La médecine vibratoire, qu’est-ce que c’est ?

La médecine vibratoire, également connue sous le nom de médecine énergétique, est le traitement de soins de santé de la « nouvelle ère ». Les scientifiques comblent le fossé entre la médecine occidentale traditionnelle et les thérapies complémentaires, afin de nous aider à comprendre les différences qui les séparent ainsi que la façon dont les thérapeutes peuvent travailler avec ces deux médecines afin de créer un traitement complet de la santé de leurs clients, du corps, de l’âme et de l’esprit.

La médecine vibratoire, qu’est-ce que c’est ?

Son approche du diagnostic et du traitement de la maladie est fondée sur l’idée que nous sommes tous des systèmes énergétiques uniques. Ainsi, il est possible de diagnostiquer différents types de maladies en fonction de la connaissance des différentes fréquences d’énergie produites par le corps humain et pouvant être mesurées.

Il existe de nombreux exemples de vibration d’énergie, et notamment : le son, la lumière, les ondes radio, les rayons X et les micro-ondes. La médecine vibratoire prend en compte toutes les formes d’énergie vibratoire qui participent à la modification du système énergétique humain. Du point de vue de la physique quantique, les molécules biochimiques qui composent le corps physique sont également une forme d’énergie vibratoire.

Albert Einstein est celui qui a découvert que la matière et l’énergie sont deux formes différentes de la même chose. Les cellules contiennent des molécules qui se composent d’éléments plus petits connus sous le nom d’atomes. La théorie d’Einstein a été testée et éprouvée à l’échelle de l’atome. Ainsi, à l’échelle de l’atome, le corps humain est, pour ainsi dire, composé de différents types d’énergie vibratoire.

Le modèle de vibration

Nos cellules et nos organes sont supportés par un certain nombre de systèmes de distribution d’énergie spécialisés, alimentés par des nutriments, de l’oxygène, ainsi que par un flux d’énergie vitale. Cela a été reconnu depuis longtemps par la médecine orientale. Bien connue comme le qi ou prana, cette énergie peut être améliorée ou inhibée par différents facteurs.

En médecine vibratoire, nos émotions, nos comportements, notre relation aux autres et notre conscience font partie des facteurs reconnus comme étant responsables du flux d’énergie vitale. Dans ce modèle, nos émotions ne se réfèrent pas uniquement aux réactions neurochimiques qui se produisent dans le système limbique du cerveau, mais elles sont également influencées par un champ d’énergie spirituelle supérieur. Nos réactions face aux événements de la vie sont non seulement enregistrées dans notre mémoire, mais influencent également les sept principaux centres d’énergie vitale du corps (chakras) et sont responsables de nos comportements, de nos attitudes, de nos pensées et de nos croyances, ainsi que des troubles physiologiques associés au système nerveux.

Un autre aspect du modèle vibratoire de guérison est la reconnaissance de l’importance du rôle de l’énergie spirituelle. Le spirituel peut être vu comme une force de motivation qui améliore le corps physique.

C’est le corps physique qui permet à l’esprit qui y habite d’interagir avec les autres personnes et d’établir des relations, ainsi que d’apprendre et de créer. Ce sont ces expériences et leur impact sur l’énergie vitale qui sont la principale source de guérison vibratoire. Les deux principaux systèmes d’énergie étudiés sont le système des méridiens et le système des chakras.

Techniques de guérison vibratoire

Il existe un nombre croissant de thérapies travaillant dans le système de vibration du corps : l’acupuncture / l’acupression, les remèdes homéopathiques, les essences de fleurs, le son, la couleur, la guérison avec des cristaux et le Reiki (mains guérisseuses), pour n’en citer que quelques-uns.

En raison de l’origine des blocages d’énergie (via les réactions aux expériences de la vie), le traitement est généralement propre à chaque individu. Les thérapeutes qui pratiquent de cette façon doivent être considérés comme des facilitateurs du processus de guérison. En effet, leur travail vise à aider les patients à comprendre et à créer les changements dont ils ont besoin dans leur propre vie.

Prendre soin de son corps vibratoire

Au regard de la médecine vibratoire, le point clé est l’accent mis sur la spiritualité, les émotions, les attitudes, les comportements et les croyances. Des étapes peuvent être franchies afin d’améliorer les fréquences de vibration du corps lui-même, un simple changement de comportement, tel qu’une pratique plus accrue du sport, une meilleure alimentation ou le fait de prendre le temps d’étudier ses objectifs et son rôle dans la vie, peut déclencher un changement dans son système énergétique, qui permettra d’améliorer le flux de force vitale, avec une traduction physique immédiate.

Examiner les domaines de notre vie où nous nous sentons bloqués, en fixant des objectifs, et surtout, en prenant des mesures permettant de créer un changement dans sa vie. Nous noterons nos sentiments au fur et à mesure que nous progressons vers notre objectif. Nous enregistrerons tout changement dans notre corps physique, ce qui nous permettra de ressentir le pouvoir que nous avons sur notre propre vie et santé.

 

Angel Salazar (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

Cosmopathies

Dans le domaine de la kinésiologie énergétique, nous sommes susceptibles de nous trouver face à un problème de cosmopathie ou de pathologie cosmobiologique.

Les cosmopathies se produisent lorsque nous ne sommes pas correctement alignés avec l’univers, pouvant engendrer des modifications dans différentes zones du corps, connues sous le nom de climats corporels. Il existe 12 climats ou divisions associés aux douze signes du zodiaque. Le ciel régit les énergies yan et la terre les yin.

