Stress et graisse abdominale

De nombreuses personnes ayant entretenu tout au long de leur vie une activité physique adéquate et menant une vie saine, présentent néanmoins des problèmes de graisse abdominale, et même si elles ont envisagé toutes sortes de solutions et de régimes alimentaires, elles ne parviennent pas à se débarrasser de ce petit ventre si disgracieux.

Les informations et les conseils que ces personnes reçoivent afin de voir leur poids diminuer se réfèrent rarement aux effets du stress.

Le stress est très nocif, non seulement sur les plans psychologique et physique, mais également parce qu’il augmente le taux de cortisol dans le corps. Cette hormone sécrétée en cas de danger ou d’alarme n’est pas nocive à petites doses, mais dans notre société, le stress devient généralement chronique, de graves problèmes endocriniens pouvant alors survenir.

Dans ce cas, le foie est mobilisé, faisant circuler le glucose en tant que carburant rapide, et celui-ci restant longtemps dans le sang, les réserves de glucose dans le foie s’épuisent, de sorte que l’organisme utilise une autre source, le tissu musculaire, le cerveau demandant ainsi un apport énergétique plus important. Cela se traduit par un apport alimentaire plus important, de façon compulsive et rapide. En plus de rassasier ce besoin, cette énergie est cherchée sous forme de sucres ou de glucides à assimilation rapide.

Le contraire se produit également. En effet, lorsqu’il y a plus de glucose dans le sang, les quantités de cortisol augmentent également, de sorte que si nous souffrons de stress, il est non seulement nécessaire de mener une vie saine et de nous alimenter de façon adéquate, mais également de diminuer notre consommation d’aliments à indice glycémique élevé.

Dans de telles circonstances, le cortisol est à l’origine de l’obésité qui se concentre sur notre ventre, accumulant la graisse, en particulier au niveau de la région abdominale, tandis qu’une réponse de faim arrive au cerveau, indiquant aux cellules de stocker la plus grande quantité de graisse possible. Ne perdons pas de vue qu’aujourd’hui, la circonférence abdominale est considérée comme étant l’un des principaux facteurs de problème hormonal chez l’homme, la correction de ce problème étant alors fondamentale.

Conseils

Le principal conseil consiste à mener une vie tranquille, mais étant conscients que cela n’est pas toujours possible, divers produits ou compléments alimentaires y contribueront, notamment la DHEA ou déhydroépiandrostérone, une hormone stéroïde synthétisée à partir de cholestérol et sécrétée par les glandes surrénales. Lorsque nous présentons des niveaux élevés de stress, cette hormone chute et le cortisol augmente, créant sur le long terme une fatigue et un sentiment d’épuisement. La DHEA prise en petites quantités sous forme de compléments alimentaires, 25 mg par jour, peut entraîner une diminution du cholestérol dans l’organisme. Ceci peut être constaté à l’aide d’un kit du système endocrinien.

Les compléments alimentaires d’acides gras oméga 3, vitamines A, B (en particulier acide pantothénique ou vitamine B5) et C peuvent diminuer la libération de cortisol influencée par le stress mental.

Une alimentation riche en fruits et légumes et faible en glucides, en glucides à chaine courte et en sucre est fondamentale. Réaliser une activité physique qui augmente nos taux d’endorphines et diminue notre taux de sucre dans le sang et de graisse et avoir des relations sexuelles qui contribuent au contrôle des taux de cortisol, voilà quelques conseils particulièrement importants à suivre.

 

Ángel Salazar

Kinepharma

L’importance du Soleil dans la santé du cerveau

La vitamine D est associée à la santé du cerveau. Cela a été démontré dans une étude récente publiée dans le magazine Neurology qui a analysé si la baisse de vitamine D a une influence sur les pertes cognitives. Des chercheurs de l’université Italienne de Padoue ont suivi près de 2000 personnes âgées pendant quatre ans et demi, et ils ont utilisés des tests de rapidité de réaction mental et de la mémoire.

Pour cela, ils ont dû mesurer certains niveaux de différentes substances apparentées à la vitamine D dans le sérum et qui ont par la suite, été mises en relation avec la performance dans ces tests cognitifs. Dans ces tests, ils ont utilisé des méthodes qui vérifiaient que cette relation ne soit pas influencée par d’autres facteurs, comme par exemple l’état général de la santé ou la performance physique.

