments alimentaires contenant du calcium et de la vitamine D contribuera à prévenir ces effets.

Ainsi, si nous prenons soin de nous nourrir correctement et de pratiquer un exercice régulier alors qu’il en est encore temps, nous pourrons vieillir sans pour autant noter les effets de l’âge.

Outre son lien avec la santé osseuse, le calcium contribue également à réduire le syndrome prémenstruel. Les avantages de ce minéral dans le soulagement des symptômes (douleur, crampes, humeur) ont pu être constatés lors de diverses recherches.

En effet, les hormones ovariennes influencent le métabolisme du calcium et les œstrogènes affectent l’absorption intestinale, une « hypocalcémie » pouvant en résulter. Cette carence en calcium peut être inversée grâce à la prise de compléments alimentaires.

Nous associons généralement le calcium aux produits laitiers. Cependant, les amandes, les graines de sésame, les graines de moutarde, les fruits de mer, les haricots, les galettes de maïs, les abricots secs, les algues et bien d’autres aliments encore, sont également source de calcium.

Pourquoi intégrer des algues dans notre alimentation ?

Les aliments transformés, les produits chimiques utilisés sur les cultures et les mauvaises habitudes alimentaires impliquent un affaiblissement de notre organisme dû au manque de nutriments, entraînant finalement des effets néfastes sur la santé.

Les algues sont un bon complément pour compenser les éventuelles carences nutritionnelles dont nous pouvons souffrir. Elles nous revitalisent et nous rajeunissent. Elles disposent de tous les éléments nutritifs de base dont notre corps a besoin, nous purifient et nous détoxifient de l’intérieur.

En ce qui concerne les valeurs nutritionnelles des algues :

– Elles sont riches en protéines de grande qualité, contenant la plupart des acides aminés essentiels (notre organisme ne peut pas les synthétiser, ils doivent donc être assimilés à travers l’alimentation).

En outre, ces acides aminés sont faciles à digérer en raison de la composition même des algues qui sont riches en enzymes et en sels minéraux.

En ce qui concerne leurs différences avec les protéines animales, les algues sont digérées jusqu’à 5 fois plus vite, ne contenant pas de cholestérol, de graisses saturées, de résidus d’antibiotiques, de pesticides ou d’hormones de synthèse.

– Il s’agit d’un aliment à faible teneur en glucides et en sucres, idéal pour la croissance, les périodes de convalescence, la grossesse et lors d’un régime amincissant. Parmi les différents glucides contenus dans les algues, il convient de citer le mannitol, un stimulant hépatique légèrement laxatif qui n’augmente pas la glycémie. Il s’agit donc d’un complément parfaitement adapté aux diabétiques.

Elles sont faibles en calories et les sucres présents sont de type mucilagineux.

– Les polysaccharides des algues leur confèrent également le pouvoir de diminuer la présence des métaux lourds dans notre organisme. Rappelons que les métaux lourds sont attirés par le soufre. Nos enzymes étant riches en soufre, les métaux lourds s’associent à ces dernières et produisent des effets toxiques.

Les algues empêchent cette union, protégeant ainsi notre organisme.

– La teneur en matières grasses est d’environ 5 %. Il s’agit principalement d’acides gras polyinsaturés, favorisant la diminution du « mauvais cholestérol » et l’augmentation du « bon cholestérol ».

– Les algues ont un taux élevé de vitamines C, E, du groupe B et de provitamine A.

Leur haute teneur en vitamine B12 est idéale pour les végétariens ou les végétaliens. Il est conseillé de les consommer crues ou après trempage dans l’eau (dans le cas des algues séchées) pour en tirer toutes les vitamines.

– En ce qui concerne les minéraux et les oligo-éléments des algues :

Au regard des minéraux, elles sont riches en calcium, sodium, fer, potassium, phosphore et magnésium. Certains types d’algues ont une composition allant jusqu’à 35 % de leur poids sec en minéraux. Il existe très peu d’aliments ayant une telle teneur en minéraux.

Si nous cuisons les algues, les sels minéraux resteront dans le liquide, n’oublions donc pas de profiter du bouillon dans des soupes ou tisanes.

D’autre part, elles sont riches en oligo-éléments, qui, comme nous le savons, semblent jouer un rôle clé dans tous les processus métaboliques vitaux et aident à prévenir le vieillissement.