Les géopathies sont des énergies telluriques nocives. Outre les cours d’eau souterrains, les dépôts de sels ou de minéraux, il existe sur terre un réseau connu sous le nom de curry ainsi que des lignes qui se croisent connues sous le nom de Hatmann. Il y a également des points cancer (lieux de la croûte terrestre où deux causes ou plus de géopathies se croisent, produisant en ce point une forte concentration d’émissions énergétiques). Tout ceci peut nous affecter en fonction de notre état et de l’exposition. Cette situation s’aggrave en présence de cosmopathie, d’où son importance.

Mudra : le majeur tendu et les autres doigts au-dessus du pouce.

Tests : en position du mudra, si je change l’indicateur, alors une cosmopathie existe. Nous fixons et nous recherchons lequel des 12 climats corporels elle affecte.

CLIMAT ZONE RÉGENCE
CANCER ABDOMINALE SUPÉRIEURE Seins, lait maternel, poitrine, côtes, diaphragme, estomac, foie, système digestif, sucs gastriques et salive.
CAPRICORNE GENOUX Squelette, cheveux, ongles, peau, dents, articulations et partie supérieure du visage.
POISSON PIEDS Glandes, ganglions lymphatiques, muqueuses, intestins et liquide pleural séreux.
GÉMEAUX DOS Clavicules, omoplates, bras, mains, système nerveux périphérique, appareil respiratoire, poitrine et côtes.
BÉLIER TÊTE Os du crâne et du visage, dents, maxillaire, cerveau, motricité et yeux.
VIERGE ABDOMINALE INFÉRIEURE Ventre, abdomen, intestins, absorption et assimilation d’aliments, appendice, vésicule, matrice et système nerveux central (SNC).
LION THORAX Cœur, artères coronaires, rachis et moelle épinière.
VERSEAU JAMBES Circulation sanguine, système nerveux autonome, colonne vertébrale et moelle épinière.
BALANCE LOMBOSACRÉEBASSIN Système circulatoire (veines), reins, glandes surrénales, gonades, lombaire et système vasomoteur.
TAUREAU COU CERVICALE Cerveau, palais, mandibule, oreille, langue, goût, amygdales, thymus, thyroïde et gorge.
SAGITTAIRE CUISSES Voies respiratoires, hanche, sacrum, coccyx, iliaque, système artériel et système vasomoteur.
SCORPION VOIES EXCRÉTRICES Gonades (menstruation), nez et globules blancs.

Traitement : chaque climat correspond à l’un des sels biochimiques de Schüssler, si nous connaissons le climat touché, il faut alors traiter avec son sel correspondant, seul le dosage restant à tester :

  • CANCER : sel nº 1, méridien du triple réchauffeur
  • CAPRICORNE : sel nº 2, méridien de la vésicule biliaire
  • POISSON : sel nº 3, méridien du rein
  • GÉMEAUX : sel nº 4, méridien de la rate / du pancréas
  • BÉLIER : sel nº 5, méridien de l’intestin grêle
  • VIERGE : sel nº 6, méridien du foie
  • LION : sel nº 7, méridien de la vessie
  • VERSEAU : sel nº 8, méridien du gros intestin
  • BALANCE : sel nº 9, méridien du maître cœur
  • TAUREAU : sel nº 10, méridien du cœur
  • SAGITTAIRE : sel nº 11, méridien du poumon
  • SCORPION : sel nº 12, méridien de l’estomac.

Le sel de Schüssler qui corrige la cosmopathie m’indiquera donc quel CLIMAT était touché, en plus de l’équilibrer, en utilisant à cette fin un kit de sels de Schüssler.

 

Angel Salazar (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

 

La purification

Le drainage des tissus, ou cure de purification, favorise la détoxification de l’organisme des toxines accumulées dans le sang, ce qui contribue à la stimulation et à l’amélioration des fonctions physiologiques des organes émonctoires, purifiant ainsi le sang de façon biologique. S’il est correctement effectué, il garantit la récupération et la préservation de la santé, sans perturber l’équilibre de notre organisme.

Le mot drainage vient de drainer qui signifie purger, évacuer, en d’autres termes, nettoyer, un besoin physiologique essentiel afin de réguler l’homéostasie et de prévenir et de préserver la santé. Ce concept est fréquemment utilisé par les naturopathes et les kinésiologues en tant que phase initiale d’un traitement permettant de réguler une fonction organique, mais il est sous-estimé et peu utilisé par les autres professionnels de la santé.

Sans une bonne élimination organique de nos déchets tissulaires, nous ne serions pas en bonne santé. En effet, toutes les toxines et les impuretés stagneraient dans notre propre organisme.
Nous pouvons distinguer deux types de toxines :

  • Les toxines endogènes : ces substances sont produites par notre corps à travers son métabolisme ou son propre mécanisme de défense et / ou de purification interne, comme dans le cas d’infections et de toutes sortes de maladies.
  • Les toxines exogènes : ces substances sont de source externe et pénètrent dans l’organisme par les voies respiratoires, la voie digestive à travers l’alimentation et la voie tégumentaire (peau et muqueuses).

En tant que base du traitement biologique de fond, nous devons effectuer un drainage – une purification de l’organisme et du sang, respectivement, pour une meilleure efficacité des processus de guérison et de normalisation du corps.

Au début de tout traitement thérapeutique. Dans les cas chroniques, il est essentiel, le corps étant totalement bloqué par épuisement de ses systèmes d’élimination ou des voies de drainage.

