L’importance du test d’inflammations

L’un des principaux tests effectués en kinésiologie est l’inflammation, comme nous l’avons vu dans notre article du 18 Février 2013 »L’inflammation et le cancer, » Harold Dvorak professeur de pathologie à l’Université Harvard, dans son article «Les tumeurs: les plaies qui ne guérissent pas » (Tumors: wounds that do not heal). Dans cet article, le professeur a montré que les mécanismes impliqués dans les processus inflammatoires et dans les cancers sont étonnamment très similaire. Mais l’inflammation est importante non seulement dans des processus cancéreux, mais tous les types de maladies dégénératives, les maladies circulatoires telles que l’athérosclérose, le syndrome métabolique chez, les infections et de nombreuses autres maladies. D’où l’importance de ce test. Les fiales les plus important se trouvent dans un test de l’inflammation et sont:

  • CRP. La protéine C-réactive est un examen général permettant de vérifier s’il y a une inflammation dans le corps. Il ne s’agit pas d’un examen spécifique. En effet, il peut révéler que vous avez une inflammation quelque part dans le corps, mais il ne peut pas déterminer son emplacement exact. Cependant, elle est essentiellement utilisée pour vérifier des exacerbations de maladies inflammatoires telles que l’arthrite rhumatoïde, le lupus ou la vascularite.
  • PG2. Les prostaglandines proviennent des omégas 6 qui stimulent l’inflammation et sont contrebalancées par les PG1 et les PG3 provenant des omégas 3. C’est la prostaglandine la plus importante dans le processus inflammatoire. Elle produit une vasodilatation et de la douleur, bien qu’elle augmente également la perméabilité vasculaire. C’est la prostaglandine la plus importante dans le processus inflammatoire. Elle produit une vasodilatation et de la douleur, bien qu’elle augmente également la perméabilité vasculaire. Elles sont responsables d’allergies, de l’augmentation du cholestérol, de la tension artérielle et de la douleur et elles proviennent essentiellement de graisses animales.
  • Kinine : le système kinine-kallikréine comprend un complexe de protéines, qui lorsqu’il est activé, provoque la libération de kinines vasoactives. Les kinines sont impliquées dans de nombreux processus physiologiques et pathologiques, y compris ceux de la régulation de la pression artérielle et du débit (à travers la modulation de la voie rénine-angiotensine), de la coagulation sanguine, de la prolifération cellulaire et de la croissance, de l’angiogenèse , de l’apoptose, et du processus inflammatoire, qui comprend des réactions de dommages cellulaires, de coagulation et de fibrinolyse, de l’activation du complément, de la sécrétion de cytokines et de la libération de protéases. Son action sur les cellules endothéliales provoque la vasodilatation, l’augmentation de la perméabilité vasculaire, la libération de l’activateur tissulaire du plasminogène (tPA), la production d’oxyde nitrique (NO), et la mobilisation de l’acide arachidonique.
  • Leucotriène 4.Les leucotriènes sont des hormones dérivées de l’acide arachidonique qui sont produites par des globules blancs.Une de leurs fonctions est de déclencher des contractions dans les muscles lisses qui tapissent la trachée. Leur surproduction est une cause importante de l’inflammation associée à l’asthme et à la rhinite allergique.
  • IL-4,5,6,10 (TH2). D’une certaine façon, ils modulent et inhibent l’inflammation, étant donné que ce sont des cytokines ayant une activité anti-inflammatoire et immunosuppressive qui inhibent la croissance cellulaire ou suppriment la sécrétion d’autres cytokines.
  • IL-2. Également appelée modulateur immunitaire, il s’agit de l’interleukine-2. C’est une protéine qui compose les cytokines du système immunitaire. Elle agit comme un facteur de croissance des lymphocytes T. Elle induit tous les types de sous-populations de lymphocytes et active la prolifération cellulaire de lymphocytes B. IL-2 stimule le système immunitaire et augmente le nombre de cellules CD4 (lymphocytes T auxiliaires).