Ces résultats ont révélé ce qui suit:

  • Facteurs cognitifs: les personnes ayant une carence de vitamine D dans le sang avaient une plus grande possibilité de développer une déficience cognitive, que les personnes ayant un niveau suffisant. (à partir de 75 nmol/l)
  • Facteurs prévisibles: chez les personnes âgées, en bonne santé, avec des niveaux inférieurs a 75 nmol/l de vitamine D, il était possible de prévoir un mauvais fonctionnement cognitif global à moyen terme dans 4,4 ans.

Ces données soutiennent les résultats d’autres études chez des modèles animaux qui démontrent que le déficit de vitamine D provoque des changements dans l’expression des gènes dans l’hippocampe, une région très importante du cerveau dans le processus de la mémoire et très touchée dans la maladie d ‘Alzheimer.

En France, on observe des niveaux insuffisants et même très pauvres de cette vitamine,  malgré le grand nombre d’heures de soleil que nous avons. Les nouvelles découvertes donnent de nouvelles raisons d’encourager le maintien des niveaux adéquats à travers une exposition au soleil habituelle et raisonnable, la consommation d’aliments riches en vitamine D et si besoin est, avec certains suppléments vitaminiques. Nous pourrons vérifier cela en étudiant la nécessité de vitamine D dans un Kit de vitamines.

 

Ángel Salazar

Kinepharma

 

Les intolérances alimentaires et l’importance de leur détection

Nous avons vu dans les articles précédents que les intolérances alimentaires sont très importantes dans la lutte contre les problèmes généraux de santé de nos patients. Les intolérances alimentaires sont souvent le préambule d’une éventuelle maladie grave, les symptômes pouvant être cachés pendant de nombreuses années, détériorant ainsi notre santé à petit feu. Il s’agit donc là d’un facteur à prendre en compte, et en notre qualité de thérapeutes, nous devons rapidement nous y attaquer.

N’oublions pas que les intolérances alimentaires sont souvent réversibles, encore faut-il les détecter. Elles peuvent survenir en réponse à certains troubles digestifs ou en l’absence de quelques enzymes données dans notre organisme, entraînant une mauvaise métabolisation de cet aliment qui causera une intolérance à ce produit. Les principales intolérances alimentaires concernent le lait, les céréales (et notamment le blé), les œufs, les fruits de mer et les poissons.

Une intolérance peut être aggravée par un trouble localisé au niveau de la membrane intestinale, faisant penser à une dysbiose en raison du manque de flore intestinale, à une candidose, à des troubles de perméabilité, etc. Un mauvais état du système digestif peut parfois entraîner une perméabilité intestinale, soit lorsque les produits sont filtrés depuis l’intérieur de l’intestin vers l’intérieur de la circulation sanguine, à l’origine de troubles immunitaires. La membrane intestinale permet le passage des produits de la digestion. Dans ce cas, les toxines peuvent passer à travers les cellules, y compris les métaux lourds, les pesticides ou les produits propres à l’alimentation, conduisant à la formation d’anticorps à l’origine d’allergies ou de maladies auto-immunes.

Ainsi, si nous détectons rapidement l’aliment à l’origine d’une intolérance alimentaire, nous serons en mesure d’identifier certaines gênes telles qu’une inflammation, des démangeaisons, des douleurs abdominales, des gaz, des diarrhées, des ballonnements abdominaux, etc., qui souvent ne seront remarquées que quelque temps après, d’où l’importance du test.

Si nous parvenons à nous passer de ces aliments et que nous traitons les causes, il sera généralement possible de consommer ces produits avec modération après un certain temps. Dans ce cas, le besoin d’un changement nutritionnel s’avèrera de plus en plus nécessaire. La première chose à faire sera d’identifier les produits à l’origine de l’intolérance alimentaire. À cette fin, nous utiliserons un kit de kinésiologie d’intolérances alimentaires, où nous pourrons constater quels produits doivent être supprimés.

 Angel Salazar

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Élimination des fixations

Généralement, un problème survient lorsque deux vertèbres sont reliées et qu’elles bougent simultanément, étant bloquées. Ceci se produit parce qu’il existe une fixation et qu’il s’agit là d’une blessure de groupe.

