Facteurs déclencheurs de maladies selon la médecine chinoise

Selon la médecine chinoise, les agents sont ces facteurs à l’origine d’une déviation de la linéarité ou orthopathie, c’est-à-dire, qu’ils touchent à la santé d’un individu. Sont différenciés :

  • Les agents externes, qui, en chinois, sont également connus comme étant les six excès climatiques.
  • Les agents internes, également connus comme les sept émotions (mouvement interne).
  • Les agents neutres, notamment les troubles alimentaires, les excès d’activité ou d’inactivité ou les excès sexuels et les blessures externes.

Les six excès climatiques

  • Le vent. Il peut être utile de s’imaginer que le patient a été exposé au vent. Dans ce cas, de même que pour les autres agents, il n’est pas important de savoir si cet incident a effectivement eu lieu. Les signes typiques d’une agression au vent externe sont : maux de tête, congestion nasale, écoulement de larmes, yeux rouges, maux de gorge, toux irritante, frissons. Si cela va encore plus loin, s’y ajoutent les douleurs erratiques, les névralgies, les douleurs articulaires, les spasmes ou même les parésies, les éruptions cutanées, les démangeaisons, la fièvre. Il correspond à la fonction énergétique du foie.
  • Le froid. Une exposition intense au froid conduit à des symptômes tels que la fièvre sans transpiration, les maux de tête, les douleurs à la nuque, les douleurs corporelles diffuses, le dessus de la langue blanc et humide. Lorsque les méridiens sont impliqués : convulsions, douleurs dans les membres, lèvres et ongles cyanosés, membres froids. Lorsqu’il pénètre plus profondément, des douleurs abdominales, des diarrhées, des vomissements, la langue pâle, le dessus de la langue humide et le pouls profond. Il correspond à la fonction énergétique du rein et du poumon.
  • L’humidité. L’apparition de symptômes d’humidité est un signe évident que la fonction énergétique de la rate ne dispose pas des forces d’assimilation suffisantes. Humidité signifie non-transformé, non-rincé, de sorte que les déchets demeurent. Une distinction est faite entre les signes d’humidité de la zone supérieure : vertiges, congestion nasale, teint blême, difficultés respiratoires, et de la zone inférieure : ballonnements, troubles gynécologiques, flux troubles ainsi qu’entre l’humidité externe : transpiration excessive, grande fatigue et découragement, gonflement, douleurs articulaires fixes, et l’humidité interne : serrement dans la poitrine et au centre de l’abdomen, perte d’appétit, nausées et vomissements, diarrhées, etc. Elle correspond à la fonction énergétique de la rate.
  • La chaleur étouffante de l’été. Les signes typiques comprennent la fièvre, la somnolence, l’essoufflement, la transpiration excessive, la soif intense, la langue rouge foncé, le dessus de la langue jaune. Elle correspond à la fonction énergétique du cœur.
  • La grande sécheresse. Une distinction d’action est faite entre la sécheresse froide : légers maux de tête, frissons, manque de transpiration, toux, maux de gorge, congestion nasale, dessus de la langue sec, et la sécheresse chaude : fièvre avec transpiration, maux de gorge, toux sèche, douleurs à la poitrine, faible expectoration muco-sanguinolente, nez sec, dessus de la langue sec et jaune. Elle correspond à la fonction énergétique du poumon.
  • L’ardeur. Les symptômes typiques sont : forte fièvre, grande agitation du patient, être intense, maux de gorge, rougeur du visage, sclérotiques rouges, langue rouge foncé, dessus de la langue jaune, épais et sec. Elle correspond à la fonction énergétique du cœur.

Les sept émotions

Comme les mouvements internes ou les troubles intérieurs, ces forces sont capables d’induire une hétéropathie en tant qu’agent endogène:

  • Les envies ou le désir. Cette expression de sentiment dans le sens de vivre des émotions excessives correspond à la fonction énergétique du cœur.
  • La colère, l’agitation, la rage. L’excitation excessive correspond à la fonction énergétique du foie.
  • Le souci. Conduit à un impact sur les événements rythmiques, au niveau de la fonction énergétique du poumon.
  • Penser, méditer. Cette émotion caractérise la force d’intégration, la force de transformation et la force d’assimilation de l’individu. Ainsi, elle correspond à la fonction énergétique de la rate.
  • Le deuil. Correspond à la fonction énergétique du poumon.
  • La peur. La peur et l’anxiété inhibent les manifestations de la vie et conduisent à une paralysie des mouvements internes. Ainsi, la crainte correspond à la fonction énergétique du rein.
  • La frayeur, le choc. Un événement effrayant ou choquant bloque le flux Qi et touche les fonctions énergétiques du cœur et du rein.

Outre les symptômes décrits, pour une meilleure définition du diagnostic énergétique, un kit de méridiens d’acupuncture, dans lequel les fioles qui confirment le bon diagnostic vont nous être définies, peut être utilisé.

Cet article s’inspire du livre Atlas d’acupuncture de Carl Hermann Hempen.

 

Ángel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

Correction de l’aura et de ses perturbations

L’aura est un champ énergétique dégagé par tous les êtres vivants. Plus précisément, il s’agit d’un rayonnement électromagnétique qui nous entoure et qui nous renseigne sur l’émetteur. Nous avons tous une aura, y compris notre planète Terre. Les objets ont également leur propre aura, bien qu’elle soit fixe dans le temps, contrairement à celle des êtres vivants qui peut changer.

