Les bienfaits de la méditation

Le prestigieux docteur et psychiatre de l’Université de Yale, Judson A. Brewer, a présenté fin 2011 les résultats de sa dernière étude concernant le cerveau des personnes pratiquant la méditation. Ces résultats l’ont laissé perplexe. En effet, l’interprétation des scanners attribuait à cette technique des bienfaits inattendus.

Ces études ont précisé ce qui avait été préalablement étudié entre 2007 et 2009 par le psychologue et neuroscientifique Richard J. Davidson de l’Université du Wisconsin, soit, que les bienfaits de la méditation sur le cerveau humain sont nombreux lorsqu’il s’y consacre de façon constante. La raison en est purement physique. En effet, il a été démontré qu’au cours de cette pratique, trois faits indéniables se produisent dans notre cerveau :

  • Dans un premier temps, l’activité de la DMN (réseau de neurones par défaut, pilote automatique du cerveau), un réseau associé aux troubles de l’attention, à l’anxiété, à l’hyperactivité, et même, aux zones où s’accumulent les plaques bêta-amyloïdes impliquées dans la maladie d’Alzheimer, diminue significativement. Moins cette zone est active, plus les chances de développer ces maladies sont faibles.
  • Puis, la région préfrontale gauche, responsable des émotions positives de joie, est activée.
  • Enfin, les personnes qui méditent développent par défaut un nouveau réseau de neurones, qui présente une conscience de soi et une conscience du présent plus fortes et des rêveries moins importantes.

Qu’est-ce que la méditation ?

L’académie américaine de médecine la définit comme un exercice mental de contemplation profonde, accompagné de moments de silence et de détente ainsi que d’un contrôle de la respiration. Mais c’est bien d’avantage encore. En effet, nous pensons qu’elle est étroitement liée à la prise de conscience de soi et au lien qu’a la personne avec le tout.

Les premiers documents écrits par des personnes pratiquant la méditation arrivent d’Inde, en 1500 avant J.C., bien que la pratique proprement dite ne fût pas théorisée avant l’année 600 avant J.C. dans les philosophies paulistes et bouddhistes de Chine. Au XIIe siècle, des techniques de contrôle de la respiration ont été introduites dans cette discipline. On estime qu’elle est aujourd’hui pratiquée par plus de 10 millions d’occidentaux.

Il existe plus de 40 sortes de méditation (selon l’école philosophique orientale), bien que trois, seulement, sont arrivées en occident :

  • La bouddhiste, qui consiste à garder l’esprit concentré sur le moment présent et à pratiquer le laisser-aller ;
  • La transcendantale, qui provient d’Inde et qui vise à diriger l’attention sur un objet ; et
  • La méditation par mantras, qui utilise la répétition d’une chanson ou d’une phrase pour concentrer l’esprit.

Le mindfulness a rejoint ces trois disciplines de base. Il s’agit d’une technique qui, selon le célèbre psychologue américain Daniel Goleman, utilise la respiration comme une aide afin de placer l’homme face à la dure réalité de son expérience, en vivant chaque événement comme s’il se déroulait pour la première fois.

Nous pouvons résumer les bienfaits suivants :

  • Bienfaits physiques : À long terme, elle augmente la densité neuronale, permettant ainsi au cerveau de rester jeune plus longtemps. En outre, le cerveau présente une rugosité plus importante, cet aspect étant associé à la capacité de traitement de l’information.
  • Elle aide le système cardiaque : En effet, elle réduit l’activité du système nerveux sympathique qui est responsable de l’augmentation de la fréquence cardiaque lorsque nous sommes victimes de stress, et elle augmente l’activité du système parasympathique qui contrôle la réduction de la fréquence cardiaque.
  • Elle aide à contrôler la douleur.
  • Elle améliore les compétences visuelles, en particulier la mémoire visuelle à court terme.
  • Elle renforce le système immunitaire : En effet, comme l’a démontré une équipe de biologistes du Wisconsin, elle augmente les émotions positives, facilitant ainsi une récupération plus rapide en cas de maladies.
  • Elle éloigne la dépression et contrôle les mauvaises habitudes chez les personnes qui ont tendance à la dépression. En effet, chez ces personnes, c’est surtout la région préfrontale droite qui est activée, alors que les personnes plus aptes à réguler leurs émotions utilisent plus activement la gauche. Elle augmente l’estime de soi et libère des endorphines, conduisant donc à un meilleur bien-être physique.

Il est toujours bon de méditer, mais la méditation sera particulièrement appropriée en cas de troubles du système nerveux ou de dystonie végétative. Cette fiole est disponible dans un kit de diagnostic de base.

 

Angel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma

La déshydratation

L’eau est le principal élément régulateur ou nutritif fonctionnel de toutes les réactions biologiques qui existent dans la nature. Elle est donc fondamentale à une nutrition appropriée ainsi qu’au fonctionnement adéquat des relations métaboliques.