Ce problème se caractérise par une faiblesse musculaire bilatérale. Si cet ensemble de muscles nous affaiblit bilatéralement, alors une fixation existe, ces mêmes muscles nous indiquant sur quelle vertèbre ces fixations se trouvent :

  • Le psoas signifie que le problème se trouve sur D11 et D12.
  • Le grand fessier sur C2.
  • Le deltoïde sur D3 et D4
  • Le grand rond sur D2.
  • Le trapèze inférieur sur D6.
  • Le pyramidal sur L5.
  • Les ischio-jambiers sur L4 et L5.

Test

Les fixations ne partent généralement pas lors d’une simple thérapie de localisation (TL), il faudra donc les provoquer. Cependant, dans le test général sera apprécié un problème structurel, nous utiliserons le mudra structurel et nous verrons plus tard si c’est une priorité, dans ce cas nous ferons le traitement.

Pour provoquer deux os qui sont reliés, il faut en pousser un vers la droite, et l’autre vers la gauche. Dans le cas d’une fixation, alors il y aura un AR (Arm Reflex).

On pousse une vertèbre vers la gauche, et l’autre vers la droite et un AR survient. On pousse ensuite dans l’autre sens, il s’agit alors du sens fort.

Un autre test peut également être effectué en plaçant un objet noir à environ 20 cm des yeux du patient. Si lorsqu’il le regarde, un AR apparaît, alors des problèmes de fixation existent. Le problème sera uniquement traité lorsqu’il sera prioritaire.

Traitement structurel :

Il consiste à pousser les apophyses épineuses dans le sens fort, tandis que le patient expire et qu’il maintient l’expiration. Les progrès se feront ainsi lors de chaque expiration (trois ou quatre fois).

Traitement basé sur les notes de l’Institut IGEM.

 

Angel Salazar

 

 

 

Les dangers de l’acidose dans le corps humain

En matière de santé, l’un des principaux dangers réside dans l’existence d’un organisme acide, soit lorsque le pH du sang tombe en dessous de la plage optimale comprise entre 7,35 et 7,45 qui représente le degré d’alcalinité idéal pour notre santé.

La plupart des personnes vivant dans les pays occidentaux souffrent d’acidose, le pH du sang n’atteignant pas ces valeurs et se situant généralement autour de 7,25. Un pH de 7,1 peut par exemple provoquer un coma, voir même la mort si ce pH tombe en dessous de 7.

Lorsque nous constatons l’existence d’un trouble biochimiqueen kinésiologie holistique,l’un des principaux tests pratiquésestcelui de l’acidité, étant prioritaire. À cette fin, nous utilisons une fiole d’acidumoxalicumà la 30 DH.

Comment l’acidité perturbe-t-elle l’organisme ?

  • Elle perturbe généralement l’ensemble des transformations chimiques de l’organisme, étant associée aux enzymes fragilisées par un pH acide.
  • Les acides sont particulièrement agressifs dans les tissus. En effet, l’acidité irrigue les organes et les tissus, causant des douleurs, des blessures, une inflammation, de l’eczéma, des démangeaisons, etc.
  • Elle influence les infections de l’organisme, créant un terrain propice aux micro-organismes envahisseurs qui se trouvent alors dans un milieu plus que favorable. En outre, elle endommage les muqueuses qui ont notamment pour rôle deprévenir l’entrée d’agents pathogènes, les cystites ou un affaiblissement du système immunitaire.
  • Elle constitue un environnement propice à la propagation de cellules cancéreuses, favorisant un environnement anaérobie avec manque d’oxygène.
  • Elle provoque une déminéralisation de nombreuses parties du corps telles que les os,ces derniers devant céder leurs minéraux afin de compenser cette baisse de pH, ce qui peut causer des maladies telles que l’ostéoporose.

Comment savoir si notre pH est optimal ?

En nous levant, nous devons écarter la première urine du matin, de nombreux acides ayant été éliminés pendant la nuit, et utiliser la suivante afin de vérifier le pHà l’aide de bandes d’acidité et d’alcalinité. Lo óptimo estaría entre 6.5 y 7.5, mientras que la saliva sería de 7 a 7.5. Le pH optimal de l’urine serait compris entre 6,5 et 7,5, tandis que celui de la salive serait compris entre 7 et 7,5.