Les oligo-éléments qui composent les algues leur confèrent leurs propriétés détoxifiantes. Quelques-uns des oligo-éléments les plus présents sont l’iode, le zinc, le silicium, le cobalt, le chrome et le manganèse.

– La chlorophylle, pigment qui confère leur couleur verte aux plantes et aux algues, est une autre substance bénéfique de ces superaliments. Elle prévient la constipation, aide à réparer les tissus endommagés, abaisse le taux de cholestérol et de triglycérides, diminue la mauvaise haleine, détoxifie et présente des propriétés anticancéreuses.

 L’introduction d’algues dans notre alimentation nous garantit donc un corps sain tout en fournissant très peu d’effort.

Sans enzymes, notre corps ne pourrait pas rester en vie

Le fait de disposer de toutes les enzymes nécessaires permet à notre énergie vitale et à notre système immunitaire de s’améliorer considérablement. Si nous concentrons nos soins de santé dans l’entretien et la préservation de nos enzymes, nous jouirons donc d’un organisme sain.

Les enzymes agissent comme des catalyseurs des réactions chimiques de l’organisme. En d’autres termes, chaque changement chimique qui se produit dans notre corps est exécuté grâce à l’action des enzymes. Étant donné que l’ensemble du fonctionnement de notre corps est déterminé par des réactions chimiques continues, l’importance des enzymes est vitale.

Le but ultime de ces réactions chimiques est de produire l’énergie que nos cellules doivent utiliser afin de remplir les tâches qui leur sont confiées, que ce soit dans le système digestif, cardiovasculaire, pulmonaire, immunitaire, etc.

Il existe trois différents groupes d’enzymes : les enzymes digestives, les enzymes nutritionnelles et les enzymes métaboliques. Voici quelques-unes des enzymes digestives les plus connues.

Comme leur nom l’indique, les enzymes digestives sont responsables de la digestion des aliments.

L’amylase est un type d’enzyme digestive présent dans le suc pancréatique qui hydrolyse l’amidon. L’amidon est le principal glucide de nombreuses espèces. Sans amylase, nous ne pourrions donc pas le digérer correctement. Chez la plupart des espèces, la principale source d’amylase se trouve dans le pancréas. Chez certains êtres vivants, tels que l’homme ou le porc, elle est également présente dans la salive.

La bromélaïne est une autre enzyme digestive connue pour être l’un des composants enzymatiques de l’ananas. Elle est très bonne pour la circulation sanguine, contribuant à dissoudre les éventuels caillots et à fluidifier le sang.

Elle prévient donc les futures maladies de l’appareil circulatoire, telles que la thrombose, ou les crises cardiaques, et contribue à diminuer la pression artérielle.

La lactase est l’enzyme digestive la plus controversée ces dernières années. De nombreuses études démontrent la diminution progressive de la lactase dans notre organisme depuis que nous ne sommes plus des nourrissons.

Cette enzyme qui permet de diviser le lactose en glucose et galactose, leur permettant d’être absorbées par le sang, est présente chez la plupart des bébés. Il y a 50 ans, les professionnels croyaient que cette enzyme était présente aussi bien chez les enfants que chez les adultes.

Toutefois, des recherches ultérieures ont contredit cette croyance et les chercheurs en sont arrivés à la conclusion qu’environ 75 % des adultes présentaient une intolérance au lactose due à ce manque de lactase.

Il semble que l’absence d’enzymes digestives nécessaires pour métaboliser le lait de vache n’est pas une anomalie, mais plutôt une norme chez les adultes, ce même lait devenant alors néfaste pour la santé, sauf s’il est fermenté comme dans le cas du yaourt.

La lipase est une autre enzyme digestive présente dans le suc pancréatique qui hydrolyse les graisses. Les lipides ou les triglycérides ne peuvent pas être absorbés par la muqueuse intestinale sans l’intervention de cette enzyme fondamentale.

Voilà une brève explication de certains types d’enzymes. N’oublions pas qu’environ 5 000 types différents sont à l’œuvre dans notre organisme. Parmi ces 5 000 enzymes, environ 3 000 sont produites par les bactéries intestinales. En d’autres termes, dans le test kinésiologique, il peut s’avérer utile de vérifier aussi bien l’état de la capacité enzymatique que celui de la flore intestinale.

