Qu’entend-on par diathèses et quelle est leur importance pour notre santé?

L’oligothérapie est basée sur l’étude des oligo-éléments nécessaires pour atteindre le rétablissement de la santé en fonction du terrain organique de chaque personne.

Les oligo-éléments, en dépit d’être présents en faible quantité dans notre organisme, sont des compléments indispensables à la réalisation correcte de toutes les réactions chimiques qui permettent à notre organisme d’effectuer toutes et chacune de ses fonctions.

Ils simplifient le travail des enzymes en charge de provoquer ces réactions. Toutes ces réactions chimiques constituent le métabolisme de notre corps.

Chacun de nous avons des métabolismes différents. En d’autres termes, les réactions enzymatiques ou métaboliques se produisent de façon différente.
La vie du corps humain n’est autre que le résultat des petites vies des innombrables cellules qui le composent. Le rôle de chaque cellule est de continuer à remplir son propre cycle de vie, dès lors que son milieu de vie est favorable.

Les caractéristiques biologiques, génétiques et psychologiques spécifiques qui nous définissent en tant qu’individu, permettront à nos enzymes et aux cellules de notre corps de travailler dans un sens ou dans un autre. En d’autres termes, tous ces facteurs individuels constituent ce qui est connu comme étant le terrain organique.

En fonction des caractéristiques de notre terrain organique, nous aurons plus ou moins de facilité à rester en bonne santé ainsi qu’une plus ou moins grande prédisposition à développer certaines maladies ou certains dysfonctionnements de l’organisme.

Le Dr Menétrier s’est penché sur l’étude du terrain de chacun de ses patients, afin de déterminer le traitement approprié à leur maladie.

Il a mené une recherche empirique sur les propriétés thérapeutiques des oligo-éléments à l’Institut Pasteur de Paris. À cette fin, il a systématiquement prescrit des oligo-éléments donnés à des groupes homogènes de patients, soit, à des groupes de patients ayant des terrains organiques similaires, vérifiant que pour une même maladie, les mêmes oligo-éléments n’avaient pas le même pouvoir guérisseur.

Par conséquent, les réponses positives au traitement aux oligo-éléments ne pouvaient pas être uniquement associées à des problèmes de carences de ces derniers, mais ceux-ci entretenaient certainement une étroite relation avec le terrain organique de chaque patient.

Menétrier a baptisé les 4 groupes homogènes de ses recherches par le terme de diathèse, qui fait référence à la prédisposition à contracter une pathologie donnée, en fonction de facteurs héréditaires, de la réceptivité ou de la résistance à certaines maladies, ainsi que du comportement physique et psychologique.

Les quatre diathèses ont bien répondu au traitement avec des sels dilués de manganèse, manganèse-cuivre, manganèse-cobalt et cuivre-or-argent. Ainsi :

La diathèse 1 correspond au manganèse.

La diathèse 2 correspond au manganèse-cuivre.

La diathèse 3 correspond au manganèse-cobalt.

La diathèse 4 correspond au cuivre-or-argent.

De même, nous pouvons faire une subdivision :

–        Les diathèses 1 et 2 sont considérées comme les « diathèses jeunes ». En effet, les personnes qui font partie de ce groupe homogène présentent des signes de vitalité et de capacité d’auto-défense aussi bien organique que psychologique.

–       Les diathèses 3 et 4 sont connues pour être les « diathèses vieilles ». En effet, elles sont propres aux personnes qui présentent une usure des systèmes de défense ainsi que des structures de leur organisme.

Ainsi, durant l’enfance et pendant la jeunesse, on correspond généralement aux deux premières diathèses, avec une tendance à passer aux deux autres tout au long de notre vie.

Si nous régulons le métabolisme avant qu’un dysfonctionnement ne devienne préjudiciable, nous pourrons rester dans les deux premières diathèses pendant plus longtemps.

Nous devrons généralement encadrer la personne dans deux diathèses, la première étant celle qui lui correspond par essence, et la seconde, celle qui correspond au moment précis de sa vie.

Grâce à un test de kinésiologie, nous pourrons déterminer précisément la diathèse qui prédomine chez chaque patient et lui recommander le traitement le plus efficace dans chaque cas.

Dans notre précédent article intitulé « Diathèse en kinésiologie » vous pourrez en apprendre plus sur la façon de diagnostiquer les diathèses et approfondir chacune d’entre elles.

Analía Iglesias (analia@sibuscas.com)

Kinepharma

Comment les émotions négatives peuvent-elles causer des maladies physiques ?