L’eau est plus importante pour la vie que la nourriture solide. Une personne peut survivre plusieurs semaines sans manger, mais elle ne survivra que quelques jours sans eau. Il s’agit d’un élément essentiel du sang, de la lymphe, des fluides corporels (fluide extracellulaire) et des cellules corporelles (fluide intracellulaire). Plus de la moitié du poids d’un adulte (60 % chez les hommes et 54 % chez les femmes) est constitué de cet élément. Le milieu extracellulaire contient un tiers de l’eau totale du corps, y compris le plasma et le fluide occupant les espaces interstitiels. Le milieu intracellulaire contient, quant à lui, les deux tiers restants. Une communication adéquate entre les cellules n’aura lieu que si l’hydratation est appropriée. Si tel n’est pas le cas, une maladie surviendra.

L’eau est le milieu universel. Tous les organes ont ainsi besoin de ce liquide pour fonctionner. Elle est impliquée dans la digestion, l’absorption, la circulation et l’excrétion. Elle est fondamentale dans la régulation de la température du corps et joue un rôle important dans les fonctions mécaniques, servant de lubrifiant aux articulations et permettant le déplacement des viscères dans la cavité abdominale. Les déchets et les toxines des tissus sont transportés jusqu’au sang dans des solutions aqueuses dont la teneur en eau atteint les 80 %, pour ensuite être expulsés par l’urine, contenant plus de 90 % d’eau.

L’eau joue un rôle fondamental dans les sucs digestifs qui sont sécrétés par les glandes, dans le transport des enzymes jusqu’à l’appareil digestif et dans le transport des nutriments digérés vers le sang et la lymphe. Plus de 4 litres d’eau circulent en permanence dans le sang. Le rein a besoin de grandes quantités d’eau pour transporter les toxines ou les déchets dissous.

Au niveau du système respiratoire, l’eau fluidifie les mucosités, dans le système urinaire, elle favorise une diurèse adéquate, dans le système digestif, elle maintient les selles pâteuses et favorise donc une défécation appropriée, et au niveau cutané, elle contribue aux processus de purification (boutons, eczéma, urticaire, etc.), canalisant l’élimination des substances toxiques par les émonctoires corporels.

Le corps perd de l’eau à travers quatre voix :

  • À travers la peau, sous forme de transpiration,
  • À travers les poumons, sous forme de vapeur d’eau
  • Dans l’air expiré, à travers les reins, sous forme d’urine, et
  • À travers les intestins, sous forme de selles.

La perte d’eau quotidienne varie entre 1,8 et 2,8 l d’eau, en fonction de la constitution, du climat et de l’activité de la personne.

Il convient donc de boire au moins 4 à 6 verres d’eau par jour, soit entre 1 et 1,5 l d’eau, pour le fonctionnement adéquat des fonctions organiques. La quantité d’eau restante est absorbée à travers les aliments, par le biais de fruits et de légumes, ainsi que de la nourriture que nous mangeons. Il est donc conseillé de consommer des aliments à forte teneur en eau, riches en eau physiologique. Ils doivent faire partie intégrante de notre alimentation quotidienne dans une proportion significative, et notamment les légumes et les fruits frais, les légumineuses et les graines.

Une fois ingérée, l’eau est rapidement absorbée à travers le tube digestif, pour atteindre ensuite le sang et la lymphe. Au niveau du côlon, il reste donc un surplus suffisant contenant les déchets alimentaires ce qui facilite leur évacuation correcte.

Test

Afin de vérifier s’il y a déshydratation, nous tirerons doucement les cheveux du patient. Si ce test donne un AR (Arm Reflex), il témoigne d’un manque d’eau. Si tel est le cas, le test des indices photoniques entrainera également des troubles. En effet, il est basé sur la communication adéquate des cellules. En cas de déshydratation, ce test peut nous indiquer que les produits ne sont pas adéquats, lorsque le problème est que le corps du patient manque d’eau. Ce test doit donc être le premier à effectuer.

Un manque d’eau sera également indiqué si plusieurs muscles tremblent lorsqu’ils sont testés en effectuant la roue musculaire. Il est important de compenser cette déshydratation avec de l’eau non contaminée, jamais l’eau du robinet et de préférence de l’eau pure.

 

Angel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

Les déséquilibres de l’immunité

Les déséquilibres de l’immunité.

Il existe cinq types de déséquilibres du système immunitaire :

Immunité déficiente : c’est notamment le cas de ces enfants ou adultes qui sont constamment malades, qui à peine remis d’une maladie en contractent une autre. Ils doivent urgemment reconstruire leurs défenses immunitaires, faute de quoi le processus de toute maladie ne fera qu’empirer.