En phase aiguë, tel qu’observé dans la nature, lorsque les animaux sont victimes d’une maladie, leur premier réflexe est d’arrêter de manger et de boire uniquement de l’eau pure, laissant le processus de jeûne lui-même ainsi que les propres mécanismes de régulation interne rééquilibrer l’homéostasie.

Voie de drainage organique

  • Gros intestin : nettoyage du côlon
  • Digestive : hygiène gastro-intestinale
  • Urinaire ou rénale : drainage rénal
  • Respiratoire : drainage broncho-pulmonaire
  • Tégumentaire ou cutanée : drainage hépatorénal.

Au niveau de la voie digestive-intestinale, nous devons dans un premier temps conserver un estomac propre et fort, et présentant le juste degré d’acidité et d’équilibre. Nous devons ensuite conserver le côlon – gros intestin en parfaites conditions d’équilibre afin que notre microflore bactérienne exerce correctement ses rôles et que le côlon puisse conserver son équilibre et éliminer parfaitement les déchets.

Au niveau de la voie urinaire, nous devons conserver les reins en bonne santé grâce à une bonne diurèse à base d’eau pure et naturelle.

Au niveau de la voie respiratoire, nous devons nous tourner du côté de nos poumons et respirer de l’air pur qui oxygène nos cellules. En outre, il est fondamental de pratiquer quotidiennement des exercices de respiration profonde.

La voie tégumentaire est le reflet des voies précédentes. Si ces dernières fonctionnent correctement, son rôle sera celui de protection et d’élimination. En outre, elles seront toutes renforcées par le jeûne partiel et total.

Pour atteindre cet objectif, il est fondamental de mener à bien six étapes :

  • Repos alimentaire : jeûne, régime de purification.
  • Relaxation psycho-émotionnelle : pratiquer le yoga, se promener dans des espaces verts, libres de bruit ou de pollution.
  • Respirations profondes : exercices dans des zones où l’air est pur.
  • Purification hépatique : des plantes telles que le pissenlit, le boldo, l’artichaut, les nutriments et les sels de Shüssler (9,10 et 11).
  • Drainage rénal : des plantes diurétiques telles que la prêle, la busserole, le genévrier et les sels de Schüssler (9,10 et 11).
  • Nettoyage du colon : hydrothérapie du côlon et supplémentation avec des compléments tels que le Colosan.

Test

Afin de savoir si nous devons effectuer une purification, nous devrons observer l’organisme. En effet, les processus de guérison impliquent souvent le mécanisme de l’organisme lui-même afin de se purifier. Mais nous pouvons comparer l’état du sang et des principaux organes émonctoires tels que le rein, le foie, la peau, les intestins et les poumons. Pour le traitement, nous pouvons également utiliser un kit de phytothérapie et un autre des sels de Schüssler.

Je recommande également la méthodologie d’Hulda Clark afin de nettoyer le sang et les intestins en complément du jeûne partiel.

 

Angel Salazar (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

Santé des os contre alimentation

Étant donné que notre précédent article sur « Les facteurs importants de l’ostéoporose » a provoqué une certaine controverse, nous souhaitions en profiter pour faire un certain nombre de précisions et parler au passage de la santé des os en rapport à l’alimentation.

L’explication conventionnelle de la baisse de la densité osseuse qui se produit principalement chez les femmes, est qu’une fois que les menstruations ont cessé, elles produisent très peu d’œstrogènes, ce qui contribue à maintenir le calcium dans les os, c’est pour cette raison qu’il est souvent recommandé aux femmes de suivre une thérapie de réimplantation hormonale. Mais nous pensons que ceci est loin de la vérité, voici deux arguments :

  • L’analyse des restes osseux de nos ancêtres démontre qu’en général, les femmes ménopausées ne souffraient pas de réduction de la densité osseuse. Il s’agit donc d’un phénomène plus récent qui se produit en particulier dans la société occidentale.
  • L’œstrogène, qui stimule les ostéoclastes ne contribue pas à créer de nouveaux os mais ralentit seulement la perte de vieux os. La progestérone stimule par ailleurs les ostéoblastes qui produisent de nouveaux os. Prendre de la progestérone naturelle augmente la densité osseuse quatre fois plus que l’œstrogène.

Mais on commence à comprendre que ce n’est pas le manque d’œstrogène, mais l’excès relatif d’œstrogènes par rapport à la progestérone qui précipite l’ostéoporose, parce que lorsqu’il n’y a plus d’ovulation, la progestérone n’est pas produite.

Cependant, les changements hormonaux ne sont pas les seuls facteurs importants, car les habitudes alimentaires sont étroitement liées à un risque accru d’ostéoporose et leur importance est peut être plus grande compte tenu des effets d’une mauvaise alimentation qui s’accumulent tout au long de la vie.

Bien que les personnes ayant des niveaux de calcium bas puissent tirer un bénéfice en augmentant leur consommation, il n’y a pas d’association directe entre l’ostéoporose et les niveaux de calcium. Les tribus bantoues en Afrique par exemple consomment en moyenne 400 mg de calcium par jour, bien en dessous des niveaux recommandés aux femmes ménopausées. Elles ne souffrent pourtant pas de cette maladie. Inversement, les Esquimaux qui consomment de grandes quantités de calcium présentent des taux exceptionnellement élevés d’ostéoporose. Pourquoi cette différence ? La réponse peut être dans la consommation excessive de protéines. Article du blog Kinepharma « L’épaississement du sang » du 23 juillet, 2014

Nous avons parlé de nombreuses fois du fait que les protéines sont formatrices d’acides et que le changement qu’elles produisent dans le PH du sang doit être neutralisé principalement par deux agents alcalins qui sont le sodium et le calcium. Cela signifie purement et simplement que plus l’on consomme de protéines ou d’aliments acidifiants, plus le calcium sera nécessaire.