L’équilibre psycho-émotionnel est un facteur fondamental qui doit toujours être pris en compte lors du traitement de toute maladie.

Grâce aux méridiens d’acupuncture, les émotions sont mises en rapport avec le champ énergétique, avec les organes, et même, avec la structure corporelle.

Tel que l’a découvert le Dr John Diamond, il existe un lien étroit entre des émotions données et des organes donnés, ces derniers pouvant être touchés si notre état émotionnel n’est pas dominé ou contrôlé.

Toute attitude émotionnelle négative bloque la circulation énergétique du méridien qui lui correspond, touchant par voie de conséquence les organes associés à ce même méridien.

Les conflits psychiques entravent le bon fonctionnement des courants énergétique corporels, causant une tension responsable de perturbations dans le fonctionnement normal des organes, et qui, s’ils persistent, finissent par provoquer de graves blessures.

Effectuer des examens périodiques de l’état de nos méridiens et du déblocage, via l’acupuncture, les fleurs de Bach ou des affirmations positives, permettra de préserver l’équilibre de notre énergie vitale et de prévenir les éventuelles conséquences sur notre santé.

D’un point de vue psychosomatique, nous pouvons affirmer que les parties du cerveau qui jouent un rôle fondamental dans l’influence qu’ont nos pensées et nos sentiments dans le métabolisme et le fonctionnement du corps humain sont au nombre de 4.

1-      Le cortex, qui tel un ordinateur, est chargé de recevoir toutes les informations provenant de l’extérieur via nos sens.
Chacune des informations transmises par les différents sens sont recueillies par une partie ou une autre du cortex. Il compare ensuite les informations reçues avec les données qu’il a déjà enregistrées, (expérience, connaissances …), puis il les mémorise.

2-      Le thalamus, qui reçoit également directement des informations de l’extérieur, mais sous la forme de stimuli sensoriels, qu’ils soient thermiques, chimique, etc., ayant le pouvoir d’exagérer ceux qu’il juge importants et d’inhiber ceux qui, selon lui, ne le sont pas.

3-      C’est ensuite au tour du grand hypothalamus, principal point d’intégration entre le système nerveux et le système endocrinien. Il reçoit les impulsions nerveuses du cortex et du thalamus puis donne l’ordre de générer tous les changements nécessaires dans notre corps.
Autrement dit, l’hypothalamus est le grand patron qui est en charge de donner des ordres afin que tous les organes et les fonctions du corps se mettent en marche.

4-      L’hypophyse, qui reçoit des ordres directs de l’hypothalamus et qui se charge de coordonner les actions.
Plus précisément, l’hypothalamus lui envoie l’ordre de libérer les hormones ou d’inhiber leur libération (en fonction des messages qu’il a précédemment reçus du cortex ou du thalamus). L’hypophyse coordonnera et transmettra ensuite ce même ordre jusqu’aux différentes glandes du système endocrinien.

Parmi les glandes réellement touchées par les émotions, les glandes surrénales produisent une sécrétion excessive d’hormones, telles que le cortisol (hormone du stress), les œstrogènes et l’adrénaline. Plus précisément, les émotions sont souvent accompagnées de sécrétion d’adrénaline qui, en excès, perturbent le fonctionnement d’une autre glande importante, la thyroïde.

Les réactions physiologiques qui en résultent sont identiques à celles déclenchées impulsivement face à une situation dangereuse lors de laquelle notre corps se prépare à se défendre, à attaquer ou à fuir.

Si nous ne parvenons pas à nous libérer du choc émotionnel, cette réaction physiologique persistera, conduisant à des troubles dans notre organisme.

À ce stade, il est important de mentionner le rôle de notre système nerveux autonome (système nerveux sympathique et parasympathique) dans la réponse finale des différents organes du corps.

Le système nerveux sympathique est notre système d’urgence. Il se met en marche lorsque nous devons faire face à un stress de toute nature, transmettant des influx nerveux vers les zones du corps requises afin de réagir rapidement et produisant rapidement des modifications généralisées dans l’ensemble de l’organisme.
Le système nerveux parasympathique, quant à lui, serait tel un contrepoids de la fonction sympathique qui contribue à remettre le corps dans son état normal.

Le tableau suivant présente les différentes réactions du corps face à l’activation du système nerveux sympathique après que les ordres aient été envoyés par l’hypothalamus de notre cerveau.

Ainsi, faire durer les émotions négatives, telles qu’avoir une philosophie de vie contre-productive, des préjugés qui nous limitent, des responsabilités que nous portons à bras-le-corps, du stress, de l’anxiété, etc., peuvent causer des effets indésirables dans le corps à long terme.