Immunité exubérante : elle se produit lorsque la réaction de défense immunitaire est accélérée. Face à un agent agresseur, la réponse immunitaire est disproportionnée par rapport à l’attaque. Les allergies, l’arthrite et les rhumatismes en sont des exemples pertinents. Cette situation est causée par un excès de PGE2 (prostaglandine E2) et un déficit de PGE1 (prostaglandine E1). Le corps met en action des moyens de défense immunitaire qu’il n’est plus capable de contrôler par la suite.

En présence d’un déficit d’acides gras essentiels, l’action qui freine la PGE1 disparaît, laissant le champ libre à la PGE2 qui ne peut plus être régulée.

Immunité aberrante : elle se produit lorsqu’un tissu retient les agents agresseurs (toxines) dans des cellules. Parfois, le corps ne reconnaît plus ce tissu comme faisant partie intégrante de lui-même, mais au contraire, il le reconnaît comme étant un agent agresseur. Étant un étranger, le corps doit le détruire. Il fabrique donc des anticorps contre ses propres cellules ou tissus. C’est ce qui se passe dans les maladies auto-immunes : la myopie, la sclérodermie, le lupus érythémateux, la sclérose en plaques, le diabète, la maladie de Parkinson, et d’autres.

Immunité dévoyée ou perverse : elle se trouve dans un premier temps dans les tumeurs bénignes, puis dans les tumeurs malignes (cancer).

Immunité perdue : le sida : en découle l’absence de défense ou l’anergie. Pour le docteur Kousmine, le sida fait partie de la suite logique des perturbations provoquées par nos erreurs alimentaires.

Le déséquilibre du système immunitaire commence dans le tube digestif. En effet, la muqueuse intestinale se compose d’une unique couche de cellules qui représente une surface d’environ 250 à 400 m2 et une épaisseur de 25 millièmes de millimètre.

Les plus de 100 trillions de bactéries contenues dans l’intestin dans des circonstances normales ne sont pas nuisibles, bien au contraire. Mais si cette flore est déséquilibrée, elles peuvent causer des maladies d’origine immunitaire. Pour que cet équilibre soit maintenu, notre propre corps se charge de renouveler tous les 4-5 jours notre muqueuse. À cette fin, le corps a besoin des matériaux nécessaires. D’où l’importance d’une alimentation saine et complète. En effet, l’étanchéité de la paroi intestinale dépend de l’apport suffisant en acides gras essentiels.

En temps normal, un faible passage d’agents infectieux depuis l’intestin vers le sang et la lymphe a lieu avant que le foie ne se charge de la détoxification de ces substances. Pour remplir ce rôle d’élimination des agents infectieux ou toxiques, le corps dispose en outre d’émonctoires qui visent à expulser les déchets du corps vers l’extérieur :

  • La peau par la transpiration
  • Les poumons par la respiration
  • Le système urogénital par l’urine et les menstruations
  • Le sang par la circulation lymphatique et sanguine
  • Les  intestins par les matières fécales.

Ces organes émonctoires sont de véritables vannes de décharge. Si le foie est débordé lorsque les émonctoires dysfonctionnent ou ne fonctionnent pas, le corps devra nécessairement utiliser d’autres mécanismes de décharge pour survivre. Commence alors le processus chevauchant de la maladie, qui à moins d’être stoppé dès ses balbutiements, conduit à une maladie dégénérative chronique. Cette maladie sera de nature allergique, arthritique rhumatismale, auto-immune, une tumeur bénigne ou maligne, et le sida.

Test

Un fiole existe, celui de l’auto-immunité: allergie inyectopase de Pascoe. Mais nous devons vérifier d’autres fioles telles que celle du système immunitaire intestinal, de la muqueuse intestinale, du réticulum endothélial et de la lymphe, entre autres, appartenant toutes à un test de base.

Traitement: Les produits nécessaires pour équilibrer le système immunitaire sont : la vitamine C, la vitamine A, la vitamine E, la vitamine P (bioflavonoïdes), la vitamine B6, la vitamine B12, l’acide folique, la vitamine F, l’huile d’onagre, l’huile de bourrache, l’huile de poisson, huile de lin, l’échinacée, le propolis, la gelée royale, le germanium, le sélénium, le fer, le magnésium, le cuivre-or-argent, entre autres.

Les autres tests qui prouvent que le système immunitaire va mal sont : switching,  thymus, glandes surrénales, moelle osseuse ou la rate.

 

Angel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma

Sutures crâniennes

Dans le domaine structurel, l’un des principaux troubles crâniens se situe au niveau des sutures. En effet, les os du crâne bougent, et le blocage de ce mouvement, pour quelque raison que ce soit, peut provoquer des problèmes de santé. L’absence de mouvement des nombreux os du crâne peut perturber le reste du corps.