Ceci a été démontré, une alimentation trop riche en protéines conduit à une carence en calcium, mais de plus, avec un régime riche en protéines, aucune quantité de calcium ne corrigera le déséquilibre.

Des recherches publiées dans le Journal of Clinical  Nutrition américain ont démontré dans une étude avec des niveaux de consommation quotidienne de protéines de 80 g et 240 g par jour que la perte totale de calcium était bien plus élevée dans le groupe qui suivait un régime alimentaire riche en protéines avec 137 mg contre 37 mg de perte de calcium pour le groupe suivant un régime faible en protéines. Il a également été conclu que les régimes riches en calcium ne sont probablement pas en mesure d’empêcher une perte osseuse induite par des régimes acidifiants.

Dans une autre étude, une consommation de 95 g de protéines par jour a produit une perte moyenne de 58 mg de calcium ce qui signifie une perte de 2 % du total de calcium osseux par an, ou 20 % par décennie. Les effets négatifs d’un excès de protéines ont été clairement démontrés chez les patients atteints d’ostéoporose. Un grand nombre de chercheurs en médecine pensent dorénavant qu’une alimentation riche en protéines ou en aliments acidifiants qui produisent des acides pendant toute une vie peut être la principale cause de l’ostéoporose.

 

Ángel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

L’obésité en kinésiologie

L’obésité est un symptôme qui résulte d’une absorption corporelle excessive, entraînant un stockage de graisses et de protéines plus important que ce dont notre corps a réellement besoin pour survivre en bonne santé. Ceci peut conduire à de nombreux problèmes de santé, et notamment au diabète de type 2.

L’obésité peut être due :

  • À un excès de nourriture et / ou à un excès de « mauvaises » choses, à un excès de sel, de graisse et de sucre, et à un déficit de « bonnes » choses telles que les légumes, les fruits et les fibres.
  • La vie sédentaire
  • La toxicité cellulaire est principalement due à l’alimentation, de sorte que le corps enveloppe la toxine dans de la graisse et la stocke loin des zones où elle pourrait être nocive.
  • Les troubles émotionnels nous font nous « retenir » et nous protéger par le biais de « l’accumulation ». L’excès de poids représente le besoin de protection. Nous cherchons à nous protéger des blessures, des attaques, des critiques, des abus, etc. L’obésité reflète notre peur de la vie.
  • Stress

Beaucoup de ces causes peuvent être résolues simplement, en éduquant les personnes, non seulement sur quoi manger (et boire), mais également en les rendant conscientes du fait que tout conflit qui passe par l’esprit peut conduire la personne à manger de cette façon. Mais elle peut également être due à :

  • Un simple comportement
  • L’ignorance de ce qui est consommé
  • Un conflit fondamental ou un attachement émotionnel, par exemple, la pensée consciente « Je veux perdre du poids », la pensée inconsciente « Si je perds du poids, je vais avoir besoin de nouveaux vêtements et je ne peux pas me le permettre ».
  • Un traumatisme passé concernant l’image et l’estime de soi.

La kinésiologie peut aider dans ce processus. En effet, grâce à l’observation de la réponse musculaire à des tests simples, il est possible de voir où se situe le déséquilibre dans le corps et si un conflit se produit. En présence de substances toxiques, de métaux lourds, de stress émotionnel, ou de causes structurelles ou énergétiques qui affectent le circuit, le test musculaire d’AR (Arm Reflex) nous le dira, indiquant un déséquilibre.

Une fois le déséquilibre trouvé, il nous indiquera quels facteurs sont responsables et ce qui contribuera à leur rééquilibre.

Les causes sont multiples : un aliment particulier qui provoque une intolérance alimentaire, des troubles structurels ou des causes énergétiques, nous étudierons tout cela, se rapprochant de plus en plus du problème.

Une approche kinésiologique du contrôle du poids implique d’abord un historique clinique complet du patient, y compris les détails de son comportement alimentaire. Le premier rendez-vous permet d’équilibrer la personne dans le domaine prioritaire touché. Une fois que le corps est en équilibre, la kinésiologie peut montrer au patient l’effet de la consommation de certains aliments, afin de les supprimer à temps.

Si le problème prioritaire se situe au niveau chimique, il se peut que des compléments alimentaires qui aideront à résoudre ce problème rapidement soient administrés : le chrome, la racine de réglisse (bon complément pour aider à réguler la glycémie), ou encore, par exemple, le complexe B et la vitamine C, qui sont d’excellents compléments afin d’équilibrer l’excès de poids causé par le stress surrénale, les enzymes digestives qui aident le corps à absorber les nutriments et à décomposer les aliments pour en tirer de l’énergie, ou les oligoéléments tels que le chrome, le potassium, le zinc-cuivre ou le lithium, parmi d’autres, qui peuvent aider à améliorer ce problème.

Si le problème de poids est dû à du stress émotionnel, les fleurs de Bach peuvent énormément aider : si les patients ont peur de perdre le contrôle (cherry plum), s’ils se sentent coupables pour une raison quelconque (pine), ou s’ils répètent sans cesse les mêmes modèles négatifs (Chestnut bud).

Toutes les informations peuvent être tirées du kit du test musculaire associé à un kit de travail adéquat, tel qu’un kit de fleurs de Bach dans le cas où le problème ait une cause émotionnelle.