Pourquoi les oligo-éléments sont-ils si bons pour la santé ?

Les oligo-éléments sont des métaux et des métalloïdes indispensables à la vie généralement présents en petites quantités dans notre organisme et intervenant dans de nombreuses fonctions en doses infimes.

Ces éléments fondamentaux fonctionnent comme des catalyseurs, en d’autres termes, comme des produits chimiques qui par leur simple présence parviennent à accélérer ou à provoquer une réaction chimique à une température moindre et avec une dépense d’énergie minimale.

Par exemple, pour être dégradées, les protéines de la viande ont besoin de l’intervention de l’enzyme pepsine qui agit en tant que catalyseur et accélère donc cette réaction en quelques heures. Sans pepsine, la biodégradation de ce type de protéine prendrait environ 3 mois.

Les oligo-éléments ont donc une influence sur la composition de divers systèmes enzymatiques, sans lesquels il se produirait un blocage des réactions chimiques, impliquant par là même diverses perturbations ainsi que les symptômes correspondants.

De nombreuses réactions chimiques de notre corps peuvent être grandement ralenties ou bloquées en raison de notre mode de vie, de nos habitudes alimentaires, de la pollution, du stress, des médicaments de synthèse, de l’alcool, du tabac, des conservateurs, etc.

Toutefois, si ce blocage touche uniquement une petite proportion de ces réactions, il ne met pas en danger le bon fonctionnement du corps. Le problème se pose lorsque cette proportion augmente. En effet, les blocages seront à l’origine d’une carence, et cette dernière engendrera une maladie déclarée ou un symptôme pathologique visible. Ainsi, parmi les fonctions les plus importantes des oligo-éléments, il convient de citer leur rôle de catalyseur.

 D’autre part, les oligo-éléments jouent un rôle direct dans les changements métaboliques des processus vitaux essentiels afin que notre organisme fonctionne de façon optimale.

 Mais il paraît évident que la caractéristique fondamentale des oligo-éléments, grâce à laquelle ils acquièrent une grande importance en tant que thérapie holistique, réside dans leur capacité à modifier et à renforcer le terrain individuel et exclusif de chaque personne, encourageant de cette façon l’autodéfense contre tout agent ou menace.

Ménétrier, l’un des pionniers dans l’étude scientifique des oligo-éléments, a considéré après de méticuleuses recherches auprès de patients que les résultats positifs obtenus avec cette thérapie ne pouvaient pas être uniquement associés au fait de couvrir avec les oligo-éléments les problèmes de carence, mais que le terrain organique de chaque personne devait également être pris en compte. C’est à ce stade que les 4 groupes homogènes de patients ayant un terrain organique similaire, connu sous le nom de « diathèse », entrent en scène.

Les oligo-éléments les plus importants sont le manganèse, le soufre, le cuivre, le magnésium, le sélénium, le zinc, le chrome, l’iode, le phosphore, le cobalt et le silicium. Certains s’associent pour soigner les différentes diathèses. Par exemple, « manganèse – cuivre », « manganèse – cobalt » ou « zinc – cuivre », entre autres.

Nous pouvons tester la carence ou le besoin en oligo-éléments afin de soigner ou de prévenir tout problème de santé avec une fiole de manque en oligo-éléments et en minéraux qui contient du cuprum à la 200 CH et du cobaltum à la 200 CH, respectivement. Nous pouvons la trouver dans un kit basique de testage.

Est-il préférable de consommer des protéines animales ou végétales ?

Les protéines de notre corps constituent une grande partie de notre masse corporelle. Afin d’en disposer en permanence et de les renouveler, il est indispensable de les ingérer de façon continue à travers notre alimentation. En effet, l’alimentation est la seule façon de nous apporter chacun des acides aminés essentiels qui forment les protéines, notre corps étant incapable de les synthétiser. Au contraire, les plantes les synthétisent elles-mêmes, parfois même à travers l’eau.

Par conséquent, les aliments ingérés nous apportent des protéines déjà formées, à travers la consommation directe d’aliments végétaux ou la consommation d’animaux ayant précédemment mangé des plantes.

La conclusion selon laquelle toutes les protéines sont issues de plantes a conduit de nombreux mouvements à promouvoir une alimentation plus saine. En effet, il est manifestement plus simple de recourir au début de la chaîne alimentaire, les légumes, plutôt que d’élever des animaux pour ensuite manger leur viande.