  • IL-1,6,8. Il s’agit de cytokines (protéines) pro-inflammatoires. Associées aux PCR, elles sont un signal d’identification d’infections.
  • TNF-α. C’est une protéine du groupe des cytokines libérées par les cellules du système immunitaire et impliquées dans l’inflammation et la destruction articulaire secondaires à l’arthrite rhumatoïde, ainsi que dans d’autres maladies.
  • NF KAPPA B. Le cancer active sa sécrétion, clé de son développement et de son extension. C’est un complexe protéique qui contrôle la transcription de l’ADN. C’est la substance la plus pro-inflammatoire qui existe. Elle se trouve dans la plupart des types de cellules animales et elle est impliquée dans la réponse cellulaire face à des stimuli tels que le stress, les cytokines, les rayons ultraviolets, les LDL oxydées, et les antigènes bactériens ou viraux. Le défaut de régulation du NF-kB est associé, tel que nous l’avons évoqué, au cancer, mais également à des maladies inflammatoires et auto-immunes, à un choc septique, à des infections virales ou au développement immunitaire inapproprié.
  • Interféron g. C’est un puissant activateur de macrophages. Il stimule les neutrophiles et les lymphocytes B et induit la synthèse d’IL-1 et de TNF-α. Il a de puissantes fonctions antivirales et anti-prolifératives ainsi que des propriétés immunomodulatrices. Il modifie également la synthèse de collagène et régule la synthèse et l’activité d’autres cytokines, en particulier, IL-1, IL-2 et TNF-α. Il peut donc indiquer la présence d’infections ou de tumeurs.

Ángel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

 

Fasciite plantaire: inflammation et douleur dans nos pieds

La fasciite plantaire se caractérise par une douleur ou une inflammation qui affecte la zone du talon du pied et en particulier, du tissu épais, ainsi que par l’apparition de douleur ou de sensation de brûlure dans la zone de la plante.  Il s’agit de la fascia plantaire qui relie le calcanéum aux orteils et qui crée la voûte plantaire

Cette lésion est due à une surutilisation qui est accompagnée de douleurs qui peuvent toucher l’ensemble du pied.

Apparition et causes de la fasciite plantaire

Elle se produit principalement chez les personnes ayant une activité physique intense, et en particulier, chez celles qui pratiquent l’athlétisme et qui ont entre 40 et 70 ans.

Il n’existe pas de cause unique d’apparition de la fasciite plantaire. Cependant, et contrairement à la croyance, toutes les études menées à cet égard ont démontré qu’elle n’est pas due à l’apparition d’une épine calcanéenne dans le talon. En revanche, elle est associée à certains points qui encouragent son développement.

Avoir les pieds plats ou une voute plantaire haute, prendre rapidement du poids, courir ou avoir une activité physique intense dont les pieds sont le principal « moteur », ou porter des chaussures inappropriées, sont des facteurs déterminants.

La fasciite plantaire n’est pas une affection médicale grave, mais elle est très gênante et douloureuse. Elle peut même empêcher de marcher normalement. C’est l’une des affections orthopédiques les plus courantes.

Traitement

Nous recommandons de refuser l’infiltration locale de substances corticostéroïdes ou de mélanges et de se rendre rapidement chez un physiothérapeute afin de prévenir l’inflammation chronique.

Le traitement de la fasciite plantaire passe par un rigoureux contrôle des facteurs de risque qui sont à l’origine de son apparition ou de son aggravation. Il est donc recommandé d’utiliser de bonnes chaussures ainsi que des attelles appropriées et de prendre des suppléments tels que des omégas 3, du curcuma, du cassis et du réglisse, entre autres. De même, une alimentation saine avec des fruits et des légumes frais, qui minimise les sucres et les autres produits à l’origine de l’inflammation tels que l’alcool, les farine raffinées, le café, les huile de friture, la viande rouge et en général, l’excès de protéines, est fortement recommandée. Il serait souhaitable de :

  • Pratiquer des massages. Des techniques de massage telles que le massage par frottement, par friction, par pression, les torsions et les secousses dans la plante du pied sont effectuées pendant environ 10 minutes. Elles sont associées à un substrat d’huiles essentielles anti-inflammatoires, telles que la lavande, le basilic, la camomille romaine, la Gaultheria, la citronnelle de Ceylan ou la citronnelle. Ces huiles sont utilisées deux à quatre fois par jour comme moyen thérapeutique. Une ou plusieurs huiles peuvent être choisies avec un kit d’huiles essentielles.
  • Compresses chaudes. La compresse chaude et humide est enroulée dans une serviette avec 4 plis et est placée sur la plante du pied pendant 15 à 20 minutes. La peau doit être examinée toutes les 5 minutes.
  • Hydrothérapie. Bains partiels pour les membres inférieurs avec une température pouvant atteindre jusqu’à 45 degrés.
  • L’étirement de l’aponévrose plantaire jusqu’à nous, en maintenant la posture entre 15 et 20 secondes, doit faire partie de notre exercice d’allongement. Il est souhaitable d’utiliser plusieurs paires de chaussures de sport ou de les changer fréquemment, ainsi que des semelles en cas de besoin.
  • Dans le cas des coureurs, l’activité doit est reprise de façon lente et progressive.