Chaque personne, animal et végétal a une aura différente. Parfois, plus d’une couche de lumière peut être présente chez la même personne. Nous avons tous plusieurs couches auriques. En effet, l’aura est divisée en sept strates ou couches directement associées aux sept chakras que nous connaissons. Il s’agit là de la concrétisation de la lumière qui vient à nous et que nous exprimons extérieurement selon notre niveau de fréquence. Nous sommes des êtres de lumière. La densité et la couleur de l’aura dépendent de la fréquence. Nous entrons dans cette vie avec une mission et nous modifions notre fréquence tout au long de notre vie.

Le mudra suivant sera utilisé afin de constater si un problème existe au niveau de l’aura : nous faisons un bol avec la main, et avec la partie ulnaire, nous touchons le visage du patient. Voici quelques-uns des problèmes que nous avons avec l’aura :

Aura déplacée

L’aura se trouve plus ou moins à un empan du corps physique. Elle fait partie du corps astral, elle est comme un capteur qui arrive avant notre physique et qui nous place dans l’espace et nous envoie des messages inconscients de la proximité d’autres corps (objets).

Pour être efficace, elle doit être en harmonie avec notre corps physique. Lorsque nous avons un accident de voiture ou que nous entrons soudainement en collision avec un objet, notre corps est brusquement freiné, mais notre aura continue par inertie, le traversant jusqu’à une distance donnée en fonction de la vitesse. Dès lors qu’elle atteint ce point, elle subit un recul, se répétant en avant et en arrière, perdant de la force chaque fois jusqu’à ce qu’elle se replace, recherchant l’harmonie avec le corps physique. Parfois, elle y parvient, et d’autres, non.

Lorsqu’elle n’est pas correctement placée, alors nous disons qu’elle est déplacée. Cela lui fait perdre son efficacité et donne la sensation que nous sommes en état d’ébriété, déséquilibrés, nous entrons en collision avec des meubles et des portes, comme si nous n’avions pas pleinement conscience de ce qui nous entoure, des objets nous tombent des mains, comme si nous étions maladroits, nous avons un sentiment de vertiges en nous baissant, etc.

L’aura peut également se déplacer pendant le sommeil. Lorsque nous effectuons des voyages astraux involontaires, si quelque chose nous alerte, nous revenons soudainement à notre corps physique. N’avez-vous jamais eu la sensation de tomber de votre lit ou d’entrer en collision avec quelque chose ? Probablement oui, il s’agit là d’une autre façon.

Le test est réalisé en effectuant un mouvement de balayage avec la main au-dessus du corps. Si l’indicateur change, alors il y a un déplacement aurique. Dans le cas contraire, il s’agit d’une cicatrice aurique. En cas de déplacement de l’aura, nous mettrons l’index et le majeur sur le point 41VB, superficiellement sur les deux pieds (bilatéraux) entre 30 secondes et 1 minute.

Cicatrice aurique

L’aura est particulièrement sensible, elle est donc facile à endommager. Dans certaines cultures, lorsqu’ils font une séance de guérison et travaillent au niveau aurique, ils restent très mesurés, afin de ne pas l’endommager, en utilisant des plumes, de la fumée d’encens, du son, de la couleur, etc. En occident, nous agissons sur le corps physique en dépréciant l’aurique. Cela a ses conséquences : si nous avons subi une opération, là où ils ont coupé physiquement, ils ont également coupé au niveau de l’aura. La cicatrice se joint au physique mais laisse une ouverture aurique et énergétique (méridiens et nadis), avec les perturbations subséquentes au niveau des organes et des parties du corps qui se trouvent dans son champ d’action. Par exemple, au niveau de la tête, il pourrait en résulter des perturbations physiques.

Nous avons vu au point précédent comment réaliser le test afin de savoir si nous sommes en présence d’une cicatrice aurique. Afin de vérifier son emplacement, nous effectuerons un balayage plus lent et par sections plus petites, par exemple un bras, le genou, etc., jusqu’à trouver l’emplacement exact au niveau du corps.

Le traitement est effectué en maintenant la main sur la cicatrice pendant 30 secondes à 1 minute, bien que le symbole de l’infini puisse également être effectué à plusieurs reprises sur la cicatrice. Nous devrons également vérifier s’il y a des énergies interférentes (bas astral, émotions nuisibles, tiques énergétiques, etc.), étant donné que le déséquilibre énergétique constaté peut conduire à ce que d’autres énergies nous parasitent au niveau du point où ce problème se produit.

Nous pouvons également utiliser un Test des chakras, pour voir qu’une strate  est affectée pour l’aura déplacée ou la cicatrice aurica.

Ángel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

 

L’exercice modéré améliore les traitements contre le cancer

Une recherche menée par l’Université d’État du Kansas fournit des informations encourageantes aux patients atteints de cancer : la promenade ou le jogging lent pratiqués de façon régulière peuvent être la clé pour améliorer les traitements contre le cancer.

Brad Behnke, professeur agrégé de physiologie de l’exercice, et ses collègues, ont démontré que l’exercice modéré pratiqué de façon régulière améliore l’oxygénation de la tumeur, pouvant ainsi améliorer les traitements chez les patients atteints de cancer. Behnke a reçu une subvention de l’American Cancer Society s’élevant à 750 000 dollars afin d’étudier l’exercice modéré en tant que moyen d’aider les traitements de radiothérapie à être plus efficaces, en particulier dans le cas des tumeurs difficiles à traiter.