 

Ángel Salazar (angelsalamag@gmail.com).

Kinepharma.

 

Consommation de protéines et maladies cardiovasculaires

Contrairement à la théorie classique qui prétend que les calories non-ingérées sont uniquement stockées sous forme de graisse, qu’il s’agisse de glucides, de graisses ou de protéines, l’excès de protéines et leur accumulation sont en réalité le principal facteur d’inflammation et de maladies cardiovasculaires. Lorsque cela se produit, l’organisme dérive les protéines non-assimilées vers les membranes basales des parois des capillaires et vers les tissus conjonctifs qui entourent la cellule.

Il en résulte un épaississement des parois des vaisseaux sanguins, ce qui altère leur fonction de transport d’oxygène, d’eau et de nutriments vers les cellules ainsi que celle d’élimination des déchets du métabolisme cellulaire. Cette question est abordée dans l’article du blog Kinepharma du 23 juillet 2014 « L’épaississement du sang ».

Des analyses de tissu conjonctif de personnes obèses ont démontré que, non seulement elles ont un excès de graisse, mais en outre, elles présentent de grandes quantités de fibres denses de collagène. (C’est pour cette raison que nous parlons toujours de l’énorme erreur que représente la supplémentation en collagène. Au contraire, le silicium serait approprié. En effet, en cas d’excès, il est éliminé par l’urine).

Cette accumulation continue de protéines dans les vaisseaux finit par les endommager et par provoquer la réponse défensive associée : l’inflammation. Dans une étude novatrice publiée en 2002 dans le New England Journal of Medicine, des médecins de Brigham et de Boston ont démontré qu’un simple test sanguin connu sous le nom de Protéine C-réactive, CRP, permet de prédire quels patients sont susceptibles d’être victimes d’une crise cardiaque ou d’un AVC. Mais il faut être prudent lors de l’analyse CRP. En effet, cette protéine peut se multiplier par dix en cas de lutte contre une grippe ou un rhume.

Nous ajouterons que, si, en outre, nous utilisons la variable de l’homocystéine, l’analyse serait beaucoup plus complète. Cette substance favorise la formation de petits caillots qui conduisent à des lésions artérielles. En effet, il s’agit là du résultat du métabolisme normal de l’acide aminé methionine, abondante dans les produits laitiers et la viande rouge. Blog Kinepharma, 11 décembre 2013 « Fiole d’homocystéine ».

Par conséquent, si vous consommez régulièrement des quantités importantes de protéines animales, telles que du porc, du bœuf et du poulet, du poisson, des œufs, du lait, du fromage, etc., la capacité de l’organisme à décomposer et à éliminer en toute sécurité toutes les protéines ou l’homocystéine se trouve de plus en plus affaiblie.

Étant donné que la consommation excessive de protéines épaissie le sang et augmente le risque de formation de caillots, le corps se voit dans l’obligation de stocker les protéines en excès. Si la consommation excessive de protéines animales est maintenue après avoir épuisé la capacité de stockage de ces membranes dans les vaisseaux, le corps commence à les stocker dans les parois artérielles.

C’est alors que les principales artères coronaires deviennent plus épaisses et subissent des lésions, perdant ainsi de leur efficacité. Au fur et à mesure qu’elles se détruisent et qu’elles coupent l’alimentation en oxygène vers le cœur, l’individu respire avec difficulté et peut ressentir des douleurs et des engourdissements dans les membres, une crise cardiaque pouvant alors survenir à tout moment. Ainsi, le stockage des protéines en excès dans le corps est une bombe à retardement qui peut sauter à chaque instant, ce qui se produit lorsque nos habitudes alimentaires suivent cette voie. C’est la raison pour laquelle les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès en Occident.

Pour le test, nous utiliserons les fioles CRP et d’homocystéine, sans oublier que la première, bien que fondamentale dans la détention de futurs troubles cardiovasculaires, doit être utilisée tel qu’indiqué ci-dessus, soit toujours hors période de maladies infectieuses telles que la grippe ou le rhume. Les deux ampoules sont disponibles dans un kit de maladies du système circulatoire.

 

Ángel Salazar (angelsalamag@gmail.com).

Kinepharma.

 

Facteurs importants de l’ostéoporose

Contrairement à ce que fait habituellement le médecin pour freiner la décalcification des os, c’est-à-dire fournir des doses élevées de calcium, ce qui doit être fait est améliorer son assimilation, surtout chez les personnes de plus de 50 ans.

Un excès de nutriments tels que le sodium, le phosphore ou le fluor, la consommation excessive de produits laitiers, de protéines d’origine animale et des sucres, ou la carence de minéraux comme le magnésium, le zinc ou le bore déséquilibrent le corps et empêchent l’accumulation de calcium dans les os.

En plus de la supplémentation excessive de ce minéral, lorsque le corps n’est pas capable de l’assimiler correctement, cela peut avoir des conséquences graves, telles que l’accumulation de calcium dans les artères, les articulations ou les organes comme le rein ou le foie.