Ángel Salazar (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma

Fiole d’homocystéine

J’ai récemment lu dans un journal l’information suivante : « La Médecine a découvert un nouveau marqueur vasculaire. Malgré le manque d’études définitives, il apparaît que lors d’une analyse sanguine, une augmentation de l’homocystéine peut prédire le risque d’accident cardiovasculaire. Les personnes ayant des antécédents, les personnes âgées et celles qui souffrent d’obésité doivent surveiller leur taux d’homocystéine pour éviter des frayeurs fatales ».

L’homocystéine (HC) acide 2-amino-4-sulfanyl-butanoïque est un acide aminé soufré très important dans le transfert de groupements méthyles lors du métabolisme cellulaire. Elle est considérée comme un facteur déterminant dans le développement de maladies cardiovasculaires et cérébrovasculaires. Cet élément, qui est libéré lorsque le corps digère de l’acide folique et d’autres vitamines B (notamment les vitamines B6 et B12), est un indicateur de dysfonctionnement de l’organisme. Il se manifeste lors d’une augmentation de cette substance chimique dans le plasma.

Mais à part les maladies cardiovasculaires, les carences en vitamines énumérées ci-dessus (B6 et B12) peuvent également causer des troubles cognitifs. La disponibilité insuffisante de groupements méthyles empêche le correct métabolisme de la myéline, des neurotransmetteurs et des membranes de phospholipides. Elle se manifestera ensuite sous la forme de maladies neuronales : maladie d’Alzheimer, maladie de Parkinson, épilepsie, démence, etc.

L’homocystéine, qui est de nos jours analysée dans les cas de risque cardiovasculaire, est impliquée dans le développement de l’athérosclérose. Elle affecte également le sang, en rendant les plaquettes plus collantes et en favorisant la formation de caillots qui peuvent obstruer intégralement les artères et les veines, engendrant des thromboses et d’autres accidents vasculaires. L’homocystéine réduit également la flexibilité des artères et des veines, en empêchant leur dilatation.

Les facteurs qui ont une influence sur l’augmentation de l’homocystéine sont :

  • Les carences en folates, en pyridoxine ou les troubles dans les mécanismes d’absorption de la vitamine B12.
  • Les altérations du foie, des reins, l’hypothyroïdie, la néoplasie et la transplantation.
  • La toxicité due aux médicaments ou à l’excès d’alcool ou de café.
  • Les troubles enzymatiques.

Le risque d’accident vasculaire cérébral cryptogénique (d’origine inconnue) est beaucoup plus grand, si en plus de présenter un taux important de cet acide aminé, la personne a indice de masse corporelle (IMC) élevé.

Test et traitement

Pour le test, nous utiliserons la fiole d’homocystéine du kit du système endocrinien élargi.Nous pourrons également tester l’inflammation. Ces deux informations nous aideront à définir plus clairement le risque immédiat d’accident cardiovasculaire. Nous examinerons les fioles d’un test d’inflammations, et en particulier : interleukines (IL) IL-1, 6, 8, interféron gamma, TNF-α, leucotriène-4 et la protéine C réactive (PCR). La fiole d’IL-4, 5,6,10 (TH2) nous informera sur la modulation et l’inhibition de l’inflammation et diminuera donc le risque cardiovasculaire.

En cas de troubles de la mémoire et d’autres problèmes neurologiques ou dégénératifs, les fioles d’homocystéine, de vitamine B6 et de vitamine B12 peuvent être utiles, en révélant un manque de vitamines B6 et B12 ou d’autres facteurs à l’origine de l’hyperhomocystéinémie.

Pour changer, et nous le disons avec une certaine ironie étant donné qu’elle influe sur la prévention de toutes les maladies, nous lutterons contre ce problème grâce à une alimentation appropriée, avec des quantités importantes de fruits et légumes qui nous apportent de l’acide folique, et également grâce à des suppléments en vitamine B6 et B12. Nous devons cependant nous référer à ce que nous avons commenté dans notre article de la semaine dernière, «Alimentation et maladies cardiaques», qui encourage à supprimer tout ce qui peut contribuer à l’inflammation.

Angel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

 

Alimentation et maladies cardiaques

Aujourd’hui, le tournant amorcé par le Dr. Dwight Lundell, chef du service de chirurgie coronaire du Banner Heart Hospital, qui l’a conduit à abandonner récemment la chirurgie pour se concentrer sur le traitement nutritionnel des maladies cardiaques, a attiré notre attention. Il est le fondateur de la Healthy Humans Foundation qui fait la promotion de la santé humaine par le biais d’une approche qui aide les coopérations à promouvoir la santé.