« Si nous pouvons augmenter l’efficacité de la radiothérapie, le pronostic du patient sera alors amélioré. » « L’exercice a des effets secondaires toujours positifs par rapport à d’autres traitements qui peuvent avoir des effets secondaires nocifs. L’exercice est un type de thérapie qui profite à de nombreux systèmes du corps, et qui peut changer de façon permanente l’environnement au sein de la tumeur. »

Le National Cancer Institute américain recommande l’exercice aux patients atteints de cancer et à ceux qui ont vaincu la maladie, mais peu de recherches montrent ce qui se passe au sein des tumeurs pendant cet exercice. Cela a conduit Behnke à associer son expérience en physiologie intégrative et la recherche sur le cancer. Il a également reçu le soutien du Centre de recherche sur le cancer de l’Université de Johnson.

« Je me suis intéressé à comprendre ce qui se passe au sein de la tumeur pendant et après l’exercice en tant que moyen permettant d’améliorer les résultats du traitement », a déclaré Behnke.

Pour les dernières recherches, Behnke utilise des modèles de tumeurs cancéreuses de la prostate, afin de trouver des moyens d’améliorer l’apport en oxygène aux tumeurs. Lorsqu’une tumeur est hypoxique, ou qu’elle a une faible teneur en oxygène, elle est souvent très agressive. En effet, l’oxygène contribuant à détruire les cellules cancéreuses, il est fondamental dans le cas de cette maladie. Ainsi, les tumeurs ayant une faible oxygénation sont souvent résistantes aux traitements anticancéreux traditionnels tels que la radiothérapie et les interventions chirurgicales. La respiration d’oxygène concentré est ainsi utilisée afin d’améliorer l’apport aux cellules cancéreuses avant le traitement.

« Si nous améliorons tous les systèmes du corps : les poumons, le cœur et les vaisseaux sanguins grâce à l’exercice, nous pouvons exploiter la dysfonction vasculaire dans la tumeur et ainsi améliorer le flux sanguin qui y circule », a déclaré Behnke. « La tumeur devient le chemin de moindre résistance en raison de la forte exigence cardiaque de l’exercice, se traduisant par une augmentation substantielle de l’oxygénation de la tumeur pendant et après celui-ci. »

Mais la clé réside dans un exercice modéré. Trop peu d’exercice peut n’avoir aucun effet, tandis que l’exercice excessif peut avoir un effet négatif et est susceptible de fermer le flux sanguin vers la région de la tumeur ou de mettre en danger le système immunitaire.

Ceci en considérant l’exercice modéré en tant qu’activité qui utilise entre 30 et 60 pour-cent de la capacité aérobie de la personne, selon Behnke. L’activité elle-même ne doit pas être stressante et c’est quelque chose que la plupart des personnes peuvent effectuer, comme une promenade ou un jogging lent.

La recherche a également démontré que l’exercice modéré peut aider les patients atteints de cancer à contrer certains effets secondaires du traitement, tels que les faibles taux sanguins, la fatigue, la cachexie et l’atrophie musculaire, ce qui a conduit de nombreux chercheurs à cataloguer cette thérapie comme « thérapie d’exercice aérobie » destinée aux patients atteints de cancer.

« En réalité, il n’y a aucun effet secondaire négatif de l’exercice d’intensité modérée », a déclaré Behnke. « L’exercice est souvent prescrit pour améliorer les effets secondaires du cancer et le traitement, mais ce que l’exercice fait au sein de la tumeur, est déjà en soi, très bénéfique. »

Nous vous recommandons de lire l’article de Kinepharma du 28 décembre 2012, « Les trois aspects fondamentaux à tester dans le cancer »

 

Ángel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

Test d’allergies

En Europe, la prévalence des allergies aériennes et de l’asthme a été multipliée par 4 au cours des 30 dernières années, touchant entre 15 et 40 pour-cent de la population. Les jeunes sont les plus touchés par l’incidence croissante des allergies, avec un mineur sur trois. Au cours des 10 dernières années, les réactions allergiques chez les enfants ont été multipliées par sept. Beaucoup de ces personnes souffrent également d’hypersensibilité aux additifs chimiques des aliments courants, aux colorants artificiels ou aux conservateurs, entre autres.

Les matériaux des emballages alimentaires contiennent de nombreux polluants environnementaux, tels que ceux des bouteilles ou des emballages en plastique, pour ne pas mentionner les rejets des tuyaux d’échappement, les pesticides, les vapeurs émises par les peintures et les tapis et d’autres produits chimiques environnementaux auxquels beaucoup d’entre nous sont exposés tous les jours. Il serait nocif que le corps ne réagisse pas face à l’attaque massive des poisons auxquels il est confronté au quotidien. Dans de nombreux cas, grandir dans un environnement excessivement stérile peut être à l’origine des réactions excessives du système immunitaire lorsqu’il entre en contact avec des substances inoffensives.

La transformation et la modification génétique des aliments ou l’âge auquel un aliment solide est introduit pour la première fois dans l’alimentation des bébés peuvent être des facteurs qui participent à l’escalade des allergies. Parmi les aliments les plus courants qui provoquent des réactions allergiques, il convient de mentionner le lait, les œufs, les arachides, les fruits secs, les poissons, les crustacés, le soja et le blé (gluten). Ces aliments provoquent 90 % des réactions allergiques en Occident.

Nous sommes également confrontés aux allergies printanières, généralement en période de floraison. En effet, de nombreuses personnes sont allergiques à plusieurs types de pollens, mais toutes ces allergies ont une cause commune : la difficulté croissante du foie à éliminer les toxines.

Beaucoup de personnes ont constaté qu’après toute une vie sans trouble de ce genre, arrivées à des âges moyens ou avancés, elles commencent à avoir des allergies. Cela est dû dans la plupart des cas à une accumulation de calculs biliaires dans le foie, d’où l’importance de maintenir une faible toxicité dans notre organisme et, le cas échéant, d’effectuer un nettoyage du foie, tel que nous l’avons expliqué dans les articles précédents.