Voyons quels sont les principaux facteurs qui déterminent les futurs problèmes d’ostéoporose :

  • Être une femme : les femmes sont statistiquement deux fois plus susceptibles que les hommes de souffrir de fractures dues à l’ostéoporose, car elles ont masse osseuse plus faible et vivent plus longtemps. La baisse rapide des niveaux d’œstrogènes qui se produit pendant la ménopause est aussi très importante, cela influe sur la perte de masse osseuse. Toutes les maladies, troubles ou processus biologiques comme la ménopause qui diminuent les niveaux d’œstrogène.
  • L’alimentation malsaine comme celle contenant un excès de protéines, des aliments raffinés dépourvus d’enzymes vivantes, ceux qui génèrent un excès d’acidité comme les protéines animales, les graisses animales, les aliments frits, le café, l’excès de sel et le sucre blanc, les additifs, le manque d’eau. Cette alimentation provoque une acidité tissulaire ou acidose qui fait que l’organisme utilise les réserves d’éléments minéraux alcalins comme le magnésium, le calcium, etc. en les dérobant aux os et aux articulations.
  • Un manque de vitamine D provoqué par une mauvaise alimentation ou par le manque de soleil, article Kinepharma de janvier 2015 l’article « les bénéfices de la lumière du soleil ».
  • Le mode de vie sédentaire avec un manque d’exercice ou le manque d’oxygène dans les espaces à l’air libre.
  • Être d’origine caucasienne ou asiatique, même si les femmes américaines d’origine africaine et les Hispaniques ont aussi un risque considérable de souffrir de cette maladie.
    Avoir corps petit et mince avec un poids d’environ 50 kilos.
  • Une alimentation faible en sels minéraux et en calcium.
  • L’utilisation de glucocorticoïdes, médicament pour les convulsions comme l’épilepsie, les hormones qui libèrent de la gonadolibérine pour le traitement de l’endométriose, des antiacides contenant de l’aluminium ainsi que certains traitements pour le cancer de la prostate et du sein peuvent entraîner une perte osseuse.
  • L’hyperthyroïdie ou un problème avec la glande parathyroïde.
  • Les médicaments diurétiques ou des plantes médicinales utilisés pour éliminer l’accumulation de liquides dans le corps et qui font que les reins éliminent davantage de calcium et d’autres minéraux.
  • La consommation excessive d’alcool, car cela réduit la formation osseuse et interfère avec les fonctions de l’organisme pour absorber le calcium.
  • Les gens qui passent par des phases de dépression aigüe ont des taux plus élevés de perte osseuse.
  • Le tabagisme, car cela fait baisser les œstrogènes et cela déminéralise.
  • Le manque de testostérone chez les hommes.

Test

Pour faire le test, nous pouvons utiliser plusieurs ampoules dont l’une d’entre elles sera évidemment celle de calcium, nous pouvons également utiliser l’ampoule de glande parathyroïde pour voir si cela fonctionne, car dans le cas contraire, il pourrait y avoir des problèmes dans la bonne régulation de l’absorption du calcium dans le sang.

Cette analyse peut être vue sous plusieurs angles, par exemple, nous pouvons avoir une confirmation très claire du diagnostic, en utilisant des ampoules très différentes, comme celle d’acidité, nous savons que concrètement, un pH acide va impliquer un excès d’acidité dans le sang qui sera compensé par les réserves minérales des os.

Nous pouvons également utiliser l’ampoule d’œstrogènes ou de déséquilibres hormonaux chez les femmes (un manque d’œstrogènes provoquera une réduction de la masse osseuse) et celle de manque de testostérone chez l’homme, aussi de cette façon, nous saurons si le déséquilibre hormonal, qui se produira de façon presque certaine, peut provoquer des problèmes de décalcification des os, nous pourrons trouver bon nombre de ces ampoules dans le Test diagnostic basic élargi.

Une fois confirmée l’existence d’ostéoporose, nous pouvons voir que les os sont les plus touchés et nous pourrons utiliser pour cela un Kit région ilio-lombaire pour voir le coccyx, le sacrum et surveiller le processus.

 

Ángel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

La mémoire des cicatrices anciennes

L’organisme enregistre dans sa mémoire toutes les blessures qu’il a subies depuis un certain temps, qu’elles soient physiques ou psychiques. Ces cicatrices provoquent un stress neuromusculaire et rendent la personne plus vulnérable et sujette à de futures blessures. Nous allons essayer de les éliminer avec une technique qui supprime toute trace de ces anciennes cicatrices.

Lorsqu’un nouveau patient nous consultera, nous lui montrerons une feuille avec un dessin simplifié du corps humain. Il devra y indiquer les blessures, les cicatrices, les interventions chirurgicales, les points de suture, etc., qu’il a subis. En effet, le corps garde ces cicatrices en mémoire. Dès lors qu’il subit une blessure corporelle, le corps a une réaction de fuite et tend à se contracter, ce qui est également enregistré.

Avant de mettre cette technique en pratique, il faut vérifier si les cicatrices sont pathogènes, blog Kinepharma, novembre 2012 « Cicatrices pathogènes ». Dans ce cas, il faudra d’abord soigner la partie physique, puis nous passerons ensuite au traitement psychique de mémorisation de la blessure. Ces mémorisations négatives perturbent en permanence, à plus ou moins grande échelle, le fonctionnement du corps.

Avant le traitement, nous pouvons vérifier l’abduction maximale d’un membre. En effet, avec le traitement, le corps devient plus souple et l’angle d’abduction des membres augmente.

Test

Le patient effectue une extension maximale du cou tout en touchant sa cicatrice et le thérapeute fait le test. Si un AR (Arm Reflex) se produit, alors nous sommes en présence d’une mémoire émotionnelle d’une ancienne cicatrice que nous devons soigner.

Nous fixons l’information de la mémoire du test, et nous recherchons la fleur de Bach qui corrige l’AR. Ce sera celle de l’émotion qu’il a subie à l’époque.