Plus de 75 millions d’Américains souffrent de maladies cardiaques, 20 millions souffrent de diabète et 57 millions de prédiabète. Ces troubles affectent les jeunes de plus en plus tôt et en plus grand nombre chaque année. Contrairement à ce que l’on nous a toujours enseigné, les coupables ne sont pas les taux élevés de cholestérol, mais l’inflammation qui survient en conséquence des mauvaises habitudes alimentaires.

Ce docteur explique que sans l’inflammation dans le corps, il est impossible que le cholestérol s’accumule sur les parois des vaisseaux sanguins et qu’il cause ensuite des maladies cardiaques et des attaques. En effet, en l’absence d’inflammation, le cholestérol se déplace librement dans l’ensemble du corps. C’est donc l’inflammation qui piège le cholestérol.

L’inflammation est simplement une réaction naturelle du corps face aux bactéries, aux toxines, aux virus, etc. pour se protéger. Cependant, si nous exposons l’organisme de façon chronique à des dommages provoqués par des toxines ou par des aliments que le corps humain n’est pas conçu pour traiter, il en résulte une condition appelée inflammation chronique.

La plupart d’entre nous suivent simplement le régime alimentaire recommandé, faible en graisses et riche en graisses polyinsaturées et en hydrates de carbone, sans savoir qu’il cause des dommages répétés à nos vaisseaux sanguins. Cette agression répétée provoque une inflammation chronique à l’origine de maladies cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux, du diabète et de l’obésité.

 

En résumé, la cause principale de l’inflammation chronique est la surcharge en glucides simples et raffinés (sucre, farine et tous leurs dérivés) et l’excès d’huiles végétales riches en acides gras oméga-6, telles que les huiles de soja, de maïs et de tournesol, qui sont présentes dans de nombreux aliments raffinés.

Quand nous consommons des glucides simples, le taux de sucre dans le sang augment rapidement et le pancréas sécrète alors de l’insuline. Si la cellule est pleine et n’a pas besoin de glucose, l’excès de glucose est rejeté, ce qui provoque une augmentation du taux de sucre dans le sang et donc une production d’insuline plus importante. Le glucose est alors stocké sous forme de graisse.

Quel est le lien avec l’inflammation ? Le taux de sucre dans le sang est contrôlé dans des gammes très étroites. Les molécules de sucre supplémentaires s’unissent à une variété de protéines qui endommage les parois des vaisseaux sanguins. Cette lésion répétée des parois des vaisseaux sanguins provoque l’inflammation. Lorsque votre taux de sucre dans le sang augmente plusieurs fois par jour, et tous les jours, c’est comme si vous frottiez l’intérieur délicat de vos vaisseaux sanguins avec du papier de verre.

Si à cette augmentation du taux de sucre dans le sang s’ajoute l‘excès d’acides gras oméga-6 des produits raffinés qui bouleverse l’équilibre avec les omégas 3, qui devrait être de 3 : 1 et non de 15 : 5 tel qu’il est aujourd’hui, alors la membrane de la cellule produit des substances chimiques appelées cytokines qui causent directement l’inflammation.

Comme nous l’avons précédemment vu dans les articles tels que celui du Dr Shinya, il est indispensable de prendre conscience du rôle de l’alimentation. Cependant, nous croyons que les deux théories sont compatibles et qu’elles doivent être associées. Nous espérons que la médecine courante adoptera une bonne fois pour toutes les bonnes habitudes alimentaires comme étant le principal facteur de prévention des maladies.

Pour le test, nous pourrons utiliser un kit de maladies du système circulatoire, en particulier des fioles comme celle athérosclérose de l’artère qui mettent en évidence des problèmes du système circulatoire.

 

Ángel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

L’intoxication cellulaire et son traitement

Notre corps est intoxiqué à de nombreuses reprises. Entre autres causes, la pollution environnementale et la pollution alimentaire favorisent l’accumulation de quantités plus importantes de certaines substances nocives qui auparavant étaient anecdotiques dans notre corps. Il s’agit notamment de métaux lourds et de microparticules de polluants environnementaux, telles que la suie, et d’une grande variété de poussières industrielles telles que l’amiante et les dérivés minéraux. Aux substances citées précédemment s’ajoutent celles qui ont toujours existé, telles que le pollen, les spores, les diatomées, l’amidon, etc.

Ces particules agissent à travers le processus de persorption, en entrant dans le système digestif, en pénétrant à travers la membrane intestinale et, finalement, en interrompant le flux sanguin, en ayant une influence sur l’immunité de la personne et en affectant le système lymphatique. Elles peuvent provoquer une obstruction des vaisseaux sanguins, y compris au niveau cérébral, en provoquant des troubles dans les capillaires, et avec eux, différentes altérations fonctionnelles (perte progressive de la mémoire, par exemple). Article du blog Kinepharma du 8 décembre 2012, «“Intestin perméable de la membrane celulaire”».