Il est intéressant de noter que chaque kilo de protéine animale nécessite sept kilos de protéine végétale.

Les besoins en protéines recommandés par la RDA se situent autour de 0,8g/kg de poids dès 19 ans et de 1 g/kg entre 11 et 14 ans, bien que les doses recommandées chez les athlètes peuvent atteindre les 2g/kg.

En cas d’activité intense, une quantité de protéines supplémentaires sera également nécessaire en raison de l’oxydation des acides aminés « à chaîne ramifiée » dans le muscle.

Notre corps assimile uniquement les acides aminés et non les protéines complètes. L’organisme ne peut donc pas distinguer si ces acides aminés sont issus de protéines animales ou végétales.

La comparaison des deux types de protéines permet de conclure que celles d’origine animale sont des molécules plus grandes et plus complexes, contenant ainsi une plus grande quantité et diversité d’acides aminés. D’une manière générale, leur valeur biologique est plus importante que dans le cas de celles d’origine végétale.

Elles sont néanmoins plus difficiles à digérer, le nombre de liaisons à rompre entre les acides aminés étant plus important.

Une combinaison adéquate des protéines végétales, des légumineuses avec des céréales ou des produits laitiers avec des céréales, permet d’obtenir un ensemble équilibré d’acides aminés.

Les protéines du riz contiennent tous les acides aminés essentiels, mais sont pauvres en lysine. Lorsqu’il est associé à des légumineuses telles que des lentilles ou des pois chiches, riches en lysine, la qualité biologique et l’apport en protéines résultant sont supérieurs à ceux de la plupart des produits d’origine animale.

En outre, il convient de noter que les protéines animales contiennent des composés présents dans les tissus de l’animal, tels que l’ammoniac, l’acide urique, et qu’il n’a pas pu éliminer avant d’être sacrifié. Le métabolisme des végétaux est différent et ne contient pas de tels composés. Nous pouvons éviter les substances toxiques de la viande en consommant des protéines animales issues d’œufs, de lait et de produits laitiers.

Tel que nous le savons, les protéines animales contiennent des graisses animales qui pour la plupart sont saturées, un facteur de risque associé aux maladies cardiovasculaires. Au contraire, les poissons sont riches en minéraux, en vitamines et en acides gras polyinsaturés présents dans les poissons gras.

En d’autres termes, un tiers des protéines consommées devraient être d’origine animale, bien qu’il soit parfaitement possible d’être correctement alimenté en consommant uniquement des protéines végétales.

En tout état de cause, il est fondamental de tenir compte de la façon d’associer les aliments en fonction de leurs acides aminés. Pour combler une éventuelle carence en vitamine B12 ou en minéraux tels que le fer et conserver une flore intestinale appropriée, l’incorporation d’algues ou d’œufs à l’alimentation est largement suffisante.

Pourquoi intégrer la spiruline à notre régime alimentaire

La spiruline est une algue bleu-vert riche en nutriments. Elle est donc connue comme étant un superaliment qui nourrit sainement le corps.

Elle contient une combinaison d’acides gras insaturés, de polysaccharides, d’acides aminés essentiels, de vitamines, de minéraux, d’enzymes et de pigments qui apportent des nutriments à notre organisme, protégeant notre santé et stimulant le système immunitaire.

La spiruline est également composée d’un large éventail d’antioxydants auxquels elle doit une grande part de ces propriétés bénéfiques pour la santé.

Tel que nous le savons, les radicaux libres sont des molécules particulièrement instables qui sont produites dans le corps et qui réagissent avec les cellules des différents organes à l’origine de blessures pouvant provoquer des maladies sur le long terme. La génération de radicaux libres est inévitable. En effet, en métabolisant, notre propre corps produit des déchets dont la quantité augmente en fonction de facteurs externes tels que le stress, un régime alimentaire inapproprié, la pollution, les médicaments, le tabac, l’alcool, etc. Afin de prévenir les dommages aux cellules, l’organisme a besoin de désactiver les radicaux grâce à des composés antioxydants. À cet égard, la spiruline est un fabuleux complément alimentaire permettant de lutter contre les radicaux libres.