Traitement

Deux gouttes de la fleur de Bach mise en évidence sont administrées au patient, puis il touche sa cicatrice avec une main, tandis que le thérapeute lui fléchit doucement la tête, autant que possible, mais sans trop forcer. Il reste dans cette position pendant quelques secondes, puis revient lentement à la position de départ.

Nous vérifions si le traitement a été efficace. Le patient touche sa cicatrice, met sa tête en extension, puis nous testons à nouveau. Si aucun AR ne se produit, alors le traitement a été efficace (la plus grande partie de la blessure a été supprimée). Si un AR se produit, nous devons refaire le traitement jusqu’à ce qu’il disparaisse.

Nous vérifions ensuite l’abduction maximale du membre et nous remarquerons comment l’angle de séparation a augmenté. Chaque fois qu’une mémoire d’une ancienne blessure est supprimée, le corps devient de plus en plus souple.

Par exemple, si nous parvenons à effectuer cette technique avec succès dans le cas des problèmes de cervicales, qu’ils soient dus à un coup ou à une blessure ancienne, ils peuvent s’améliorer de façon spectaculaire. La mémoire de ces blessures se manifeste uniquement en extension alors que la correction doit être effectuée en flexion.

 

Ángel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

Toxines non-physiques

Le dictionnaire définit le mot « toxine » comme un « poison ». Un « poison » est : « Une substance qui, lorsqu’elle s’introduit dans ou est absorbée par un organisme vivant, détruit la vie ou nuit à la santé ».

Mais qu’entendons-nous par « substance » ? Une substance se réfère généralement à quelque chose qui a une présence physique, tel que le mercure, l’arsenic et le monoxyde de carbone. Nous pouvons connaître ces substances et leur action grâce aux outils offerts par la science. Ces substances sont connues pour provoquer des troubles chez tous les êtres humains. Elles sont, d’une façon ou d’une autre, hostiles à la vie humaine.

Il existe d’autres substances physiques qui agissent en qualité de toxines chez les individus présentant des caractéristiques spécifiques, telles que le gluten chez les personnes atteintes de la maladie cœliaque ou les allergènes chez celles souffrant d’allergies. Ces derniers ne nous atteignent pas tous de la même façon, mais chez une personne donnée, ils peuvent agir en la tuant ou en nuisant à sa santé. Beaucoup de ces substances peuvent même être bénéfiques chez d’autres personnes.

Dernièrement, des recherches ont montré que la marijuana peut améliorer la santé mentale. À ce stade, il n’apparaît pas clairement si cet effet sur l’état psychologique du fumeur arrive par un effet direct sur le cerveau, ou comme nous le supposons, principalement grâce à un effet sur le corps éthérique.

En plus d’être éventuellement sensibles aux toxines tangibles ou physiques, les corps subtils peuvent également être perturbés par les toxines non-physiques.

Toxines non-physiques

La plupart des personnes limitent leur vision des toxines aux substances physiques. Cependant, beaucoup d’autres choses peuvent avoir un effet sur l’énergie du corps, détruisant la vie ou affectant la santé.

Lorsque nous travaillons en tant que thérapeutes, un danger existe pour notre propre corps éthérique : nous passons parfois beaucoup de temps à travailler dans le domaine énergétique, avec un accès aux zones d’énergie altérées. Si nous ne faisons pas attention, notre champ subtil, notre propre structure éthérée, pourrait en être modifiée, de sorte qu’un état de maladie privé d’harmonie paraîtrait normal. Ces modèles d’énergie ne sont pas des substances physiques, mais leur effet est tout aussi toxique.

Des collègues thérapeutes discutent parfois de cas où un patient atteint d’une maladie grave a copié le modèle énergétique d’un proche, acquérant ainsi une dynamique de maladie propre.

Un collègue m’a raconté que lorsqu’il travaillait en qualité de thérapeute, étant très occupé par de nombreux clients, il a choisi de s’entourer chaque semaine de personnes en bonne santé ayant une énergie positive. Ce dernier m’a rapporté que, non seulement c’était bénéfique à sa santé, mais également à son économie en évitant de tomber malade.

Il me raconta : « Il y a quelques années, une nouvelle cliente est venue me voir. Elle toussait depuis des mois. Les radios ont montré quelque chose sur le lobe inférieur des deux poumons. Elle me dit avoir pris des antibiotiques ainsi qu’un bronchodilatateur, mais que ça n’avait eu aucun effet. Visiblement, elle et sa famille soupçonnaient le pire. Elle me dit aussi que son petit ami avait été victime d’une toux similaire pendant cinq mois environ. Le test musculaire a démontré que son système d’énergie avait acquis le modèle d’énergie de la toux de son petit ami, et que celle-ci n’était pas due au processus infectieux normal, mais qu’il s’agissait d’une forme de pollution énergétique. J’ai alors utilisé certaines procédures de kinésiologie afin de la déconnecter de ce modèle d’énergie négative et de relancer chez elle les mécanismes sains habituels. Une semaine plus tard, elle m’a téléphoné pour me dire qu’elle était quasiment guérie. »

Beaucoup de familles sont victimes de processus allergiques similaires. En effet, l’énergie négative est toujours mieux transmise que l’énergie positive, et ce, sans l’intervention de virus ou de bactérie. J’ai rencontré des situations similaires avec les couples mariés, certainement parce qu’ils sont très proches émotionnellement. Tout cela est transférable à :

  • Des modèles émotionnels toxiques : des relations destructrices qui provoquent de la douleur et de la détresse, du ressentiment, de la colère, de la peur, etc.
  • Des modèles mentaux toxiques : beaucoup de personnes se parlent à elles-mêmes d’une certaine façon, ces messages mentaux ayant un effet toxique sur la personne.