Lorsque toutes ces conditions sont combinées à la propre activité biologique qui génère également des déchets et des toxines endogènes, tels que l’acide lactique, l’urée, le CO2, l’ammoniac et un excès de certaines hormones (déséquilibre hormonal), entre autres, une intoxication cellulaire se produit. L’alimentation a également une influence. En effet, un excès de protéine qui « salissent » la cellule, ainsi que la graisse qui augmente le processus de persorption, intensifient ce processus.

Pendant longtemps, les cellules ont été soumises à des niveaux élevés de toxines. Cela se manifeste par divers symptômes tels que des maux de tête ou des douleurs musculaires, des troubles nerveux, de l’irritabilité, de l’anxiété, de la dépression, de la fatigue, un mal-être général, de la rétention d’eau, un vieillissement prématuré de la peau et des cheveux, et des maladies dégénératives telles que les maladies neurologiques, ou le cancer.

Test et traitement

Le test peut être effectué avec l’ampoule d’empoisonnement chimique qui est l’ampoule de phénol à la 6 DH et ce dans un test diagnostic basic. Certaines toxicités sont parfois dues à des infections virales, bactériennes, à candidas ou à des infections causées par des parasites. Dans le cas des candidas, nous utiliserons l’ampoule de candidas 3AG, qui nous indiquera la présence de la toxine au niveau systémique, c’est-à-dire, dans l’ensemble du corps.

Dans tous les cas, il faudra agir avec des substances drainantes, beaucoup de liquides et une alimentation appropriée:

  • Tout d’abord, nous éviterons les substances qui sont généralement toxiques mais socialement acceptables, telles que l’alcool, le tabac, le café.
  • Nous éviterons également les substances allergènes telles que le lait, le sucre et les farines raffinées. Nous remplacerons le lait par du lait de riz, du lait d’avoine ou du lait d’amandes, entre autres.
  • Comme nous l’avons déjà mentionné, nous éviterons notamment les graisses animales et les excès en protéines, en conservant au moins un des trois repas quotidiens sans protéine. Si possible, nous consommerons de l’huile de première pression à froid, telle que l’huile d’olive et de graines, notamment de lin, en évitant les aliments frits puisqu’ils oxydent leurs composants et produisent encore plus de toxines.
  • De même, nous garderons une alimentation dépurative à base d’antioxydants qui neutralisent les radicaux libres et qui entraînent les toxines, étant donné qu’ils sont naturels, frais, sans produit chimique, ni procédé artificiel : des fruits, des légumes, en particulier le cresson, la pomme, le jus de citron, le céleri, les oignons, etc.
  • Nous consommerons également des enzymes, étant donné qu’elles dissolvent les complexes immuns et qu’elles ont une influence sur les maladies dégénératives telles que l’arthrite rhumatismale, en dissolvant les produits de l’inflammation et en les transportant à l’extérieur. Ainsi, ils ne parviendront pas à l’intestin sous la forme de grosses molécules. Elles facilitent la digestion des protéines en dissolvant les œdèmes et en inhibant la thrombose, en facilitant ainsi le transport et l’élimination des substances. Les plus connues sont la broméline de l’ananas et la papaïne de la papaye.
  • Enfin, nous utiliserons des drainants du foie (chardon-Marie, pissenlit, desmodium…), des drainants rénaux (solidago, berberis, uva ursi, genévrier…) ou des drainants de la vésicule (boldo, gentiane, chelidonium…) et du système lymphatique, tels que le drainant homéopathique Lymphomyosot de Heel.
  • Nous augmenterons également l’apport en eau de bonne qualité, de l’ordre de 2 à 3 litres par jour. Elle pourra être consommée sous forme d’infusion, mais pas combinée à des substances telles que la caféine ou la théine.
  • Oxygénation adéquate, le sport doux et plein air, ils aident également.

 

Ángel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

 

 

Un concept de santé plus global

Nous avons l’habitude de lire des articles médicaux ou de santé dans lesquels un lien clair et direct entre un problème et une cause ou un facteur qui influe indéniablement sur sa manifestation est mis en évidence. Par exemple, j’ai lu récemment que le stress favorise les inflammations, ce qui pourrait avoir des répercussions évidentes sur certaines maladies.

Bien que cela arrive très souvent, ça ne démontre pas que tel est le cas. Je m’explique. Dans le cas cité précédemment, le mode de vie plus que le stress peut être le déclencheur de l’inflammation.