Les solutions visant à alcaliniser notre corps passent par l’alimentation, critère que nous avons déjà abordé à de nombreuses reprises, mais pas seulement. En effet, bien que nous devions nous alimenter correctement et nous reminéraliser par des aliments riches en vitamines, en acides aminés, en antioxydants et en minéraux, il est fondamental de boire beaucoup d’eau et de mener une vie non sédentaire. L’idéal serait de mener une vie tranquille, sans stress, et si ceci n’est pas possible à 100 %, il est essentiel de pratiquer des sports de plein air, de bien dormir, et plus généralement, de respirer de l’air frais.

 

Ángel Salazar

Kinepharma

Alimentation et système immunitaire

Chaque repas déclenche une inflammation. Lorsque nous mangeons, nous consommons non seulement des nutriments, mais également une quantité non négligeable de bactéries. Le corps a donc la tâche ardue d’assimiler le glucose ingéré tandis qu’il lutte contre ces bactéries. Ceci déclenche une réaction inflammatoire qui active le système immunitaire des individus en bonne santé et qui a un effet protecteur, tel que l’ont démontré pour la première fois les médecins de l’Université et de l’hôpital universitaire de Bâle. Chez les personnes en surpoids, cette réponse inflammatoire fait cependant défaut de façon si spectaculaire qu’elle peut conduire au diabète.

Il est bien connu que le diabète de type 2 (ou diabète de l’âge mûr) conduit à une inflammation chronique ayant divers impacts négatifs. Un certain nombre d’études cliniques ont traité le diabète en supprimant la surproduction d’une substance impliquée dans ce processus, l’interleukine-1 (IL-1) bêta. Chez les patients diabétiques, cette substance messagère déclenche une inflammation chronique et est à l’origine de la mort des cellules bêta productrices d’insuline.

Activation du système immunitaire

Cette inflammation présente toutefois quelques aspects positifs, tel que cela a été récemment rapporté dans la revue Nature Immunology par des chercheurs du Département de biomédecine de l’Université et de l’hôpital universitaire de Bâle. Chez les sujets sains, les réponses inflammatoires à court terme jouent un rôle important dans l’absorption du sucre et l’activation du système immunitaire.

Le Professeur Marc Donath, chef du département d’endocrinologie, diabète de cet hôpital et son équipe de recherche démontrent dans leur travail que le nombre de macrophages (un type de cellule immunitaire) augmente autour des intestins pendant les repas. Ces cellules « poubelles » produisent la substance messagère IL-1 bêta dans des quantités variables en fonction de la concentration de glucose dans le sang. Ceci stimule alors la production d’insuline dans les cellules bêta du pancréas, étant à l’origine de l’augmentation de la production d’IL-1bêta par les macrophages. L’insuline et l’IL-1bêta travaillent de concert afin de réguler les taux de sucre dans le sang, tandis que la substance messagère IL-1bêta garantit que le système immunitaire jouisse de l’apport nécessaire en glucose, restant donc actif.

Bactéries et nutriments

D’après les chercheurs, ce mécanisme du métabolisme et du système immunitaire dépend des bactéries et des nutriments ingérés lors des repas. Avec suffisamment de nutriments, le système immunitaire est capable de lutter efficacement contre les nouvelles bactéries. À l’inverse, dans le cas d’un manque de nutriments, les quelques calories restantes doivent être conservées pour des fonctions vitales au détriment d’une réponse immunitaire. Ceci explique dans une certaine mesure pourquoi les maladies infectieuses surviennent plus fréquemment dans les sociétés confrontées à des pénuries alimentaires.

 

Angel Salazar

Kinepharma

Exercice, carence nutritionnelle et moral

L’exercice régulier est l’antidépresseur naturel le plus puissant qui existe. De fait, bon nombre des effets bénéfiques du sport constatés dans la prévention des maladies cardio-vasculaires sont associés à sa capacité à améliorer le moral des personnes et la fonction du système cardio-vasculaire.

Plusieurs études cliniques ont clairement démontré que l’exercice possède un puissant effet antidépresseur. Ces études ont confirmé qu’une plus grande pratique d’activités sportives et physiques de toutes sortes diminuerait les symptômes d’anxiété, de dépression et de mal-être. Voilà pourquoi les personnes qui pratiquent un exercice régulier ont une meilleure estime d’eux-mêmes. Elles se sentent mieux et sont bien plus heureuses que les personnes qui ne pratiquent aucun exercice régulier.