Jusqu’à l’âge de 6 ans, le tissu des sutures crâniennes demeure spongieux et mobile. Au cours de cette période, ce sont les membranes intracrâniennes qui apportent stabilité au crâne. À partir de l’âge de six ou sept ans, ce tissu devient plus rigide. Il commence alors à jouer un rôle dans la stabilité, tout en permettant la mobilisation et l’adaptation des os du crâne. Cette étape de suture perdure jusqu’à des âges avancés.

Le développement des sutures dépend principalement des forces de traction et des contraintes qu’elles reçoivent. Ces contraintes sont produites par le mouvement des os du crâne eux-mêmes et par les tensions musculaires. Les sutures ont comme rôles principaux de :

  • Permettre une mobilité minimum mais vitale du crâne ainsi que sa croissance.
  • Permettre, conjointement aux membranes, la liaison et la fixation des différents os du crâne.
  • Fournir résistance et protection face aux influences mécaniques (chocs, chutes, etc.).
  • Permettre le passage par le canal utérin, grâce à la mobilité et à la flexibilité lors de l’accouchement.

Test des sutures

Test général pour savoir si une suture est bloquée : le patient pose ses doigts sur la suture pariétale. Pour déterminer si le blocage est prioritaire, le patient doit inspirer tout en étirant ses bras. Si l’AR est modifié, il indique qu’il s’agit d’une lésion primaire. En cas contraire, il s’agit d’une lésion secondaire (il peut également être observé avec le Mudra).

Traitement structurel des sutures

Pour le traitement structurel d’une suture, nous poserons deux doigts d’une main sur le point essentiel de la suture, un de chaque côté, et deux doigts de l’autre main (thérapie de polarité)  sur le côté opposé par rapport à la tête. Nous exercerons une légère pression avec les deux doigts placés sur la suture. Avec les deux doigts situés sur le côté opposé, nous enverrons mentalement de l’énergie à cet axe, comme si nous souhaitions débloquer la suture.

Il est conseillé de traiter tout défaut crânien avec un traitement ostéopathique. En effet, ils ne sont pas  facilement solutionnables, et seule une personne ayant des connaissances en ostéopathie est apte à les résoudre.

 

Traitement général des défauts crâniens

Pour tous ces types de défauts, un traitement général existe :

Le patient touche le point 20 VG et le thérapeute touche les neuro-vasculaires (NV) des fléchisseurs du cou (au niveau de l’angle de la mâchoire, à hauteur de la bouche) et traite les neuro-lymphatiques du même muscle (NL) avec l’autre main, mais de l’autre côté (entre les côtes 1-2 à 3 et 1/2  » du sternum). Ce traitement est efficace si le défaut crânien est prioritaire. Il sera effectué de façon bilatérale.

Il existe une autre façon plus générale de résoudre les troubles crâniens : elle consiste à respirer 12 à 20 fois dans un sac en plastique. Ceci contraindra les sutures crâniennes à s’ouvrir, par augmentation de la pression intracrânienne provoquée par une vasodilatation des artères du crâne, afin de se défendre contre l’agression déclenchée par l’absence d’oxygène dans le sang. Dans ce cas, le patient doit être étroitement surveillé afin de s’assurer qu’il n’est pas victime d’étourdissements.

 

Angel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

Le lien entre cancer et obésité

Cancer et obésité ont un lien très clair, la toxicité. Le corps est une machine fantastique particulièrement complexe et très bien synchronisée. Le déséquilibre d’une zone a donc un impact direct sur un organe ou un ensemble de tissus qui lui sont associés. Lorsque les substances chimiques pénètrent dans le sang, leurs composants nocifs sont stockés dans les organes et les tissus les plus faibles et les plus vulnérables. En effet, ces derniers n’ont plus la capacité de se débarrasser de tous ces composants.

Les organes affaiblis sont endommagés ou tombent malades, pour finalement commencer à dysfonctionner. Il en résulte des kystes, une résistance à l’insuline, des maladies pulmonaires et rénales, des calculs biliaires, des troubles du système immunitaire (65 % de notre système immunitaire étant dans les intestins), une inflammation chronique, des troubles hormonaux, et ainsi jusqu’au développement d’une tumeur.

Même si cela se produit, il est toujours possible de renverser ce processus. En effet, le surpoids et l’obésité proviennent d’une « crise de toxicité », un état dans lequel l’individu ne peut plus faire face à la surcharge toxique.

Lorsque cela se produit, les toxines utilisent le tissu graisseux en tant que refuge, permettant ainsi à notre corps de se tenir à l’écart des plus grands maux, soit, en stockant l’excès de déchets métaboliques et autres toxines. En stockant ces substances dans les cellules adipeuses qui ont un faible taux métabolique, le corps conserve ses poisons à l’écart du flux sanguin, de sorte qu’ils ne peuvent pas atteindre d’autres tissus et organes.