Dans le même esprit, Sheldon Cohen, professeur de psychologie à l’Université Carnegie Mellon de Pittsburgh, attribue ces maux non seulement au stress, mais également à tout ce que le mode de vie d’une personne soumise au stress suppose. En statistique, c’est ce qu’on appelle la corrélation. En effet, dans la plupart des cas, le stress est lié à une mauvaise alimentation et à de mauvaises habitudes comme l’alcool, le tabac, la prise de stimulants et de psychotropes pour la détente ou le manque d’exercice physique, entre autres.

Le fait que les nutritionnistes et les thérapeutes, en général, ne tiennent pas compte de la mauvaise alimentation, ne concerne pas uniquement ses composants. Typiquement, nous entendons parler de mauvaise combinaison d’aliments, du manque de fibres, de l’excès de sucre, d’alcool, de café et de farine raffinée, de l’excès de protéine et de graisse animale, du manque de consommation d’aliments d’origine végétale, d’eau, etc.

Tout cela est très juste, mais peu de nutritionnistes et de naturopathes parlent du danger de certains modes de cuisson ou du danger de la température excessive lors de la préparation des aliments. Les amines hétérocycliques (AHC) et les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) sont des produits chimiques qui se forment lors de la cuisson de la viande. La cuisson excessive des aliments provoquée par le manque d’enzymes et donnant lieu à des aliments sans « énergie », ou une mauvaise mastication, sont exacerbés par le stress dont nous venons de parler. Nous devons donc avoir une vision plus large et plus globale du problème.

Par exemple, nous savonsque les émotions négatives favorisent l’apparition de certaines maladies, ce qui rend le système immunitaire plus vulnérable. Au contraire, les émotions positives sont bénéfiques pour notre santé, elles nous aident à supporter la maladie.La bonne santé est un processus complexe, basé sur un équilibre psycho-émotionnel parfait, auquel de nombreux facteurs participent et qui la plupart du temps n’est pas pris en compte dans toute son ampleur.

Un mode de vie « malsain » a de nombreux visages. Nous devons comprendre que lorsque nous entrons dans une mauvaise dynamique, nous négligeons notre santé spirituelle, mentale et évidement physique. En effet, tout est lié, et le fait est que la médecine traditionnelle n’a pas encore appris à le considérer. Ne tombons pas dans la même erreur.

Nous ne devrions donc pas nous étonner qu’à la suite du stress, nous ayons de plus grandes probabilités de développer des maladies inflammatoires, du diabète, un cancer, etc. Ceci est la conséquence de ne pas accorder la priorité méritée à ce qui compte vraiment dans la vie.Regardons donc la santé d’une approche plus globale et holistique. Considérons toutes les dimensions qui nous affectent et nous aurons tous les facteurs.

Ángel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma

Méridiens d’acupuncture en kinésiologie

De nombreux physiothérapeutes utilisent le test des méridiens d’acupuncture ou le test des sept chakras en tant que point d’accès au patient. Le corps humain fonctionne grâce à des énergies appelées yin et yang et les organes communiquent entre eux à travers des canaux énergétiques appelés méridiens.

De nombreux thérapeutes sont convaincus que ce qui est énergétique influe sur tout le reste. Donc, si des blocages sont localisés dans les canaux énergétiques de notre corps (méridiens) ou dans les centres ou les vortex appelés chakras qui échangent et régulent notre énergie avec l’extérieur, et qu’ils sont éliminés, alors de nombreux troubles pourront être surmontés.

Chaque méridien a un trajet très précis dans le corps qui se divise en deux : La voie interne et la voie externe.

  • La voie interne, dont l’origine se situe dans un organe, s’étend à l’intérieur du corps et se connecte à la voie externe au niveau du point d’acupuncture.
  • La voie externe, qui prend fin au niveau du terminal du point d’acupuncture, est connectée à une autre voie interne. Elle la ramène à l’organe d’origine ce qui convertit l’ensemble du trajet ou du méridien en un circuit fermé.

Chaque méridien est généralement nommé conformément à l’organe d’origine ou à la fonction. Les 15 méridiens principaux sont:

  • l’intestin grêle, le cœur, la rate, le pancréas, le foie, l’estomac, le gros intestin, le poumon, la vésicule biliaire, le triple réchauffeur, le péricarde, le rein, la vessie.
  • En ce qui concerne les deux méridiens situés sur la ligne médiane, le postérieur est appelé méridien gouverneur et l’antérieur méridien directeur.
  • Le dénommé méridien central ou Chong Mai est celui qui passe par le centre du corps. Son origine se situe dans le périnée, puis il passe par le nombril et se dirige jusqu’au cœur. Une de ses branches monte par le dos et sert de réservoir aux différents méridiens. L’autre branche monte par devant jusqu’au larynx et finit autour de la bouche.