La kinésiologie peut contribuer à débloquer des situations quotidiennes existantes, des traumatismes du passé, à améliorer l’estime de soi ou tout autre blocage émotionnel qui nous perturbe, parvenant à ce que l’organisme ne soit plus en état d’alerte et revienne à son homéostasie ou équilibre énergétique et fonctionnel.

Analía Iglesias (analia@sibuscas.com)

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Les traitements du diabète par la médecine naturelle

Le diabète est un trouble métabolique qui se caractérise par l’augmentation des taux de sucre dans le sang. Il apparaît lorsque le pancréas ne produit pas suffisamment d’insuline ou quand les cellules du corps développent une résistance à l’action de l’insuline.

Dans l’article du 29 avril 2014, « Traitement du diabète en appliquant la decodification biologique », vous trouverez plus de détails sur les caractéristiques propres à cette maladie de plus en plus fréquente.

En plus du traitement à l’insuline, il est impératif d’apprendre de nouveaux comportements alimentaires visant à garder le taux de sucre sous contrôle. Les besoins caloriques de chaque individu, en fonction de son mode de vie et de son poids, devront être pris en compte lors de l’élaboration du régime le plus approprié.

Recommandations diététiques

Le suivi des recommandations diététiques adéquates permettra d’atteindre un état nutritionnel approprié et de conserver le poids idéal de la personne diabétique, et ce, tout en évitant ou en diminuant les éventuelles complications propres à la maladie.

Quelques recommandations importantes peuvent être tirées de la diétothérapie :

Pour suivre un régime alimentaire approprié au diabète, la priorité réside dans la suppression de tous les aliments riches en sucres : les sucreries, les boissons sucrées ou alcoolisées, le miel, la confiture et le sucre blanc et brun. Le fructose peut cependant être utilisé afin de sucrer les aliments ou les boissons.

D’autre part, la consommation d’hydrates de carbone doit être diminuée et les aliments raffinés, tels que le pain blanc, les pâtes, le riz et les huiles raffinées, doivent être remplacés par des céréales complètes et des huiles végétales de première pression à froid, telles que l’huile d’olive extra vierge.

Afin de compenser les éventuelles carences en calories, nous augmenterons légèrement la consommation d’aliments contenant des protéines en remplaçant la plupart des graisses saturées par des graisses monoinsaturées et polyinsaturées.

En effet, le glucose tend à épaissir le sang, favorisant ainsi l’accumulation de lipides (lipoprotéines) dans les parois des artères, de sorte qu’une consommation excessive de graisses saturées peut entraîner une athérosclérose, une thrombose, un infarctus, la cécité ou une gangrène des parties distales du corps, telles que les mains et les pieds.

Ainsi, nous consommerons des protéines riches en acides gras polyinsaturés, telles que du poisson, riche en oméga 3, ou des légumineuses, et notamment le soja, qui outre de nombreuses protéines et graisses polyinsaturées, contient des vitamines A, E, B et des minéraux. En outre, si nous consommons de la viande, il faudra privilégier celle de poulet ou de dinde étant donné leur faible teneur en graisses saturées.

Enfin, tous les aliments ayant un faible indice glycémique, et notamment, les légumineuses telles que les lentilles, les pois chiches, les haricots secs ou le soja, toutes les céréales complètes et les fruits, tels que les pommes, les pamplemousses, les poires, les cerises, les kiwis, les oranges et les prunes, ainsi que tous les légumes, peuvent être consommés sans restriction aucune, à l’exception de la betterave, des carottes ou des pommes de terre qui doivent l’être avec modération.

Plantes médicinales et oligo-éléments

En complément du régime, la levure de bière et le germe de blé, riches en vitamine B1, qui a des effets similaires à l’insuline, et en vitamine E, qui est hypoglycémiante, sont recommandés. La levure de bière contient également du chrome, un important régulateur de la glycémie.

En outre, il existe de nombreuses plantes médicinales ayant un important effet hypoglycémiant, telles que le copalchi et la travalera, connues sous le nom d’insuline végétale, ou la gymnema sylvestre, qui en plus d’être hypoglycémiante a le pouvoir de régénérer les cellules bêta du pancréas, responsables de la synthèse et de la sécrétion de l’insuline. Des plantes plus courantes, telles que le noyer, l’eucalyptus ou l’artichaut, sont également de bons suppléments pour le diabétique.