Les personnes obèses abritent sans aucun doute une accumulation interne toxique et polluée menant à la congestion d’autres organes et systèmes. C’est donc l’ensemble du corps qui souffre et qui commence à dysfonctionner. C’est pourquoi nous avons souvent pu constater personnellement qu’il est particulièrement difficile de maigrir une fois un certain point atteint. Après nous être libérés de ces kilos superflus, c’est comme si la graisse ne voulait plus partir. C’est une conséquence du système surchargé en toxines, ou d’un corps ayant une importante obésité, tous les organes du corps entrent en dormance, et le processus naturel de fonctionnement pour lesquels ils sont prévus commence à s’altérer.

Ils perdent également leur capacité à métaboliser et à traiter efficacement les graisses. Cela se traduit aussi à l’échelle cellulaire : le métabolisme cellulaire ralentit en raison d’une grande difficulté à métaboliser les différents éléments qui arrivent, rendant les processus d’élimination et de production d’énergie plus difficiles pour la cellule. Cela se manifeste chez la personne par un état de léthargie et de fatigue constante.

L’ensemble du processus crée un cercle vicieux dans lequel l’excès de toxines conduit à l’obésité, l’excès de graisse et de cellulite ralentit le métabolisme, entrainant alors une prise de poids plus importante.

Test

Le surpoids nous indiquera que ce processus est en cours, mais nous devrons également étudier les habitudes alimentaires et le mode de vie de notre patient. Il est fréquent qu’une mauvaise alimentation, certaines intolérances alimentaires, un mauvais état du foie et des intestins, une vie sédentaire, le stress et un faible état hydrique se combinent. Ce sera une bombe à retardement et le patient entrera dans un cercle vicieux duquel il sera difficile de sortir.

Nous pouvons être face à une situation de blocage ou d’isolement d’un organe que nous devons supprimer. Nous pouvons utiliser un kit d’organes, en vérifiant notamment l’état des organes émonctoires et du système lymphatique, ou les fioles de pré-cancer et de cancer d’un test basique. Il sera également nécessaire de déterminer quels aliments doivent être supprimés du régime alimentaire de notre patient et quelles recommandations sur son style de vie il doit suivre, telles que faire de l’exercice, s’hydrater de façon adéquate et éliminer les produits toxiques et les protéines animales, etc.

 

Angel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

Test de l’articulation temporo-mandibulaire (ATM)

Les symptômes qui témoignent d’un éventuel dysfonctionnement de l’articulation temporo-mandibulaire (ATM) sont les suivants : craquement de la mâchoire, ouverture irrégulière de la mâchoire et douleur de la mâchoire. 50 % des cellules sensorielles et motrices du cerveau sont consacrées à la zone de l’ATM. En d’autres termes, 50 % des messages cérébraux sont filtrés à travers cette zone. L’ATM fonctionne donc comme un ordinateur, en indiquant au corps ce qu’il doit faire. Ainsi, il est particulièrement important de tester et de corriger l’ATM. Une attention particulière lui sera, de ce fait, accordée.

Test général

Le patient effectue une TL (thérapie de localisation) au point 24 VC (point du menton). S’il donne un AR, alors un trouble de l’ATM existe. De même, si le patient touche l’articulation temporo-mandibulaire, et s’il donne un AR, nous rechercherons quelle articulation spécifique donne cet AR, puis nous fixerons l’information.

Nous effectuerons le traitement structurel des muscles hypertoniques impliqués dans le trouble de l’ATM. En effet, ils représentent 80 % des troubles de l’ATM. Des tests spécifiques seront réalisés afin de repérer concrètement quel muscle est à l’origine du trouble. Les trois principaux troubles se produisent lors de l’ouverture de la bouche, en mordant et en mâchant.

Tests spécifiques

  • Le patient ouvre la bouche et nous testons. S’il supprime l’AR, alors un trouble existe. En effet, le muscle ptérygoïdien est hypertonique. Or, le muscle ptérygoïdien se situe au fond de la bouche. Il peut donc uniquement être soigné avec un doigt. L’origine et l’intégration étant alors inaccessibles, c’est le centre du muscle qui sera soigné. En ce qui concerne le traitement structurel, les anneaux en spirale sont pincés afin de les détendre avec un seul doigt équipé d’un protège doigt, en appuyant très rapidement d’un côté et de l’autre, tel un tourniquet. Le point se situe derrière la dernière molaire de la mâchoire supérieure.
  • Le patient mord et nous testons. S’il supprime l’AR, il indique un trouble dans lequel deux muscles sont impliqués, le buccinateur et le masséter. Le traitement structurel est effectué en pinçant simultanément le ventre des deux muscles, le buccinateur et le masséter, du côté atteint. L’un est appuyé rapidement et fortement en direction de l’autre (au centre du visage).
  • Le patient mâche et nous testons. S’il supprime l’AR, alors un trouble existe. En effet, un muscle temporal est hypertonique. Nous traiterons alors le temporal hypertonique. À cette fin, nous pincerons en suivant un X au dessus et autour de l’oreille. Ce muscle est souvent impliqué dans les craquements de la mâchoire. Si un trouble a été révélé à ce niveau, il serait souhaitable de recommander au patient d’effectuer quotidiennement le traitement du temporal.