Test des méridiens

Le test des méridiens d’acupuncture est le test approprié lorsqu’il existe déjà un trouble organique principalement causé par un blocage ou un mauvais fonctionnement des méridiens. Le test des chakras est utilisé lorsque le trouble est purement énergétique. Dans certains cas, les deux tests peuvent être utilisés. Comme nous l’avons déjà vu dans l’un de nos articles du 22 mai dernier « Les chakras en kinésiologie« .

Ainsi, lorsqu’un AR (Arm Reflex) est chimique, l’ampoule du méridien qui supprimera cet Arm Réflex indiquera quel genre de troubles présente le patient et quel organe ou système ils affectent. Comme chacun sait, chaque méridien d’acupuncture est associé à un certain nombre d’organes et de systèmes, c’est pourquoi un Arm Réflex chimique peut être résolu grâce à la consultation de méridiens, par exemple :

  • Le méridien du poumon (P) : Les spécialistes en médecine chinoise et les acupuncteurs utilisent ce méridien lorsque le patient présente des symptômes tels que des troubles respiratoires (asthme, bronchite chronique, perte de la voix), ou des troubles gastriques (diarrhée ou indigestion, entre autres).
  • Le Méridien du cœur (C) : C’est un excellent point à traiter chez les personnes qui présentent des troubles cardiaques de toutes sortes (infarctus, arythmies, tachycardie entre autres) ainsi que des troubles de la parole.

Chaque ampoule indiquera donc la marche à suivre avec le traitement du patient et quels organes ou systèmes il faudra traiter.

Mais s’il existe un Arm Réflex énergétique, il indiquera également la nécessité d’un traitement énergétique, étant donné que l’énergie vitale circule par les méridiens, de telle sorte que l’homme se connecte et communique avec le cosmos. Chaque méridien possède un emplacement concret plein d’énergie, auquel on peut accéder depuis l’extérieur. Ces emplacements, appelés points d’acupuncture, sont multiples. Chaque point a une fonction concrète qui fournit de l’énergie au corps. Donc, une fois que le méridien affecté est localisé,  l’acupuncture, l’acupuncture auriculaire, la gemmothérapie, etc. pourront être utilisées.

Angel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

 

Les changements dans le système nerveux dus au vieillissement

Le rôle du système nerveux central (SNC) en tant que régulateur et intégrateur de l’activité de l’organisme et de ses changements avec l’âge sera déterminant dans le processus de vieillissement de la personne. Mis à part les changements morphologiques logiques qui se produisent, on observe une diminution du volume et du poids du cerveau jusqu’à 15% chez les personnes âgées de 80 à 90 ans ainsi qu’une détérioration des processus biochimiques et cellulaires. De nos jours, on parle plus de changements que de pertes cellulaires.

Chez les personnes âgées en bonne santé, les pertes neuronales sont plutôt minimes au niveau du néocortex et de l’hippocampe. En revanche, chez les patients atteints d’Alzheimer, on observe effectivement des pertes importantes. Par ailleurs, les processus de neuroplasticité, pour lesquels il existe un développement de structures et de fonctions nouvelles en fonction de l’établissement de nouvelles connexions synaptiques, ont presque disparu chez les patients présentant de tels problèmes.

Problèmes dégénératifs

Ils sont étroitement liés à l’évolution des systèmes de neurotransmission. Le stress oxydatif joue un rôle clé. Sa cause principale est la production de radicaux libres avec le vieillissement. Des dommages sont alors causés à l’ADN, aux protéines et au matériel lipidique du cerveau, en augmentant leurs niveaux de peroxydation. En fin de compte, les cellules nerveuses subissent des dommages irréversibles.

Ces processus qui ont un effet néfaste sur le SNC sont attribuables à des taux de radicaux libres plus élevés. Ils sont principalement observés chez les patients atteints d’Alzheimer et d’autres maladies du système nerveux.

Test et traitement

Pour le test, nous pourrons utiliser un kit de maladies du cerveau et du système nerveux, en particulier des ampoules comme celle d’Alzheimer qui mettent en évidence des problèmes dégénératifs affectant la mémoire et la coordination de la personne. Cependant, il faudrait réaliser un diagnostic précoce, en effectuant une thérapie préventive et en vérifiant quels niveaux de radicaux libres se produisent chez l’individu ainsi que le manque de vitamines, de minéraux, d’antioxydants, etc.

Il y a un certain nombre de conseils qui peuvent être donnés pour éviter ces problèmes. L’un des plus importants est l’alimentation, comme nous l’avons déjà vu dans l’un de nos articles du 18 septembre dernier, «La détoxification cellulaire du Dr. Shinya». L’excès de protéines laisse des résidus protéiques dans les cellules et serait étroitement lié à des maladies telles qu’Alzheimer, Parkinson, etc. Il est donc nécessaire de contrôler les excès en protéines ainsi que ceux en graisses animales saturées.