Il est d’ailleurs possible que les réactions allergiques causées par la congestion du foie et la faiblesse du système digestif, et qui n’ont sans doute pas disparu, soient responsables de la formation de nouveaux calculs biliaires.

Cependant, une fois le système immunitaire perturbé, d’autres méthodes sont nécessaires afin de convaincre les cellules du système immunitaire d’arrêter de produire des anticorps contre les antigènes présents, par exemple, dans le cas de la poussière, du pollen, des poils d’animaux tels que le chat, ou des aliments tels que le lait, le blé, les oranges, les tomates, etc. Nous pourrions parler ici d’une thérapie énergétique basée sur la bio-résonance ou l’homéopathie.

En médecine naturelle, il est bien connu que la plupart des personnes qui sont victimes d’une maladie chronique ou longue souffrent d’une ou de plusieurs allergies.

En outre, les personnes qui ont des plombages dentaires à base d’amalgames de mercure, bien qu’allergiques à de nombreux autres produits, le sont en particulier au lait et à ses dérivés. Les malades du sida et du cancer ont également des allergies à plusieurs produits, et notamment au lait, au blé et à la menthe.

Test

 Pour tester les allergies, nous disposons de diverses fioles, telles que celle d’allergie commune qui est l’Histaminum D30 et D60 ainsi que la fiole d’histidine. Mais nous pouvons également utiliser un kit d’allergies ou un kit d’allergies aux pollens si le trouble se manifeste au printemps. En effet, il est fort probable que l’allégie soit due à un type de pollen.

L’une des fioles que nous utiliserons lors du test d’allergies sera celle de Dimaval et celle de Chlorella vulgaris, produits particulièrement appropriés en cas de métaux lourds, qui comme nous l’avons vu précédemment, augmentent la sensibilité du corps à avoir des allergies, en particulier au lait. Si le test est positif, la priorité sera certainement d’éliminer les métaux lourds avant de procéder à toute correction de ce dysfonctionnement du système immunitaire.

Pour plus d’informations sur il test d’allergies, nous vous conseillons de lire l’article de kinepharma, du 11 Juin <<Test d’allergie en kinésiologie>> et l’article du octobre de 2012 <<Les allergies alimentaires>>.

Ángel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

Les mécanismes de désintoxication de l’organisme

L’organisme a la capacité de se nettoyer de toutes les impuretés et toxines qui s’accumulent tout au long du processus de vie. Le principal organe chargé d’effectuer ce « nettoyage » est le foie. La détoxification est un processus métabolique qui permet de transformer ces toxines en produits pouvant être directement éliminés via les intestins ou les reins.

La plupart des toxines sont liposolubles, lorsqu’elles sont en excès et qu’elles ne peuvent pas être transportées directement par le sang, elles sont stockées dans le tissu adipeux. La détoxication hépatique vise à rendre ces molécules solubles, de sorte qu’elles puissent être éliminées.

L’activité métabolique associée à ce nettoyage nécessite énormément d’énergie, selon le Dr Fievet, 80 % de l’énergie (ATP) nécessaire au fonctionnement de l’organisme. Dans ce processus, nous distinguons trois phases :

  • Phase I: L’activation.
  • Phase II: La conjugaison
  • PhaseIII: Le transport et l’élimination.

Lors de la phase d’activation, les substances toxiques liposolubles s’oxydent via un certain nombre d’enzymes appelées cytochromes P450. Les produits de ce métabolisme sont instables, et s’ils ne sont pas métabolisés rapidement, ils conduisent à des radicaux dits libres, produisant ce qui est connu sous le nom de stress oxydatif, à l’origine de nombreux problèmes de santé.

C’est pourquoi la phase de conjugaison diminue les produits oxydés lors de la phase précédente, via des antioxydants capteurs de radicaux libres, tels que les enzymes superoxyde dismutase (SOD) ou glutathion peroxydase (GSPx). Ces enzymes dépendent fortement des minéraux Zn, Cu, Mn et Se ainsi que de la vitamine C et de celles du groupe B.

La phase I d’activation est plus efficace lorsque nous sommes régulièrement exposés à une substance toxique, mais il ne faut pas oublier qu’il en résulte des composés instables, très nocifs pour la santé. C’est pourquoi, paradoxalement, l’effet pernicieux d’une telle substance toxique peut être aggravé, comme c’est le cas chez les personnes dépendantes du café ou de l’alcool, d’où le danger.

Dans ce dernier cas, la personne souffrant d’alcoolisme chronique perçoit de moins en moins les conséquences physiques d’une surconsommation, tandis que s’accumulent de plus en plus de dérivés toxiques, soit, dans le cas de l’alcoolisme, d’acétaldéhyde.

En outre, en raison de l’accumulation de ces dérivés et du manque d’enzymes de la phase II de conjugaison, ces composés sont métabolisés plus lentement, de sorte que nous endommageons le corps par un excès de radicaux libres qui affectent notre santé, causant une plus grande usure et vieillissement de l’organisme, des maladies dégénératives, des problèmes de peau, etc. Cela peut même être plus grave si la personne ne dispose pas du nombre d’enzymes approprié ou si elle présente une mauvaise alimentation, comme c’est le cas de bon nombre d’alcooliques.

Détection de la toxicité dans l’organisme

Tout ceci peut être apprécié plus en détail lors du test de kinésiologie, en utilisant la fiole de radicaux libres disponible dans un test de base, ainsi que celle de SOD, GPSx d’un test du système endocrinien, ou les fioles de minéraux et de vitamines.