C´est possible, c´est nécessaire de consulter un dentiste spécialise en le traitement de la réhabilitation neuro-occlusale, l’orthopédie fonctionnels de la mâchoire etc. Il peut être nécessaire dans certains cas, prescrire une attelle dentaire, pour corriger les problèmes structurels, si non,  le patient peut continuer à être affecté.

Angel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.

Traitements à l’eau de mer

Les cellules de notre corps sont entourées d’un liquide, le liquide interstitiel. Nous savons aujourd’hui que l’eau de mer contient plus de 75 éléments chimiques du tableau périodique des éléments de Mendeleïev. Tous sont essentiels au bon fonctionnement de notre organisme. Parmi eux, il convient de souligner le sodium, le plus abondant, qui, avec le potassium, est responsable de la régulation de la quantité d’eau présente dans nos tissus ; le calcium, qui participe à la formation des os et qui contribue activement à de nombreuses réactions métaboliques, telles que celles qui facilitent la contraction musculaire et la coagulation du sang ; le magnésium, qui est en charge de réguler le métabolisme du calcium ; le silicium, qui est un élément essentiel des os, des ongles et des cheveux, en plus d’agir sur le système immunitaire ; et l’iode, qui est l’élément le plus spécifique de l’eau de mer.

Le pH de l’eau salée est de 7,2, soit le même que celui du corps humain. Les globules blancs peuvent y vivre parfaitement. Au contraire, le pH de la solution saline couramment utilisée est de 5,5 (acide).

Au Canada et dans d’autres pays (hors Europe), il est même légal de l’injecter. Au XXe siècle, le scientifique français René Quinton (1867-1925) a révélé les propriétés curatives de l’eau de mer lors de la publication de sa célèbre Méthode marine. Il a sauvé des milliers d’enfants mourants en leur injectant de l’eau salée. Un monument a été construit en sa mémoire et il a été nommé Officier de la Légion d’Honneur. Elle était prescrite en France par la sécurité sociale jusque dans les années 80, soit avant l’interdiction d’injecter toute substance non stérilisée. En effet, l’eau de mer perdant ses propriétés au delà des 40 degrés Celsius, elle ne pouvait plus être utilisée.

Mariano Arnal, dans son livre « Comment boire de l’eau de mer », parle de ses excellentes propriétés, et en particulier :

  • Alcalinisante / régulatrice du milieu interne.
  • Désinfectante et cicatrisante.
  • Détoxifiante et dépurative. Pour les nettoyages intestinaux propres au yoga (Shank Prakshalana).

Dans son livre, Mariano Arnal explique que si l’on considère que la quantité recommandée est de 9 grammes de sel par jour, et que la quantité de sel par litre d’eau de mer est de 36 grammes, la quantité d’eau de mer recommandée est donc de ¼ de litre d’eau de mer avec ¾ de litre d’eau ou de jus.

TEST

Nous utiliserons un témoin de sel de mer naturel. S’il donne un AR, nous testerons en changeant d’indicateur :

  • Plusieurs témoins à différentes concentrations de sel de mer dans de l’eau minérale (1 g/l, 3 g/l, 6 g/l, 9 g/l.).
  • Quelle quantité d’eau en concentration idéale doit être consommée quotidiennement en ml ?.
  • Combien de temps le traitement doit-il être poursuivi ?

Des fioles ou des flacons vides seront utilisés à cette fin. Ils seront remplis d’eau de mer aux concentrations susmentionnées ou d’eau pure et de sel de mer non raffiné.

Dans la pratique, nous constaterons que les clients ont généralement besoin de moins d’un litre par jour à des concentrations beaucoup plus faibles que celles recommandées par Mariano Arnal. Dans la plupart des cas, ceci est dû à la consommation excessive de sel raffiné. Nous recommanderons son élimination totale du régime du patient. Nous testerons alors à nouveau passé un délai minimum de 21 jours.

 

Maria Josefa Obiol Saiz.

Collaboratrice Kinepharma.

 

Bases du régime paléo applicables à la kinésiologie

Le Docteur Loren Cordain a publié en 2002 le livre « Le régime paléolithique ». Il y décrit la façon dont le régime suivi par nos ancêtres obtenait d’excellents résultats dans toutes sortes de maladies, ainsi que dans les processus inflammatoires. Cette interprétation se fonde sur le raisonnement logique et simple qui consiste à penser que le meilleur régime pour l’homme est celui auquel nous sommes les mieux adaptés génétiquement. Voici comment il peut s’appliquer à nos traitements de kinésiologie.