En outre, les régimes riches en «enzymes», c’est à dire les aliments «vivants» tels que les salades ou les fruits ayant des pouvoirs antioxydants importants, auraient une influence considérable.

Les suppléments tels que la vitamine B12, l’acide folique et la niacine sont très importants pour le système nerveux des personnes âgées. Ils améliorent la mémoire et la coordination. Il conviendrait d’ajouter des suppléments d’acides gras essentiels comme les omégas 3 et 6.

 

Angel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

 

Blocages émotionnels

Selon Ken Wilber, père de la psychologie transpersonnelle, dans son livre «Aucune Frontière», chaque blocage, chaque tension ou pression dans le corps correspond essentiellement à la retenue musculaire d’une impulsion ou d’un sentiment tabou. Ces blocages, ces « bandes de tension », résultent de la lutte entre deux ensembles de muscles, l’un essayant de déclencher l’impulsion tandis que l’autre essaie de l’inhiber.

Une tension autour des yeux retient sans doute une envie de pleurer. Une tension douloureuse sur les tempes est très probablement due à la répression d’un désir inconscient de crier ou de vociférer, ou même de rire. Une tension au niveau des épaules et de la nuque (courant de nos jours) indique de la colère, de la rage ou une hostilité contenue. Si cela se produit dans le diaphragme, c’est un signe que l’on contient et limite chroniquement le souffle, en veillant à contrôler des émotions rebelles. La tension dans le bas du bassin ou dans le bas ventre signifie que l’on a cessé tout contact conscient avec sa sexualité, ce qui rend cette zone rigide et tendue afin d’éviter que la force vitale du souffle et l’énergie circulent à travers elle. La personne déconnectera également avec toute sensation au niveau des jambes.

Pour comprendre la signification du blocage, il faut observer dans quelle partie du corps il se produit. Cette partie du corps est celle où nous supposons que l’émotion correspondante est refoulée et contenue (Alexander Lowen et Stanley Keleman).

Il est probable que le blocage soit établi depuis plus de 15 ans, nous ne devons donc pas nous attendre à ce qu’il se dissolve en une quinzaine de minutes. Il est donc nécessaire de le localiser pour le dissoudre ensuite.

Lorsque l’on étudie ces blocages, nous nous rendons compte qu’ils sont en réalité tous musculaires, c’est à dire des muscles squelettiques, et qu’ils sont sous contrôle volontaire. En réalité, cela signifie que nous en sommes les responsables, même s’il est difficile de l’accepter, et même si nous ne sommes pas vraiment conscients du fait que nous les créons nous-mêmes. Je ne peux donc pas les défaire par leur simple détente, je dois travailler un peu plus en profondeur.

Test et thérapie

En ce qui concerne le test, nous pouvons utiliser l’ampoule du blocage émotionnel, d’un kit d’émotions, bien qu’en tant que kinésiologues nous ressentirons par notre seule intuition que certaines zones du corps présentent ces problèmes.

La première chose sera donc de les localiser, d’en prendre conscience, puis d’observer et de vérifier de quelle manière je les produis en réalité moi-même. A ce stade, lorsque l’on constate qu’on les produit soi-même, alors, et seulement alors, ils cessent.

Au moment où nous sommes conscients du blocage et des muscles impliqués, nous ferons en sorte que notre patient les contracte et les tende, mais consciemment : en d’autres termes, il commencera à se rappeler comment il se sentait en tendant cette zone. La pleine sensation de cette connaissance libérera l’énergie de la lutte musculaire qui doit l’être. Cette énergie sera acquise en faveur de la personne.

Mais nous devons nous rappeler que ces blocages ont une fonction importante : ils refoulaient des sentiments et des émotions qui étaient tabous, même dangereux ou inacceptables pour la personne. Pour dissoudre ces blocages de façon permanente, il faudra alors s’ouvrir définitivement à ces émotions réprimées. C’est une autre question que nous devrons travailler avec d’autres méthodes.

Nous aurons ainsi des indices très importants concernant le type d’émotions qui produisent ces blocages, en identifiant les parties du corps affectées et le type d’actions qu’ils restreignaient. Leur libération est généralement exprimée comme un déclencheur d’énergie émotionnelle, avec une crise de larmes, de cris, de colère, etc., et en général, avec la satisfaction d’avoir surmonté une peur.

 

Angel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma S.L.

Pages :«1...2324252627282930»
  • Espagnol
  • Français
  • Italien
  • Portugais - du Portugal

Recent Comments