Pour répondre à certaines affections, une amélioration significative peut être constatée quelques semaines seulement après avoir commencé sa consommation régulière, mais pour conserver les effets et prévenir la réapparition des symptômes, il convient de poursuivre sa consommation. S’agissant d’un aliment et non d’un médicament, son utilisation continue n’a aucun effet secondaire.

La spiruline est également très bénéfique dans la prévention du cancer. Les nutriments qui nous protègent le mieux contre cette maladie sont les antioxydants, grâce à leur capacité à rendre les radicaux libres inactifs (responsables de l’oxydation des cellules et de l’apparition de nombreux processus tumoraux et cancérigènes).

Elle contient d’importantes quantités d’antioxydants, tels que le bêta-carotène et d’autres caroténoïdes, la vitamine E, le sélénium, la phycocyanine, la chlorophylle ou la superoxyde dismutase. Il s’agit de l’aliment ayant la plus grande quantité de bêta-carotène, dix fois supérieure à celle de la carotte.

Le pigment bleu qui confère sa couleur à la spiruline ou à la phycocyanine possède également des propriétés anticancéreuses. En outre, il semble contenir des polysaccharides qui parviennent à stimuler la réparation de l’ADN endommagé des cellules, l’une des principales causes d’apparition de cette maladie.

Sa teneur élevée en fibres contribue à réguler le transit intestinal et à nettoyer les déchets accumulés dans le côlon.

La spiruline est un aliment qui contribue à diminuer les taux de cholestérol trop élevés. Une recherche menée au Japon a démontré que seulement 4 g de spiruline par jour permettent de diminuer de manière significative le taux de cholestérol dans le sang.

Il s’agit également d’un complément idéal pour les diabétiques. En effet, sa consommation régulière produit une diminution du taux de sucre dans le sang, en plus d’augmenter le « bon » cholestérol ou DHL et de diminuer le « mauvais » cholestérol ou LDL et les triglycérides, dont les taux sont généralement plus élevés chez les diabétiques.

Que se passe-t-il lorsque notre système immunitaire devient fou : trouble auto-immun

Le système immunitaire est telle « l’armée » qui défend et protège notre corps contre les envahisseurs, et ce, 24 heures sur 24.

En cas de maladies auto-immunes, notre armée se retourne soudain contre nous-mêmes. Autrement dit, l’équipe qui constitue notre système de défense pourrait, à un moment donné, « devenir folle », et au lieu de nous permettre de rester en bonne santé, défendant à chaque instant notre corps contre l’invasion constante de microbes, de bactéries, de virus, de champignons, de toxines et de tout agent pathogène pénétrant dans notre organisme (à travers la peau, la respiration et l’alimentation ou les boissons), elle engage un processus autodestructeur qui crée des conditions et des maladies affectant gravement notre corps et qui se produisent à la suite d’une attaque contre nous-mêmes.

Toute maladie auto-immune se caractérise par le fait que le corps commence à s’attaquer lui-même en raison d’une prédisposition génétique déclenchée par l’action d’un virus donné, d’une bactérie, d’un médicament, ou même, d’un stress excessif.

Lorsqu’un micro-organisme envahit le corps, le système immunitaire réagit immédiatement à sa présence, qu’il s’agisse d’un virus, d’une bactérie, etc., et produit des anticorps et des lymphocytes sensibilisés (globules blancs spécifiques) qui reconnaissent l’envahisseur et le détruisent. Tel est le processus immunitaire normal.

Cependant, lorsqu’il existe un trouble auto-immun, le système immunitaire agit de façon erratique. Cette réaction immunitaire se produit donc de façon inexpliquée contre les tissus et les cellules du corps lui-même, à l’origine de toute sorte de désalignements, et donc, de maladies.

Les processus responsables des maladies dues à des troubles auto-immuns sont connus sous le nom de réactions d’hypersensibilité. Il en existe une grande variété.

Il convient de noter que ces réactions d’hypersensibilité se produisent également en cas d’allergies. Cependant, dans ces cas, l’organisme engage une réponse immunitaire contre ces substances ou éléments extérieurs au corps, tandis que dans les troubles auto-immuns, il répond aux éléments internes au corps.