Le régime paléo est une approche nutritionnelle fondée sur la biologie évolutive. Il recommande un régime similaire à celui que l’homme suivait dans un environnement naturel, à base de viande, de poisson et de fruits. Ils soutiennent que l’homme a un système digestif adapté à ce type d’alimentation depuis 190 000 ans, et non au type actuellement prédominant, provenant de l’agriculture, qui a seulement 7 000 ans d’ancienneté.

Le régime paléo déconseille :

  • La consommation de céréales. Le gluten des céréales contient de la gliadine, une protéine que les graines utilisent en tant qu’arme biochimique contre leurs prédateurs. Elle est toxique pour l’homme, lui conférant une perméabilité intestinale qui est la principale cause du déclenchement d’inflammations chroniques associées à des maladies auto-immunes telles que le cancer, les troubles cardiaques et articulaires.
  • La consommation de légumineuses. Ils soutiennent que l’homme n’est pas évolutivement préparé à exploiter leurs protéines, contrairement à l’opinion macrobiotique qui indique qu’elles sont assimilées si elles sont consommées en association avec des céréales.
  • Le fructose et les sucres raffinés. Ils sont les principales responsables des processus inflammatoires. Le glucose, vital pour les organes tels que le cerveau, peut être synthétisé par l’organisme à partir de la graisse animale, par le processus de néoglucogenèse.
  • L’alcool, le vinaigre, les produits raffinés et le sel.

Le régime paléo recommande :

  • La consommation de tous les types de légumes. Ils seront consommés en tant que base de notre alimentation, représentant la source du peu de glucides consommés et de micronutriments (vitamines, minéraux, etc.). Le riz blanc et les pommes de terre sont les seuls glucides autorisés.
  • La consommation de protéines animales (viande, poisson et œufs) et de fruits secs. Ils sont denses en calories, stimulent une production minimum d’insuline et représentent une source idéale de protéines et de graisses saines. Il est également important de garder à l’esprit que le pourcentage d’acides gras essentiels est plus élevé chez les animaux libres, notamment d’acides gras oméga-3 qui encouragent les processus digestifs. Cependant, nous ne nous associons pas à cette recommandation, bien au contraire. Selon nous, il est préférable de ne pas se nourrir de protéines animales et de consommer à la place des protéines végétales.
  • Consommation modérée de fruits. De préférence, les plus acides.

Il ne pourra jamais peut être établi quel est le meilleur régime à suivre par l’ensemble de la population. Cependant, une ligne claire nous indique de consommer en abondance les aliments les plus naturels et les moins transformés, à base de produits végétaux. Chaque personne est différente, a des déséquilibres et des besoins différents. En kinésiologie, nous utiliserons le test de base et le test d´allergies alimentaires, lors des recommandations faites pour un traitement nutritionnel, en testant tous les aliments, et en obtenant ainsi une orientation claire de ce que devrait être le régime alimentaire de notre client.

 

Maria Josefa Obiol Saiz.

Collaboratrice Kinepharma.

Protéine animale vs protéine végétale

En comprenant le terme DIGESTIBILITÉ comme la facilité d’un aliment à être digéré, la protéine animale est plus digestible que la protéine végétale. Elle a un haut contenu en acides aminés essentiels et une bonne assimilation du fer lors de son ingestion. La protéine végétale est moins digestible. Il faut savoir les cuisiner et les combiner avec des hydrates de carbone de bonne qualité pour profiter de leurs nutriments sans causer de déséquilibre. On combine des céréales intégrales avec des légumes, avec une proportion de 3 parts de céréales et 4 de légumes, selon l’alimentation énergétique et 1 part de légumes pour 3 de céréales selon la macrobiotique, en obtenant ainsi une haute valeur protéique. Il est recommandé de tester la proportion selon chaque patient.

La protéine animale requière une haute consommation d’énergie et de minéraux pour sa digestion au contraire de la protéine végétale qui est digérée avec un effort moins important. La protéine végétale a un haut contenu en minéraux et vitamines qui ne produisent pas une telle « acidité biologique » une fois métabolisée. La protéine animale requière des minéraux pour sa métabolisation et contient peu de minéraux, de vitamines, de fibres et d’antioxydants.

La digestion de la protéine animale produit une putréfaction dans les intestins au lieu de la fermentation et cela contribue à la perte de la flore intestinale bonne (Bacillus Acidophilus) au contraire de la protéine végétale étant donné qu’il s’agit de protéines « propres ».

La protéine végétale est composée majoritairement de graisses non saturées et la protéine animale contient beaucoup de graisses saturées qui se convertissent facilement en cholestérol.

