De nombreuses études prouvent l’importance de la vitamine C

Les vitamines antioxydantes, en particulier la vitamine C et la vitamine E, ont fait l’objet de recherches approfondies au cours des dernières années.

L’apport d’importantes doses supplémentaires de ces vitamines est une méthode efficace et sûre pour diminuer l’impact du vieillissement sur le corps.

Depuis 1951, près de 10 000 études ont été publiées sur la vitamine C, dans lesquelles l’utilisation de cette vitamine afin de vivre plus longuement et de prévenir ou de guérir des maladies telles que la maladie d’Alzheimer, le cancer ou des maladies cardiovasculaires, a été scientifiquement prouvée.

Dès 1960, Linus Pauling, deux fois Prix Nobel, recommandait l’utilisation de doses importantes de vitamine C ou acide ascorbique pour diminuer les symptômes du rhume et de la grippe.

Quelques années plus tard, Pauling a mené une étude sur des patients atteints de cancer en phase terminale, vérifiant qu’une administration quotidienne de 10 grammes de vitamine C par voie intraveineuse permettait à ces patients de prolonger leur période de survie de quelques mois à des années. Il a également constaté que de telles doses contribuaient à diminuer les douleurs atroces ressenties par les patients. Des recherches ont été poursuivies ultérieurement, obtenant des résultats favorables à cet égard.

L’être humain ne peut pas fabriquer de vitamine C par lui-même. De tous les mammifères qui marchent, nagent ou volent, nous appartenons au petit groupe qui ne synthétise pas la vitamine C à partir du glucose dans le foie. Voilà pourquoi il est si important de l’ingérer sur une base régulière.

Les animaux qui produisent de la vitamine C le faisant proportionnellement à leur poids corporel, l’équivalent chez l’être humain serait compris entre 10 et 12 grammes de vitamine C par jour, tandis que la dose quotidienne minimale recommandée pour un adulte est de 60 à 100 milligrammes.

Comme nous pouvons le constater, la dose recommandée de vitamine C se situe sous le seuil de ce que les autres êtres vivants synthétisent par eux-mêmes.

Outre l’action antioxydante connue de la vitamine C, de nombreuses autres réactions biochimiques nécessitent sa contribution, par exemple :

-Pour synthétiser le collagène, le tissu constituant nos os, la peau, les vaisseaux sanguins et même les muscles.

-Pour absorber correctement le fer ou notamment pour métaboliser le calcium.

-Son efficacité a été prouvée dans la lutte contre les infections virales et bactériennes.

En outre, selon des études récentes, il a été démontré que :

– Une dose de 500 milligrammes/jour peut diminuer la pression artérielle de 10 %.

– Des compléments de 1 000 milligrammes par jour peuvent contribuer à inverser les dommages provoqués par le cholestérol sur les vaisseaux sanguins. Autrement dit, elle améliore leur élasticité.

-De nombreuses études ont prouvé qu’elle protège également contre les accidents vasculaires cérébraux et les dommages qui en découlent.

-Des doses élevées allant de 1 000 à 10 000 milligrammes par jour contribuent à résister à la grippe.

-Les crèmes riches en vitamine C diminuent les fines rides et les rugosités typiques du vieillissement cutané, améliorant le tonus et le teint.

-Elles contribuent à prévenir l’ostéoporose (selon les données d’une étude réalisée sur des femmes d’âge moyen et d’âge mûr, la prise de compléments alimentaires leur permettait de présenter une densité osseuse beaucoup plus élevée que les autres).

Pour plus de détail sur les besoins en antioxydants de notre organisme, y compris de la vitamine C, nous pouvons effectuer un test kinésiologique en utilisant la fiole de radicaux libres du kit pour le test de base élargi. Las fioles de SOD et GPx d’un test du système endocrinien, ainsi que les fioles de vitamines et minéraux.