Malgré cette importante distinction, les personnes souffrant d’allergies sont plus susceptibles de développer des maladies auto-immunes. En effet, lorsque nous développons une réaction allergique, elle est causée par une mauvaise réponse du système de défense qui agit de façon exagérée afin de détruire l’agent étranger qu’il pense devoir neutraliser pour nous permettre de rester en bonne santé.
Pour éviter de plus grands maux, il peut donc s’avérer utile de toujours prendre un traitement adapté et d’examiner l’état de nos allergies et, bien sûr, d’éviter dans la mesure du possible les agents qui en sont responsables.

Mais que provoque un trouble auto-immun ?

Nos lymphocytes sont normalement réprimés par l’organisme afin de neutraliser leur attaque en l’absence d’éléments extérieurs à éliminer. Cependant, en cas de trouble auto-immun, l’organisme produit une interruption dans les systèmes de contrôle, permettant aux lymphocytes de ne plus être réprimés et de réagir alors qu’ils ne le devraient pas.

Il peut aussi arriver que certains types de trouble se produisent dans un tissu du corps humain, de sorte que ses cellules ne sont pas reconnues en tant qu’éléments internes, étant donc attaquées.

Le mécanisme à l’origine de ces troubles dans le système immunitaire est encore un sujet de recherche constante, même si l’on sait que les virus et les bactéries, et même les médicaments prescrits à la personne, jouent un rôle majeur dans l’activation du processus auto-immun chez les personnes ayant une certaine prédisposition génétique à cette condition.

Le Chakra cœur et son rôle fondamental

Le quatrième chakra, le Chakra cœur, est situé au centre de la poitrine, entre la 4e et la 5e vertèbre de la colonne vertébrale.

Il est étroitement lié à la façon dont nous nous nourrissons et nous alimentons énergiquement les autres.

Il régit les poumons, le cœur et le thymus, la glande qui stimule le système immunitaire, qui régule la croissance et qui contrôle le système lymphatique. Il régule également la respiration à tous les niveaux du corps. Les épaules, les clavicules et les mains sont associées à ce centre énergétique.

Il est connu sous le nom de chakra du cœur pour plusieurs raisons. Il est relié à la fonction respiratoire et cardiaque de cet organe. Il est associé à l’essence même de l’être humain, l’amour. Mais il est surtout appelé cœur parce qu’il est le centre du système de chakras. En effet, le vortex est le point de jonction entre les 3 chakras associés au monde matériel et aux 3 chakras reliés à l’esprit. Voilà pourquoi certains le connaissent également sous le nom de chakra du transit. Parmi ses rôles, citons notamment celui de traduire les messages de l’esprit à la terre et ceux de la terre à l’esprit, autrement dit, de haut en bas et de bas en haut.

Du point de vue physique, les fonctions cardiaques sont essentielles. En effet, nous ne pourrions pas vivre sans elles. Nous avons besoin des battements du cœur pour vivre. Il en est de même en ce qui concerne la respiration.

Du point de vue émotionnel, l’amour est notre nourriture et notre moteur, chaque expérience vitale nous poussant à trouver dans l’amour la seule porte de sortie. Malheureusement, nous ne naissons pas avec cette expérience, mais grandissons et dominons à différents niveaux « l’art d’aimer » au cours de notre évolution.

Lorsque nous naissons, bien que n’étant qu’amour, nous sommes des diamants bruts qui ont besoin d’être polis par l’expérience afin d’apprendre des valeurs, bien souvent par la souffrance et l’injustice.

La couleur du chakra du cœur est le vert, la couleur de la nature qui symbolise le pouvoir de guérison et de transformation de la terre, celle-là même qui vieillit et périt en hiver pour refaire surface et à nouveau pousser au printemps, transmettant la joie et la vie. De même, la souffrance ou la douleur se guérit par l’amour, la compassion et le pardon.

Son élément est l’air, étant essentiel pour vivre. La respiration est si fondamentale que nous l’effectuons sans nous en rendre compte, automatiquement. Elle est étroitement liée au sentiment, au cœur. L’anxiété, la fatigue, la peur ou la surprise changent notre façon de respirer.

D’où l’importance d’apprendre à respirer correctement. Lorsque la respiration est profonde, rythmique et consciente, l’ordre de notre être intérieur est restauré. Il est donc conseillé de consacrer chaque jour un peu de temps à la méditation, nous concentrant sur notre respiration et reposant l’esprit afin de rééquilibrer le corps aussi bien physiquement que spirituellement.