Parmi les oligo-éléments, le Zinc – Nickel – Cobalt se distingue étant très utile dans les dysfonctionnements hypophyso-pancréatiques, régulant en grande partie les taux de glucose dans le sang et réduisant les envies de sucrerie. Ceci peut être vérifié en utilisant un kit du système endocrinien.

Analía Iglesias (analia@sibuscas.com)

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Les thérapies de la médecine énergétique

La médecine énergétique se définit comme l’ensemble des techniques qui, à partir de l’énergie émanant du corps, restaurent son harmonie, obtenant ainsi le rétablissement de l’équilibre biophysique, mental et émotionnel des personnes. Ces techniques agissent en restaurant la communication cellulaire par l’intermédiaire de la lecture des vibrations électromagnétiques afin d’améliorer tous les aspects de l’être humain.

Cette méthodologie considère l’être humain, tout comme les autres êtres et éléments de l’univers, comme de l’« énergie pure » dans le sens littéral du terme et travaille afin que cette dernière soit en équilibre. Les aspects extérieurs, tels que le stress, la pression, une mauvaise hygiène de vie ou les pensées négatives, peuvent nuire à l’équilibre énergétique de la personne, et sont donc à l’origine de dysfonctionnements de l’organisme.

Dans de nombreux cas, la médecine énergétique n’a pas besoin d’être renforcée par d’autres traitements médicaux alternatifs ou traditionnels. En effet, elle peut guérir des maladies en stabilisant les énergies du corps, activant alors la capacité de guérison de l’organisme lui-même. C’est pourquoi nous parlons de plus en plus d’« auto-guérison ». Ce n’est plus quelque chose ou quelqu’un autre que nous-même qui nous guérit. En effet, la maladie est une façon pour le corps de nous dire que nous sommes sur la mauvaise voie et cela se reflète dans le domaine énergétique sous la forme d’un déséquilibre.

Ce type de technique est recommandé aux personnes victimes d’anxiété, de stress, de fatigue excessive ou qui sentent que leur corps ne fonctionne pas correctement. La somatisation des émotions existe vraiment, l’extraction des mauvaises énergies du corps afin de stabiliser les vibrations physiologiques (énergie fonctionnelle normale du corps) peut ainsi être utile lors du traitement de maladies ou de pathologies plus complexes.

Quelques techniques de médecine énergétique

Il existe plusieurs techniques de médecine énergétique dans le monde, l’Asie ayant été l’un de ses plus grands précurseurs, à l’origine de pratiques telles que l’acupuncture, le Qi-Gong ou Chi-Kung, Therapie des Chakras, ou le Reiki, entre autres.

Ce dernier fonctionne par l’intermédiaire de la canalisation de l’énergie universelle à travers les mains du guérisseur, lui permettant d’équilibrer les énergies du patient via l’imposition des mains, le dessin ou la visualisation de symboles guérisseurs.

D’autres méthodes de médecine énergétique connues sont la thérapie florale, la chromothérapie (utilisation de la lumière afin de stabiliser l’énergie), l’homéopathie, la gemmothérapie et la thérapie des cristaux, une technique qui utilise des cristaux de quartz qui, au contact du corps humain, contribuent à équilibrer le flux électromagnétique des cellules en rétablissant l’harmonie physique, mentale et spirituelle de la personne.

La thérapie des champs magnétiques est une autre technique appartenant à ce courant. Elle vise à rechercher l’équilibre énergétique souhaité via la création de champs magnétiques statiques produits par divers aimants ou paires biomagnétiques, parvenant, via l’exposition à ce champ pendant un temps donné, à supprimer les vibrations pathologiques (énergie électromagnétique négative) qui empêchent cet équilibre.

Avantages de la médecine énergétique

Le plus grand avantage des thérapies alternatives est qu’elles ne sont pas invasives, de sorte que le corps est libre de tout élément non-naturel en son sein. Si la plupart d’entre elles se concentrent sur le traitement du corps et de l’esprit, les thérapies énergétiques vont au-delà. En effet, elles comprennent que l’être humain est également composé d’un domaine spirituel et émotionnel duquel il ne peut pas être séparé. Elles travaillent donc sur ce point afin que le corps soit en équilibre dans tous les aspects.

Et ce n’est pas tâche facile. Ce type de thérapie exige un engagement du patient visant à définir des routines de vie saines et à préserver l’équilibre obtenu lors de la thérapie. Garder le stress ou les autres mauvaises énergies à distance n’est pas si simple, mais avec une aide professionnelle appropriée, c’est possible.

Ángel Salazar Magaña (angelsalamag@gmail.com)

Kinepharma.