Ceci tient au fait que l’exercice régulier augmente le taux d’endorphines, ces dernières étant directement associées au moral de la personne. Ceci est démontré dans l’une des études les plus intéressantes à cet égard. Dans cette étude, les taux de bêta-endorphine sont comparés au type de dépression chez dix personnes pratiquant un exercice régulier et chez dix autres personnes sédentaires du même âge. Ces dernières étaient beaucoup plus déprimées, elles ressentaient plus de stress au quotidien et présentaient des taux de cortisol plus élevés et des taux d’endorphines bêta plus bas. Les chercheurs ont alors découvert que l’exercice favorise un lien biochimique entre l’activité physique et la dépression directe et qu’il est essentiel à la prévention de la dépression.

À ce sujet, une corrélation directe entre les problèmes susmentionnés et une carence nutritionnelle a également été constatée. Cette éventuelle carence n’est en réalité qu’un indicateur du problème sur le moral, une carence nutritionnelle de tout nutriment pouvant, tel que vérifié, perturber la fonction cérébrale et conduire à un état dépressif.

Il est donc essentiel que ces personnes se voient administrer des compléments alimentaires associant vitamines et minéraux. Dans de nombreux cas, la prescription doit couvrir un large spectre (complexe multivitamines et minéraux), la plupart des personnes souffrant de dépression présentant en effet une carence en divers nutriments, tels que l’acide folique, la vitamine B12 et la vitamine B 6. Ceci pourrait être confirmé avec un kit de vitamines et de minéraux.

Angel Salazar

Kinepharma

 

Obésité et déséquilibre de la flore intestinale

Lors d’études menées auprès de personnes en surpoids, il a été démontré que leur flore intestinale est moins diversifiée que celle des personnes ayant un poids normal et que certains groupes de bactéries prédominent, en particulier celles qui métabolisent les glucides. Toutefois, pour que le surpoids soit avéré, d’autres facteurs doivent être constatés. Le premier est l’inflammation.

En cas de troubles métaboliques tels que le surpoids, le diabète ou des taux de graisses élevés dans le sang, une légère élévation du taux sanguin de marqueurs inflammatoires est généralement constatée. Les valeurs ne sont toutefois pas assez élevées pour nécessiter un traitement. De ce fait, le phénomène est connu sous le nom d’inflammation subclinique.

Les bactéries produisent normalement une inflammation suffisante à travers une substance transmettrice, induisant ainsi l’inflammation, à moins qu’elles ne soient contrôlées au sein de leur environnement intestinal. Mais dans le cas d’une prolifération excessive de mauvaises bactéries et d’une alimentation trop grasse, de nombreuses raisons se conjuguent pour causer une certaine inflammation dans l’ensemble de notre corps, de sorte que celui-ci retient la graisse afin de faire du stock en cas de disette.

Un impact direct existe également sur la glande thyroïde, les agents inflammatoires bactériens nuisant à son travail et étant à l’origine d’une baisse de production des hormones thyroïdiennes, et donc, d’une combustion plus lente des graisses.

Non seulement les bactéries provoquent une inflammation, mais d’autres causes possibles ont été constatées, telles qu’un déséquilibre hormonal, l’excès d’œstrogènes, une carence en vitamine D ou même une alimentation trop riche en gluten, ce dernier provoquant une inflammation.

Ainsi, dans le cas où nous constatons un certain nombre de troubles chez notre patient, dont certains des symptômes sont l’obésité, le manque de vitamines et de minéraux et le dysfonctionnement de la thyroïde, il conviendrait d’étudier en priorité l’équilibre dans sa flore intestinale, en plus de changer son régime alimentaire. À cette fin, nous utiliserons un kit de marqueurs inflammatoires et la fiole de dysbiose intestinale afin d’identifier l’équilibre de la flore intestinale.

 

Ángel Salazar

Kinepharma.

Test de circulation cérébrale en kinésiologie

Au sein même du test des organes et des glandes, parlons du test de circulation cérébrale.Bien que chez l’homme, le cerveau ne représente que 2 % du poids corporel, il reçoit 15 % du débit cardiaque et 20 % de la consommation d’oxygène. Le débit sanguin vers le cerveau est généralement d’environ 750 ml par minute, dont 70 % sont fournis par les artères carotides et 30 % par les artères vertébrales.