Il existe également un certain nombre de symptômes qui peuvent nous aider à identifier ce problème :

  • Langue blanche ou pâteuse.
  • Migraines.
  • Mauvaise haleine.
  • Teint pâle ou jaunâtre.
  • Troubles digestifs (insuffisance biliaire).
  • Fatigue.

Troubles du sommeil (se réveiller entre 1 heure et 3 heures du matin).

Le plus important est de stopper les substances toxiques à la source, ce qui donnera du répit au foie, lui permettant d’éliminer un plus grand nombre de toxines, mais il faudra également améliorer l’alimentation, la minéralisation à travers des enzymes « vivantes » (fruits et légumes frais), des vitamines, des acides aminés soufrés (en particulier la taurine) et surtout, boire beaucoup d’eau de bonne qualité.

Pour plus d’informations sur la purification du corps, nous vous conseillons de lire l’article de kinepharma, du 3 Mars, 2015 »La purification« .

 

Ángel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

Test de carences nutritionnelles

Paradoxalement, au XXIe siècle et dans la société occidentale, alors que nous vivons l’époque la plus riche de toutes les périodes de l’histoire, nous constatons l’existence d’innombrables troubles nutritionnels.

Tel que nous l’avons mentionné de nombreuses fois, ces troubles découlent du manque de nourriture suffisante, de la mauvaise combinaison d’aliments, du stress, et en général, de nos styles de vie peu sains, qui font qu’au niveau cellulaire, le métabolisme de nos cellules est pratiquement impossible et que des carences nutritionnelles surgissent.

C’est pourquoi, en kinésiologie, nous devrons fréquemment tester plusieurs de ces carences :

  • Déshydratation.
  • Enzymes.
  • Vitamines.
  • Minéraux et oligo-éléments.
  • Acides aminés.
  • Sels de Shüssler.

Test

  • Déshydratation: L’eau est le principe nutritionnel fonctionnel et régulateur du corps humain, elle est donc essentielle au bon fonctionnement de l’ensemble du système métabolique de l’organisme. Il existe deux façons de vérifier si nous sommes en présence d’un manque d’eau dans l’organisme. La première utilise une fiole d’eau qui corrige un AR (Arm Reflex).

Si tel est le cas, nous ferons boire de l’eau à notre patient afin de poursuivre le test. L’autre façon consiste à tirer doucement les cheveux de votre patient. Si un AR existe, alors nous sommes en présence d’un cas de déshydratation.

  • Enzymes: Les enzymes sont des substances essentielles permettant au corps humain d’effectuer l’ensemble de ses fonctions normalement. Elles agissent pour l’organisme en tant que catalyseurs des réactions chimiques qui se produisent pour obtenir l’énergie utilisée par les cellules afin de préserver la vie. Pour leur vérification, nous utiliserons la fiole du manque d’enzymes qui est celle de Zincun metalicum à la 200 CH.

  • Vitamines: Leur carence peut être due à la mauvaise qualité des aliments, à leur cuisson excessive lors de leur préparation ou bien aux déséquilibres de la flore intestinale. Lorsque nous sommes en présence d’un AR biochimique, c’est la fiole du manque de vitamines, soit Manganum metalicum à la 200 CH, qui le régularisera. Les carences peuvent également être détectées en touchant bilatéralement les deux points 41E si l’AR est corrigé.
  • Minéraux et oligo-éléments: De même que les vitamines, leur manque peut être dû à la mauvaise qualité des aliments.Lorsque nous sommes en présence d’un AR biochimique, c’est la fiole du manque de minéraux et d’oligo-éléments, soit Cuprum metalicum à la 200 CH et Cobaltum metalicum à la 200 CH, qui le régularisera. Ils peuvent également être détectés en touchant bilatéralement les deux points 4TR de la main si l’AR est corrigé.
  • Acides aminés: Les acides aminés sont la base de tout processus vital. En effet, ils sont absolument essentiels aux processus métaboliques. Leurs fonctions les plus importantes sont le transport optimal des nutriments et l’optimisation du stockage de l’ensemble des nutriments, soit, de l’eau, des lipides, des glucides, des protéines, des minéraux et des vitamines.

Leur carence est identifiée si l’AR est corrigé par la fiole d’acides aminés ou si en touchant le point 25 VG (bout du nez) un AR qui régule le mudra chimique se produit.

  • Sels de Shüssler: Ils peuvent stimuler ou restaurer les fonctions corporelles, et même corriger les troubles fonctionnels de l’organisme. Schüssler a découvert que des remèdes beaucoup plus efficaces que les minéraux purs de notre alimentation pouvaient être élaborés à partir de ces sels. Le test est effectué avec la fiole des sels de Shüssler composée des 12 sels.

L’ensemble est disponible dans un kit de diagnostic de base et dans un kit des sels de Shüssler.

Ángel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

La vérité sur le cholestérol

Le cholestérol n’est PAS l’une des causes majeures d’infarctus et d’accidents vasculaires cérébraux (AVC). C’est totalement faux.

Les statines prescrites contre ce « symptôme » sont les médicaments utilisés pour lutter contre le cholestérol. En Espagne, la moitié de la population adulte présente un taux de cholestérol élevé. Parmi eux, 50 % en ont conscience, et près de la moitié de ces derniers sont soignés avec des médicaments visant à faire baisser leur taux de cholestérol.

Mais le cholestérol n’est pas directement responsable des troubles cardio-vasculaires. Il s’agit en réalité d’un moyen de défense de l’organisme face à un problème. Par conséquent, les personnes qui prennent des statines mettent leur santé en danger. En effet, en plus d’éliminer le cholestérol là où il est nécessaire, elles peuvent engendrer une longue liste d’effets secondaires : insuffisance cardiaque, douleurs musculaires, perte de mémoire, dommages au foie, etc.

