L’importance du zinc et comment tester sa carence en kinésiologie

Cet oligo-élément fondamental a été découvert en 1869 en tant que facteur indispensable à la croissance des plantes et a été isolé pour la première fois en 1886 dans des algues marines telles que le fucus. Il a ultérieurement été identifié dans des céréales, dans des légumineuses et dans près de 100 plantes comestibles à feuilles vertes.

Mais ce n’est qu’en 1950 qu’il a été révélé que nos cheveux et notre sang contenaient du zinc, vérifiant que de nombreuses personnes souffraient de graves carences.

Origine des carences

Le principal problème qui existe face à la carence en zinc par rapport à d’autres oligo-éléments est la difficulté à la diagnostiquer, les symptômes étant communs à d’autres maladies.

La carence est généralement due à un manque d’absorption du minéral, notamment chez les enfants et les personnes âgées.

 Les enfants nourris au lait artificiel présentent généralement des carences en zinc. Elles peuvent cependant être prévenues grâce à un apport en suppléments de minéraux ou à la consommation de lait enrichi.

L’alcool entraine également des carences, provoquant une élimination accrue. Il en est de même avec la prise continue de certains médicaments, et notamment de contraceptifs.

Pourquoi le zinc est-il si important ?

Le zinc est nécessaire au développement optimal d’importantes fonctions organiques. Et notamment, au fonctionnement adéquat de l’appareil génital, en particulier masculin, intervenant dans la formation du liquide séminal et dans le bon fonctionnement de la prostate.

Il protège également les acides nucléiques ADN et ARN ainsi que la membrane des cellules.

Il stimule le système immunitaire grâce aux lymphocytes T-4.

Il régule le pancréas, l’hypophyse et les organes génitaux.

Il est fondamental à la croissance des enfants.

Il conserve les glandes surrénales en bon état ainsi que leur adaptabilité.

Il conserve les organes du goût, de l’odorat et de la vision en bon état.

Il prévient le vieillissement prématuré.

Si une anomalie est constatée lors du test des organes dans quelque glande que ce soit, dans le pancréas ou dans l’hypophyse, il convient d’effectuer le test kinésiologique de carences afin de vérifier si le problème est attribué à un manque de zinc.

Certains des symptômes qui nous permettent d’identifier une carence sont :

Taches blanches sur les ongles.

Mauvaise cicatrisation des plaies.

Infections récurrentes.

Sens du goût peu développé.

Perte soudaine de l’odorat.

Anorexie

Retard de croissance.

Faible production de sperme

Stérilité masculine.

Chute de cheveux.

Anémie.

Il convient également d’effectuer le test de carences en minéraux et oligo-éléments afin de vérifier les taux de zinc, notamment chez les alcooliques, en cas de dysménorrhée, de maladies hépatiques et rénales, de stress, de diabète, de chute de cheveux, d’acné, et en particulier, en cas de troubles de la fertilité, d’impuissance ou de frigidité, le zinc étant reconnu comme étant l’oligo-élément de la reproduction.

Test kinésiologique de carences en minéraux et oligo-éléments

Afin de détecter le manque de minéraux, nous nous appuyons sur le témoin général de minéraux et oligo-éléments dans le kit pour le test de base élargi.

Si un problème est constaté dans la sphère chimique de notre patient, nous pouvons placer ce témoin dans le chakra du nombril. S’il modifie l’AR, nous serons face à une carence en minéraux ou oligo-éléments.

Afin de vérifier si nous sommes face à un cas de manque de zinc, nous fixerons l’information et utiliserons le filtre de zinc du kit de minéraux, si l’AR est à nouveau modifié, alors la personne présente une carence en zinc.

Analía Iglesias ( analia@sibuscas.com)

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