La protéine animale contient de hauts niveaux en acide urique en raison de son haut contenu en acides aminés. Ceux-ci n’étant pas tous utilisés, ils deviennent toxiques en se transformant en urée. La protéine végétale ne produit pas autant d’éléments toxiques, par conséquent, elle ne surcharge ni le foie ni les reins. De plus, la protéine animale contient des antibiotiques, des hormones, des pesticides, des herbicides et des conservateurs qui intoxiquent notre corps.

Au niveau énergétique, la protéine animale produit un effet de contraction et de blocage très important à nous les niveaux. Chaque patient est différent et, malgré tout ce qui a été dit, il y a des personnes qui se remettent avec un style de régime basé sur la protéine animale, comme le régime paléolithique.  Nous parlerons de ceci dans d’autres circonstances.

Grâce à un Test d´allergies alimentarires à tester sur le patient, on peut déterminer quelle protéine (animale ou végétale) convient le mieux à celui-ci, selon ses caractéristiques spéciales, en pouvant l’ajuster plus, en déterminant, par exemple, si la protéine animale dont il a besoin est de la viande de volaille, celle-ci étant plus digestible que la viande bovine ou si les protéines d’origine végétale seraient plus bénéfiques.

Comme nous l’avons déjà vu dans des articles précédents de Kinepharma « l’épaississement du sang« , nous recommandons, en général, une ingestion faible de protéines, de moins de 20 % du total de ce qui a été ingéré et, dans la plupart des occasions, de protéine dérivée d’aliments végétaux que nous consommons, nous sentirons alors un changement notable de notre qualité de vie.

 

Maria Josefa Obiol Saiz.

Collaboratrice Kinepharma.

Application de la géométrie sacrée en kinésiologie

La géométrie sacrée est une méditation destinée au côté logique de notre cerveau, l’hémisphère gauche. C’est le langage symbolique des forces de la création de l’univers. Elle contribue à comprendre mentalement ce que nous savons déjà intuitivement grâce au côté droit de notre cerveau. Les polyèdres, placés dans certains organes, dans les chakras ou dans les corps auriques, réorganisent l’énergie de ces organes et de ces chakras, et donc, de l’ensemble de l’organisme.

Le Cube

Il représente l’élément terre et est associé au chakra racine. Il est la matière, il est le corps, il est la cellule.

Le cube composé, dont l’intérieur contient un octaèdre, est la figure appropriée pour extraire l’énergie d’une partie du corps. L’octaèdre dont l’intérieur contient un cube, l’octaèdre composé, transférera où nécessaire l’énergie extraite avec le précédent, en testant où elle doit être transférée.

L’icosaèdre

Il est associé à l’élément eau, et donc, aux émotions. Il correspond au chakra sexuel.

Il représente l’esprit ou l’astral. Dans le corps physique, il agit sur le système nerveux.

L’icosaèdre dont l’intérieur contient un dodécaèdre représente la volonté intégrant l’amour. C’est le système nerveux contrôlant le système circulatoire. Il renforce alors le désir d’action et de vie, et dès lors, il contracte le système circulatoire en ralentissant les hémorragies et en encourageant la coagulation.

L’octaèdre

Il est associé à l’élément AIR et correspond au chakra cœur.

C’est ce que nous mobilisons, le corps éthérique, l’interstice qui entoure la cellule, qui la nourrit et qui récupère ses déchets pour qu’ils soient éliminés. S’il s’agit d’un octaèdre composé, il transporte l’information de l’interstice à la cellule, extrait l’énergie du corps éthérique et la transfère au physique.

Le tétraèdre.

Il représente l’élément FEU et correspond au chakra du plexus solaire.

Il sert à donner une directionnalité à l’énergie, vers le haut, vers le bas ou vers les côtés. C’est l’intelligence active. Dans le corps physique, il est la représentation géométrique du tissu conjonctif ou collagène.

Le dodécaèdre

Il est associé au cinquième ÉLÉMENT ou Prana. Il correspond au sixième, au septième, et aux chakras supérieurs du champ subtil et causal.

Il s’agit de la représentation géométrique de l’ADN qui prend en compte le pouvoir féminin de la création qui nous relie à l’amour inconditionnel.

Il harmonise et distribue l’énergie. Il régit le système circulatoire.

La fleur de la vie

Elle est le modèle mère de la géométrie sacrée. C’est de là que partent tous les modèles que la nature utilise pour créer tout ce qui existe.

Lors de son application, afin d’éviter les éventuelles interférences, il peut s’avérer utile de retirer les montres, les boucles d’oreille, les métaux ou les bijoux. Cette thérapie peut être complétée avec d’autres, telles que les aimants, les pierres, les bijoux ou d’autres formes. Nous testerons kinesiológicament de laquelle le patient a besoin, à quel endroit et combien de temps. À cette fin, nous utiliserons le kit des solides platoniques.

 

Maria Josefa Obiol Saiz.

Collaboratrice Kinepharma.

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