Une étude publiée par el American Heart Journal en 2009, menée auprès de 137 000 patients hospitalisés suite à une crise cardiaque, a démontré qu’environ 75 % de ces patients présentaient des taux de cholestérol « normaux ».

Cette question est abordée dans l’article de Kinepharma du 3 décembre 2003 « Alimentation et maladies cardiaques », dans lequel le Dr. Dwight Lundell, chef du service de chirurgie coronaire du Banner Heart Hospital conclut que, sans inflammation dans le corps, le cholestérol ne peut pas s’accumuler sur les parois des vaisseaux sanguins, et donc être à l’origine de maladies cardiaques.

La principale cause de l’inflammation est la surcharge en hydrates de carbone simples et transformés ainsi que la consommation excessive d’huiles végétales de mauvaise qualité présentes dans de nombreux aliments transformés.

Mais alors, quel est le sens de cette prescription ?

Pourquoi ni les médecins, ni les hôpitaux ou les entreprises pharmaceutiques, ni les nombreux professionnels de la santé ne nous disent-ils pas la vérité sur les statines ?

Pourquoi ne nous informent-ils pas que les médicaments qui baissent le taux de cholestérol provoquent de nombreux effets secondaires, sans pour autant nous protéger contre les maladies cardiovasculaires ? Il y a plusieurs raisons à cela :

Tout d’abord, les centaines de grands cardiologues et professeurs de médecine devraient reconnaître publiquement qu’ils se trompent depuis 30 ans. Aujourd’hui, ceux qui critiquent ou qui sont en désaccord avec cette tendance sont qualifiés d’apostats, d’ignorants, et sont tournés en ridicule. Le merveilleux livre du cardiologue français Michel de Lorgeril sur les moyens naturels de prévenir l’infarctus a été totalement ignoré par la presse.

Cependant, Michel de Lorgeril, chercheur de renom du Centre national de la recherche scientifique en France (CNRS), a écrit des centaines d’articles dans les revues scientifiques les plus prestigieuses. Son livre contient les dernières informations sur cette étude, ainsi que de nombreux conseils vitaux et rassurants pour ceux qui craignent pour leur cœur et leurs artères. Étant donné l’importance de ces conclusions pour des millions de patients à travers le monde, le silence des médias est inexplicable.

Dans un deuxième temps, la médecine est devenue une entreprise, et si aucun médicament n’était consommé, accordant la priorité à la prévention ou à la guérison par des méthodes naturelles, le manque à gagner serait considérable.

Effets des statines et manque de cholestérol

L’un des effets des statines les plus dangereux pour la santé est la perte de la coenzyme Q10, indispensable au fonctionnement de nos muscles, et en particulier du cœur. Il est anecdotique de s’efforcer de guérir le cœur en éliminant les réserves en CoQ10. Nous devrions les compenser rapidement en prenant des compléments en CoQ10. Cependant, actuellement, très peu de médecins en informent leurs patients.

Les médecins et les scientifiques soignent généralement le cholestérol avec mépris. Nous le constatons au quotidien, et cela se reflète dans l’ensemble de la société, y compris dans les publicités télévisées, mais la vérité est qu’il s’agit d’un élément de base du corps humain. D’ailleurs, un taux de cholestérol trop faible est directement associé à des troubles de santé, en particulier aux hémorragies cérébrales (attaques), ainsi qu’à un risque accru de cancer.

D’innombrables études scientifiques ont étudié le lien entre développement de cancer et cholestérol. De sorte qu’il est dangereux ou mauvais pour la santé de rechercher des faibles taux de cholestérol à travers une alimentation pauvre en graisse, ou pire encore, à l’aide de médicaments.

En outre, le cholestérol est nécessaire à un niveau optimum de vitamine D. En effet, le cholestérol est son composant de base, ce qui pourrait expliquer le lien entre faible taux de cholestérol et cancer. Une carence chronique en vitamine D peut favoriser les tumeurs cancéreuses.

Une enquête a été menée pendant quatre ans sur la consommation de deux médicaments prescrit contre le cholestérol, le Simvatastina et l’Ézétimibe. Les conclusions ont été sans appel : chez les patients ayant pris ces deux médicaments ensemble, le risque de décès par cancer avait augmenté de 45 %. Aussi surprenant que ce soit, ces résultats n’ont jamais été pris en compte.

Cet article est en partie inspiré par un article de Jean-Marc Dupuis, rédacteur en chef  du e-letter gratuit “Tener S@lud” (être en bonne santé).

Angel Salazar (angelsalamag@gmail,com)

Kinepharma

La glande pinéale et le troisième œil

La glande pinéale se trouve au centre du cerveau, près de la glande pituitaire. Elle régule la température, la coloration de la peau et les rythmes circadiens. Sa taille ne dépasse pas celle d’un grain de riz et elle est responsable du traitement de l’information créative, de vie et de notre spiritualité. Cette glande est l’un des principaux centres de l’organisme visant à ouvrir l’esprit à la connexion avec le tout et à comprendre la véritable nature de notre être et de l’univers.

Depuis des temps immémoriaux, cette glande a toujours été considérée comme le centre de la puissance supérieure de l’homme, que ce soit pour les catholiques (œil de la providence), pour les francs-maçons (l’œil qui voit tout), pour les Égyptiens, qui l’appelait l’œil d’Horus, ou pour les hindous, qui l’appelait le troisième œil. De nos jours, les billets de dollar et les logos d’entreprises telles que Procter and Gamble y font référence.