Les artères qui fournissent la majorité du flux sanguin vers la tête et le cou sont donc les artères carotides communes. Elles sont divisées en deux branches, la carotide externe, qui irrigue le cou, le visage et la zone extérieure de la tête, et la carotide interne, qui irrigue le prosencéphale, les yeux, les orbites et les sinus.

En cas de perturbation de la circulation cérébrale, des troubles de la mémoire et de la concentration sont généralement constatés, et divers symptômes tels qu’une perte de l’ouïe ou de la vue, des acouphènes, des vertiges ou des étourdissements, etc., se produisent.

Test

Nous frapperons la tête de la clavicule gauche, et si nous obtenons un AR (Arm Reflex), alors il y a peu d’irrigation cérébrale. Nous pouvons également utiliser une fiole d’oxygénation combinée à celle du cerveau, toutes deux étant disponibles dans un test diagnostic basic élargi. Si ces fioles sont posées en association sur notre patient et que nous obtenons une modification de l’information, alors le diagnostic sera le même.

Après avoir diagnostiqué le problème, nous fixons l’information et nous demandons si le traitement est énergétique, émotionnel, chimique ou structurel.

  • Dans le traitement énergétique, nous utiliserons l’acupuncture et l’auriculothérapie.
  • Dans le traitement émotionnel, nous testerons les fleurs de Bach ou toute autre technique émotionnelle.
  • Dans le traitement chimique, nous testerons le ginkgo biloba, l’aubépine, l’ail, l’huile d’onagre, l’oméga trois, l’oméga six, la vitamine E, la choline, la phosphatidylcholine, la phosphatidylsérine, la lécithine de soja, la chlorelle, le curcuma, etc.
  • Dans le traitement structurel, nous testerons le crâne et les vertèbres cervicales, puis nous appliquerons la thérapie crânio-sacrale.

 

Ángel Salazar

Kinepharma

Test kinésiologique de manque de minéraux et oligo-éléments

Lorsque la kinésiologie holistique est utilisée dans la sphère chimique, la méthode la plus simple pour tester le manque de minéraux et d’oligo-éléments consiste généralement à utiliser une unique fiole. Cette dernière est composée de Cuprum metalicum à la 200 DH et de cobalt métallique à la 200 DH. Cette méthode vise à poser ce filtre sur le nombril du patient dans un anneau noir ou dans le résonateur de fréquences. S’il y a AR (Arm Reflex ou le raccourcissement du bras), alors il y a un manque de minéraux ou d’oligo-éléments.

À partir de là, la logique veut que nous recherchions de quel minéral ou oligo-élément notre patient a besoin. Pour ce faire, il convient de tester petit à petit avec un kit de sels minéraux ou d’oligo-éléments jusqu’à trouver lequel est prioritaire.

Une autre façon de tester le manque de minéraux est de toucher le point 4TR bilatéralement. Si nous constatons un changement dans l’information, alors il y a un manque de minéraux. Le thérapeute peut ensuite effectuer une TL (thérapie de localisation ou toucher légèrement un point) au niveau des points réflexes des minéraux ou utiliser les fioles des différents minéraux afin de déterminer les minéraux nécessaires.

Il existe également un point qui nous indique une carence en oligo-éléments. Il s’agit du point moyen du muscle sterno-cléido-mastoïdien gauche. Si un AR se produit, alors il y a un manque d’oligo-éléments, et de même qu’avec les minéraux, nous fixons l’information et nous utilisons les fioles d’oligo-éléments ou le thérapeute effectue une TL au niveau des points réflexes correspondants.

Pour tester le manque ou l’excès de minéraux et d’oligo-éléments, il est également tout simplement possible d’utiliser la TL sur les points réflexes. Lorsque le thérapeute est celui qui touche (TL) et qu’il y a un AR, alors il y a une carence en minéraux ou oligo-éléments. Si le patient est celui qui touche et qu’il y a un AR, alors il y a un excès. N’oublions pas que le manque de ces minéraux et oligo-éléments est généralement associé à des déséquilibres de la valvule iléo-cæcale et/ou de la flore intestinale. C’est pourquoi, dans de nombreux cas, nous devrons traiter ce trouble avant même d’administrer le produit. En cas contraire, ces carences ne seront jamais résolues chez le patient.

 

Angel Salazar Magaña

Kinepharma

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