Nous pouvons le tester avec un kit de chakras ou de méridiens d’acupuncture où nous constaterons si une perturbation existe au niveau énergétique.

 

Ángel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

Les avantages de la lumière solaire

L’exposition régulière au soleil a des effets très positifs sur le corps grâce à la longueur d’onde de la lumière ultraviolette qui possède des effets génocidaires, luttant ainsi efficacement contre les germes, les acariens, les champignons, les bactéries et les virus. La lumière solaire, grâce à son remarquable effet stimulant du système immunitaire, est l’un des principaux inhibiteurs de maladies.

Depuis quelques décennies, l’idée que la lumière solaire est mauvaise pour la santé s’est malheureusement propagée. Cette idée est promue par la médecine conventionnelle, en particulier par les spécialistes du cancer, et notamment, bien sûr, par les fabricants de crème solaire. Ces deniers ne nous donnent pas réellement d’arguments valables. En effet, il n’existe aucune preuve scientifique démontrant que l’exposition modérée à la lumière solaire puisse provoquer un cancer. Bien au contraire, la vitamine D générée par l’exposition solaire augmente l’immunité et empêche la formation de tumeurs, en plus de lutter contre toutes sortes de maladies.

Ce que peu de personnes savent, c’est que, malheureusement, le spectre ultraviolet de la lumière solaire est facilement éliminé à travers les vitres, les lunettes de soleil, les vêtements, et en particulier, les crèmes. Avant 1930, à l’époque où les antibiotiques n’existaient pas, les communautés scientifique et médicale savaient apprécier, tout du moins en Europe, le pouvoir curatif du soleil. En effet, la thérapie fondée sur l’exposition solaire, appelée héliothérapie, était considérée comme l’un des outils les plus efficaces pour lutter contre les maladies infectieuses.

Certaines études ont démontré que l’exposition contrôlée de patients au rayonnement solaire diminue leur pression artérielle, en plus de leurs niveaux de cholestérol sanguin, permet au sucre des diabétiques d’être métabolisé plus efficacement et augmente les niveaux de globules blancs, permettant de mieux lutter contre les maladies.

Le médecin et écrivain Auguste Rollier était l’un des médecins les plus célèbres ayant utilisé l’héliothérapie. Il a débuté dans sa clinique de Leysin en Suisse, en 1903, et en quelques années, il dirigeait plus de 36 cliniques, dont beaucoup se situaient au-delà des 1 500 m au-dessus du niveau de la mer, une altitude qui permettait aux patients de recevoir une quantité de rayons UV plus importante. Il utilisait cette thérapie pour soigner des maladies telles que la tuberculose, le rachitisme, la variole, le lupus, etc.

Rollier suivait les pas du médecin danois Niels Finsen, lauréat du prix Nobel en 1903 pour le traitement de la tuberculose à la lumière ultraviolette. Rollier a constaté que l’exposition solaire dès les premiers rayons, combinée à un régime alimentaire nutritif, apportait les meilleurs résultats. La surprenante guérison de la tuberculose et d’autres maladies obtenue par ces médecins ont fait la Une des titres de l’époque.

En 1933, il a été prouvé que la lumière solaire et ses traitements représentaient une thérapie idéale pour plus de 165 maladies différentes. Cependant, en 1954, après la mort de Rollier et la montée en puissance de l’industrie pharmaceutique, l’utilisation de l’héliothérapie a commencé à chuter. Dans les années 1960, les médicaments miracles créés par l’homme ont remplacé la fascination médicale pour les pouvoirs curatifs du soleil. Au cours des années 1980, la population s’est vue de plus en plus bombardée d’annonces dénonçant l’exposition solaire supposant un risque accru de contracter un cancer de la peau.

Avantages de la lumière ultraviolette, entre autres :

  • Améliore les résultats des électrocardiogrammes
  • Diminue la pression artérielle et la fréquence cardiaque au repos
  • Améliore les performances du cœur si nécessaire
  • Diminue le cholestérol si besoin est
  • Augmente les réserves de glycogène dans le foie
  • Équilibre le niveau de sucre dans le sang
  • Augmente l’énergie, la résistance et la force musculaire
  • Améliore la résistance de l’organisme face aux infections dues à l’augmentation du taux de lymphocytes et de phagocytes
  • Augmente la capacité de transport d’oxygène du sang
  • Augmente les hormones sexuelles
  • Augmente la tolérance au stress et diminue la dépression.

Selon une étude publiée dans la revue Cancer en mars 2002, une exposition insuffisante aux ultraviolets peut représenter un facteur de risque en Europe occidentale et en Amérique du Nord. L’étude a démontré au moins 13 types de tumeurs associées au manque de lumière solaire, la plupart de l’appareil reproducteur et de l’appareil digestif, par ordre d’importance : le cancer du sein, du colon et des ovaires puis les tumeurs de la vessie, de l’utérus, de l’œsophage, du rectum et de l’estomac. En outre, elle est également connue pour prévenir la sclérose en plaques, les maladies cardiaques, la gastrite et le diabète.

Ces thérapies, combinées à une bonne alimentation riche en fruits et en légumes et avec une faible teneur en protéines animales, ainsi qu’à la pratique d’un sport sain, sont également connues pour être les compléments idéaux afin de rester sain et en bonne santé pendant de nombreuses années.

 

Ángel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

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