Au niveau énergétique, chez l’homme, la glande pinéale est directement associée à la partie énergétique ou astrale, le dénommé troisième œil, qui est le sixième chakra. Lorsqu’il commence à s’activer et à s’ouvrir lors de la méditation ou des rêves, les couleurs s’égayent et un degré élevé d’intuition et de perception est obtenu.

Mais, tel que le décrit Samuel Sagan dans son livre L’éveil du troisième œil :

« Le troisième œil n’est pas physique. La plus grande partie du troisième œil est une structure énergétique, intégrée au corps éthérique, ou couche de la force vitale. Le corps éthérique a de nombreuses connexions avec le corps physique, le troisième œil, étant « l’interrupteur principal » du corps éthérique. Il est également étroitement lié à certaines structures du corps physique, par exemple aux glandes pituitaire et pinéale. Cependant, dire que le troisième œil est la glande pituitaire ou la glande pinéale, tel que l’affirment certains livres, serait particulièrement simpliste ».

Sa relation énergétique

L’activation de la fonction énergétique de cette glande fera que la personne se situe dans une fréquence plus élevée, lui permettant de développer sa conscience et de voir la réalité des niveaux et des dimensions supérieures. Ce sera un saut quantique dans la perception, un changement de vie afin de vivre à une fréquence supérieure.

L’ouverture de l’œil est donc un symbole de l’éveil spirituel et elle s’intensifiera de plus en plus avec l’évolution de la conscience. Ce troisième œil a une lentille, la glande pinéale, qui sécrète la mélatonine. Elle est produite dans l’obscurité et est synthétisée à partir du neurotransmetteur sérotonine et de l’acide aminé tryptophane, la production de mélatonine étant inhibée par la lumière et stimulée par l’obscurité. Sa sécrétion atteint un pic au milieu de la nuit, et à partir de là, redescend jusqu’au matin.

L’homme produit une synthèse constante de mélatonine, qui diminue considérablement passés les 30 ans. Après la puberté, il se produit une calcification qui recouvre la glande pinéale, bien qu’elle continue à fournir de la mélatonine à l’organisme.

La glande pinéale produit également du diméthyltryptamine (DMT) qui agit comme un neurotransmetteur. Il est le psychédélique d’action connu le plus intense et ayant le plus grand impact visuel. Le DMT est également produit à partir de sérotonine et est responsable de la production des effets visuels du rêve. Même René Descartes pensait que la glande pinéale était ce qui connectait le corps à l’âme.

C’est pourquoi l’expérience d’accès aux champs créatifs supérieurs est à l’origine d’expérimentations sensorielles et de stimuli visuels colorés qui éveillent des souvenirs ancestraux. Nous devons apprendre à créer consciemment par la visualisation et l’activation du troisième œil, à partir de l’activation de cette glande.

Un dysfonctionnement dans la production de mélatonine dû au manque de sérotonine peut être dû à un problème existant dans cette glande, peut être d’origine organique, ou peut être simplement dû à un manque de stimulation continue de cette dernière dans des champs d’activation supérieure, ce qui rend plus difficile la fonction de cette glande pour ces tâches de perception et d’induction supérieures.

Afin de vérifier le fonctionnement approprié de cette glande au niveau organique, nous pouvons utiliser un Test du système endocrinien et d’acides aminés, puis vérifier le fonctionnement de cette glande, ainsi que le manque ou non de sérotonine, de mélatonine et de tryptophane.

Cet article s’est en partie inspiré du livre Rediseña tu vida de Guillermo Ferrara.

 

Angel Salazar (angelsalamag@gmail,com)

Kinepharma

 

 

Activité physique et diabète de type 2

L’exercice aérobic contribue à la réduction du risque propre au diabète de type 2. Une récente étude, menée auprès d’un important échantillon de femmes et publiée sur le portail PLoS Medicine, a révélé que l’entraînement de résistance aérobic et avec poids pourrait contribuer à la réduction du risque de souffrir de cette maladie.

Lors de l’étude menée par des chercheurs de l’École de Santé Publique de Harvard de Boston et de l’Université du Sud du Danemark, plus de 99 000 femmes d’âge moyen et adolescentes ont été suivies.

Au début de l’étude, aucune de ces femmes n’était atteinte de diabète, et les chercheurs ont analysé le lien entre leurs habitudes d’exercice et l’incidence du développement de la maladie. Plus précisément, ils ont examiné le temps que les femmes consacraient chaque semaine à différents types d’exercice, et notamment aux exercices de renforcement avec poids de moindre intensité, aux exercices de conditionnement musculaire tels que l’étirement, la tonification et le yoga, ainsi qu’à d’autres exercices de type aérobic.

Indépendamment de la diminution du risque de diabète, un rapport a été établi entre l’entraînement de renforcement avec poids et les exercices de conditionnement musculaire de moindre intensité. Il a été constaté qu’ils étaient encore plus efficaces dans l’atteinte de cet objectif lorsqu’ils étaient associés entre eux.

Les chercheurs ont conclu que : « Les résultats de notre étude suggèrent que… l’intégration d’activités de renforcement musculaire et d’étirement associées à une activité aérobic fournit des avantages substantiels dans la prévention du diabète chez les femmes. »

Quels sont les niveaux d’exercice recommandés ?

Au moins 150 minutes d’exercice aérobic par semaine, et au minimum deux fois par semaine d’entraînement de renforcement avec poids, que les chercheurs estiment à 60 minutes minimum. Les femmes qui ont suivi ces recommandations présentaient un plus faible risque de diabète. Notons que même lorsque le temps consacré était moindre, les risques de cette maladie ont pu être considérablement réduits.

L’équipe a également conclu que « l’exercice de renforcement avec poids peut réduire le risque de diabète de type 2 à travers divers mécanismes », permettant aux femmes en surpoids ou obèses de profiter d’une plus grande diminution du risque par rapport aux autres.

Les hommes ont également réduit le risque

La précédente recherche publiée dans la revue Archives of Internal Medicine, en août 2012, et menée par des chercheurs des mêmes institutions, a également conclu que les hommes qui s’entraînent régulièrement avec poids pourraient réduire leur risque de diabète de type 2 de jusqu’à 34 pour-cent. L’entraînement régulier pourrait être d’environ 30 minutes par séance, 5 fois par semaine.

Coïncidant avec la récente étude, il a été constaté que l’entraînement de résistance associé à des activités aérobics telles que la course ou la marche rapide conduisent à des résultats encore meilleurs : une réduction du risque pouvant atteindre les 59 pour-cent.

Cette étude était pionnière dans la constatation de la façon dont l’entraînement de renforcement avec poids pourrait contribuer à prévenir le diabète de type 2. Il est maintenant clair que les deux sexes peuvent en bénéficier.

Il est important de noter que, étant donné que l’entraînement de renforcement avec poids réalisé seul, sans être associé à des exercices aérobics ou à d’autres types d’exercices, semble offrir une diminution significative du risque, les gens qui ont du mal à trouver le temps ont ici une solution alternative viable et efficace dans les poids.

L’entraînement avec poids aide également les diabétiques

Si nous regardons en arrière, une étude publiée dans JAMA en novembre 2010 a constaté que la pratique d’exercices aérobics et de renforcement avec poids a contribué à améliorer les taux de sucre dans le sang chez les personnes atteintes de diabète de type 2, et l’amélioration a été plus importante que celle apportée par n’importe lequel des deux exercices pratiqué seul.

 Une publication à ce sujet a déclaré que « les patients atteints de diabète de type 2 qui souhaitent maximiser les effets de l’exercice et du contrôle de la glycémie, doivent effectuer aussi bien l’exercice aérobic que le renforcement avec poids. » Ajoutant que « si seul un temps défini peut être consacré à la pratique du sport, il est plus avantageux de le consacrer aux deux exercices plutôt qu’à un seul. »

 

Angel Salazar (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

 

 

Identification de métaux lourds dans l’organisme

Il s’agit d’un problème de plus en plus fréquent et qui ne peut pas être détecté par une simple analyse d’urines ou de sang, à moins qu’ils ne se trouvent en état transitoire. Les métaux lourds s’accumulent principalement dans la graisse ou dans les os du corps.

Les organes les plus touchés par les métaux lourds sont :

  • Le rein
  • Le foie
  • Le cerveau

Et dans une moindre mesure :

  • Les os
  • La thyroïde

Deux muscles permettent de tester les métaux lourds :

  • Le grand pectoral claviculaire (positif dans 99 % des cas).
  • Le psoas (positif dans 100 % des cas)

En kinésiologie holistique, le test s’effectue en étirant et en croisant les bras. Si un AR (Arm Reflex) se produit, alors la personne est contaminée par des métaux lourds. La fiole générale qui indique l’existence de métaux lourds est la Mercurius solubilis à la 30DH, disponible dans un test de base.

Nous devons maintenant vérifier quel métal est à l’origine de l’intoxication. Les métaux les plus fréquents (99 % des cas) sont :

  • Le plomb (Pb)
  • Le mercure (Hg)
  • L’aluminium (Al)
  • L’arsenic (As)
  • Le cadmium (Cd)
  • Le nickel (Ni)
  • Le cuivre (Cu)

Pour tester ces toxicités, il faut utiliser un kit de toxines. Une fois que nous avons déterminé quel métal est à l’origine du trouble, nous devons trouver quels organes sont touchés. Dans 99 % des cas, il s’agit du rein, du foie ou du cerveau.

Test des organes touchés

Afin de tester les organes où s’accumulent les métaux lourds, il faut toucher les neuro-lymphatiques (NL) ou placer le filtre des organes :

  • Le rein : ses NL se situent à 1″ vers le haut et à 1″ vers les côtés du nombril.
  • Le foie : ses NL se situent dans l’hémithorax droit, entre les côtes cinq et six, entre le mamelon et le sternum.
  • Le cerveau : ses NL se situent en dessous de l’apophyse coracoïde, sur une ligne reliant plusieurs points, des deux côtés.
  • La thyroïde : entre les côtes deux et trois, à côté du sternum.
  • Les os : nous devons les tester avec le filtre ou la fiole

Il suffit maintenant de toucher le point NL correspondant à chaque organe afin de le localiser. Si l’AR disparaît en touchant ce point, alors il nous indique où se situe le métal lourd.

Le traitement sera déterminé par l’intensité de la toxicité et de la contamination du patient.

Dans les cas les plus graves, nous utiliserons l’homéopathie telle que l’EDTA (acide éthylène diamine tétraacétique), le DMPS (dimercaptopropane sulfonate) ou le DMSA (acide dimercaptosuccinique). Pour les cas moins graves ou intermédiaires, nous utiliserons des oligo-éléments tels que le sélénium ou le soufre ainsi que la médecine orthomoléculaire comme les acides aminés soufrés ou composés tels que le MSM ou l’ail. Dans le cas d’une contamination moins grave, nous utiliserons des plantes ou des algues telles que la chlorella ou le gingembre.

Les draineurs homéopathiques tels que le solidago, le berberis, le gallium, le toex et d’autres peuvent jouer un rôle fondamental dans les premiers stades de désintoxication, permettant de nettoyer le foie, le rein et le cerveau.

 

Angel Salazar (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

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